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 (M) Elite Patricienne ₪ Il faut toujours se méfier de l’eau qui dort.



POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Ludi :: Archives
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Sam 14 Sep - 1:18
(M) Elite Patricienne ₪ Il faut toujours se méfier de l’eau qui dort.    




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GAIUS VINICIUS CAMILLUS

LIBRE RÉSERVÉ PRIS

Ave, étranger! Je suis GAIUS VINICIUS CAMILLUS fils du Sénateur Gaius Vinicius et neveu du Légat Marcus Vinicius. Né à Rome, il y a 24 ans, je suis d'origine romaine. La déesse Fortune a fait de moi un patricien et tu me reconnaîtras sous le masque d’un homme ambitieux qui cache bien sa vraie nature sous des apparences respectables..




→  Il est le fils aîné du Sénateur Gaius Vinicius et d’Aria Vinicia Lucilla. Il a plusieurs frères et sœurs. Il a toujours vécu dans le luxe et l’opulence.

→  Ambitieux, il vise une carrière en politique. Heureusement pour lui, il a la chance d’avoir un père et un oncle très haut placé pour l’aider dans son cursus honorum. Il excelle dans la gestion des affaires de la famille. Excellent dans les chiffres et les sciences, il s’intéresse à toutes les découvertes scientifiques et au développement du commerce dans l’Empire.

→  Fêtard notoire, il est de toutes les fêtes officielles ou non de Rome. Joueur, il n’hésite pas à faire des paris stupides avec ses amis, et ce surtout quand les enjeux sont d’ordre sexuel et sadique.

→ C’est un artiste né. Il excelle dans le dessin, la peinture et les arts graphiques. Excellent musicien également, il joue du luth et de la cithare. Grand mécène, il n’hésite pas à financer largement les compagnies de théâtres et de mimes.

→ En apparence, Gaius a tout du fils honorable. Il a fait des études, il a gagné plusieurs prix pour sa verve et ses beaux discours, mais tout ceci n’est qu’une façade qui cache sa vraie nature. Il projette une image sociale parfaite ce qui fait de lui une personne très populaire. En dehors de ses victimes, c'est l'homme, l'ami ou le fils parfait. 

→ Gaius est froid et cruel. Il se croit supérieur à ceux qui l’entourent. Il attend avec impatience la mort de son père pour pouvoir hériter de tout son argent et de ses biens. Son oncle Messala étant mort sans descendance, il sait qu’il héritera également de ses biens. Le seul qui pourrait se dresser sur sa route est son oncle, le légat Marcus Vinicius. Il est le seul de la famille capable de lui tenir tête. Le seul qui pourrait finir par découvrir ses petits jeux et qui se cache derrière ses sourires niais. Il le sait fier et incorruptible. Pourtant tout homme en ce monde a des faiblesses et il compte bien les découvrirent pour mieux s’en servir. Son oncle n’ayant pour le moment aucune descendance masculine, il se voit déjà également comme l’héritier unique de sa grande fortune.

₪₪₪

Rome. Ville de tous les vices et centre du monde. Cette ville m’a vue naître et bien qu’aujourd’hui je doive la quitter, je me promets d’y revenir, mais avant de vous dire les raisons qui me force aujourd’hui à la quitter laissez-mois vous parlez de qui je suis.

Depuis l'enfance, je mime les expressions qui s'affichent sur vos visages pour faire comme vous, me masquer, ne pas attirer votre attention sur ma différence. Au début, je croyais que je n'avais pas d'âme. J'ai vite compris que c'était le contraire, j'avais une âme de créateur, d'artiste, de révélateur.

Quand j'expliquais que je n'avais jamais rien ressenti, c'était faux. Mais il faut que je vous explique. La première fois fut vraiment fugace. J'avais 6 ans. C'est le chiot qui me procura cette demi-seconde divine qui allait faire de moi l'homme qui se présente aujourd'hui devant vous. Alors que la vie le quittait, mes mains autour de son cou, sa langue pendante et dégoulinante de salive, ses couinements aigus suppliants que je relâche ma prise, j’éprouvais, au moment même où la lumière quittait ses prunelles une série de sentiments terriblement électrisants : puissance et culpabilité. Avant ce moment terriblement enivrant, je n’avais jamais connu autant d’excitation. Ce sentiment de domination si fort si puissant me laissait voir toute les possibilités qui étaient à ma portée. À cet instant, je me sentais aussi fort que les Dieux eux-mêmes et puis au moment de l'apothéose de l'acte j'aurais pu d'une simple poussée de ma volonté, en devenir un. Et tout s’effaça la seconde d'après. Je redevenais le garçon parfait qu'on attendait de moi.

Pour dissimuler ma vraie nature et leur faire croire ce qu’il voulait bien voir en moi, j’avais appris à jouer la comédie à la perfection. Pur obtenir tout ce que je voulais ou souhaitais, il suffisait de leur offrir le visage qu'on me demandait d'avoir dans les circonstances adéquates, mais jamais je n'oubliais ma transformation divine.

J'ai eu et j’ai encore plusieurs partenaires de jeux. À l’âge tendre de mes quatorze ans, je perdais mon pucelage avec une fille plus âgée que moi. Ce fut une expérience décevante duquel je ne gardai pas de très bon souvenir. Cette expérience fut pour moi vide de sens. Je n’éprouvai rien de particulier pour ma partenaire et encore moins de l’amour. Ce fut tout autrement le jour où je pris une fille de force parce que cette dernière avait osé me dire « non ». Cette expérience fut pour moi une véritable révélation. Alors que nous étions tous les deux à nous caresser, au dernier moment cette petite dinde avait décidé de se refuser à moi. Comment osait-elle me défier de la sorte. Je n'en sais rien, mais à ce moment, j’ai senti que Jupiter lui-même me l'envoyait en sacrifice afin que je me découvre totalement. Moi son fils aimé.

Alors que je lui prenais tout et la laissait abîmée dans le corps et l'âme, dans les champs ou nous avions trouvé refuge, je retrouvais cette sensation que j'avais découverte avec le chien de mon père. En deux fois plus puissant, mais terriblement aussi fugace. De ce jour, retrouver cette grâce divine devint une obsession. Mieux encore, je désirais trouver le moyen de la prolonger. Il me fallait retrouver cette divine sensation. Toujours plus, toujours plus fort.
Je dessinais, en attendant, pour atténuer mes pulsions, mais afin de ne choquer personne je faisais en sorte que mes dessins restent symboliques et les gens aimèrent mon art.

Chaque étape de ma vie m'emmenait un peu plus loin sur ce chemin de création qui allait devenir mon parcours, jonché de victimes agonisantes.

Un soir de fête bien arrosée, l'une de mes victimes ne fut pas seulement la mienne, mais aussi celle de deux autres amis que le vin avait rendu plus entreprenant. C'est là que je compris ce qu'il me fallait. À cause de leur présence, je ne pouvais succomber à mes instincts immédiatement et, malgré moi, nous jouions avec cette pauvre enfant. Coups après coup, insultes après humiliation, le moment que j'attendais se retardait dans un excès d'amuse-gueule qui rendait l'acte final plus vibrant encore. Cette fois je comprenais l'étendue de mon œuvre, ce que j’étais, ce que je devais devenir : un sculpteur d'âme. Nous avions fait vivre tant de supplices à cette fille qu'elle avait finis par accepter son sort, nous avions fait d'elle ce que nous voulions au-delà même de sa propre volonté. C'est dans son silence que nous avions fini par laisser notre semence. Curieux des conséquences, j'observais notre victime les jours suivants, son mutisme insistant, son regard dans le vague, sa peur du noir et de certains hommes. Nos coups, nos insultes, nos humiliations répétées avaient sculpté cette fille, lacérant son esprit pour en faire quelque chose d'autre, quelque chose que nous avions créé, comme Jupiter l'avait fait des hommes. Je tombais amoureux de celle-là et, sachant qu'elle n'avait pas vu mon visage, je pris un étrange plaisir à la courtiser et lui faire miroiter quantité de choses. Son attrait ne dura malheureusement que peu de temps. Comme la glaise que l'on n'a pas mise au four elle retrouvait sa couleur fade, son sourire et son indépendance et la créature n'était plus ce qu'en avait fait son créateur. Elle redevenait, en guérissant, insipide et neutre. Je décidai donc de mettre fin à ses jours de mes propres mains. Je désespérais. Je m’enfouissais dans des œuvres, tant littéraires que picturales, aussi sombre et maussade que mon humeur, jusqu’à ce que mon oncle me parle de mariage. Jupiter me rendait grâce.

Je reprenais mes chasses, sculptant l'âme de mes victimes de plus belle, mais cette fois dans un objectif avoué. J'allais recevoir un cadeau divin, un cadeau qui ferait de moi un Dieu parmi les Dieux. Morceaux d'argile ou de marbre j'allais tailler et tailler encore dans cette femme qu'on me promettait jusqu'à en tirer une forme, puis, si j'avais envie, je taillerais à nouveau pour qu'elle garde cette forme ou en prenne une autre. Je taillerais jusqu’à ce qu'il ne reste plus rien. Ou qu'elle soit parfaite, comme la fille muette de terreur dont j’étais tombé amoureux. Et, contrairement à mes victimes d'un soir, que je n'abandonnerais pas bien sûr, celle-ci ne pourrait jamais s'enfuir. Elle serait ma femme. Elle serait pour toujours à moi. Mon triptyque, mon chef d’œuvre, mon message adressé aux Dieux, mon droit de passage pour l'immortalité.

Pour réaliser cet œuvre, je me devais de quitter Rome ma bien aimé pour me rendre à Pompéi.  

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connaissances

Marcus Vinicius ₪ Oncle. ₪ Les Dieux de la fertilité ont toujours étant généreux avec la famille Vinicii. Des fils, plusieurs fils leur avaient été offerts pour perpétuer leur descendance. Le premier de la nouvelle génération est le fils aîné de mon frère : Gaius Vinicius Camillus. Un brillant politicien et un artiste également. Ce dernier bien qu’il répugne tout ce qui a rapport à la vie militaire est tout de même bien renseigné sur la question. En âge de se marier et fonder sa propre famille, c’est tout naturellement que j’ai décidé de lui présenter ma nièce par alliance Aelia Pertinax. Après quelques discussions avec ce dernier, nous avons convenu d’une alliance entre nos deux familles. Malheureusement, j’étais loin de me douter de la vraie nature de mon neveu. De par mes occupations, j’ai été si souvent éloignée de Rome et de ma famille, que j’étais loin d’imaginer que sous ses sourires et son air quasi angélique se cachait un monstre de cupidité et de perversité. Ne pouvant annuler ce mariage sans causé un véritable scandale, je me promets bien de garder un œil sur lui afin de l’éviter de détruire Aelia.
Aelia Pertinax ₪ Fiancée et future épouse ₪ Vide. C'est comme cela que je l'ai trouvé la première fois que je l'ai vu. Comme si mon regard avait su percer sa carapace, son masque au sourire éclatant. Il était beau, mais rien ne brillait dans ses prunelles, aucun feu, aucune âme. Je dévoilais l'ombre, la vacuité, le néant de son esprit aride sans le moindre mal. Le genre d'homme que je fuis comme la peste tant ils sont insipides, niais et inintéressants. Trop parfaits, trop propres sur eux, trop souriants et polis. Pourtant je me trompais, ou plutôt; mais c'est quelque chose que je découvrirais plus tard, je ne soupçonnais pas à quel point j'avais raison.
Et puis un soir où je me saoulais d'alcool, de drogues d'orients et de plaisir charnel, je le vis. Je ne sais pas s'il découvrit ma présence ce soir-là, mais j'avais le même sentiment que lorsqu'on déterre le secret d'un autre, une excitation mêlée de crainte. Finalement, l'homme était plus surprenant qu'il n'y paraissait et je découvrais en moi une attirance pour lui, du moins un désir de découvrir ce qu'il pouvait bien cacher d'autre. Il ne délogeait pas mon père dans mon cœur, loin de là, mais me procurait un enthousiasme ludique. Jusqu’à ce que j'apprenne qu'il allait être mon futur mari. Impossible!

Il me reste encore à supplier mon père et peut-être en viendrais-je à jouer toutes mes cartes pour le faire assassiner avant qu'il me sépare de mon seul véritable amour. Mais avant ça j'ai envie d'ouvrir cette boîte de Pandore qu'il représente à mes yeux, quand est-il de l'homme que j'ai vu la première fois et de celui, trop différent, que j'ai vu à la soirée suivante. Plonger ma main dans ses secrets sera-t-il l'acte le plus stupide que j'ai commis depuis mon arrivée à Pompéi?
Quintus Aelius Coclès ₪ Beau-père ₪ Même si ce mariage présente beaucoup d'avantages pour leur famille, Quintus a beaucoup de difficulté à l'accepter. Sa fille qui avait toujours été à ses côtés partir avec un autre homme? Le borgne ne cache pas sa haine pour son futur gendre et il lui fait bien sentir qu'il a tout intérêt à prendre soin de sa fille s’il ne veut pas finir crucifier devant sa domus. Une chose est certaine, les deux hommes ne s'entendent pas et ne s'entendront jamais.



(c) Scénario d’Aelia Pertinax et de Marcus Vinicius.


Dernière édition par Marcus Vinicius le Ven 27 Sep - 13:38, édité 3 fois
Sam 14 Sep - 2:07
Re: (M) Elite Patricienne ₪ Il faut toujours se méfier de l’eau qui dort.    




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₪  Le nom du personnage n'est pas modifiable. ₪

Les avatars sont négociables, vus qu'ils ne sont pas réservés.₪

₪₪₪

Bonjour à toi,

Qui que tu sois je tiens tout d’abord à te remercier de t’arrêter sur ce scénario.

Je ne serais sans doute pas originale, si je dis que j’attends de vous un minimum d’activité. Je n’attends pas une réponse à nos rps tous les jours. Moi-même j’aurais du mal à soutenir un tel niveau, mais une petite réponse chaque semaine serait parfaite. Je m’attends également à ce que vous ayez un bon niveau. Je ne suis pas parfaite dans mon style et dans mon orthographe, mais j’essaie sans cesse de m’améliorer. Je suis donc très compréhensive et je n’ai pas l’intention de m’attarder à vos petites imperfections. L’important pour moi c’est que tu t’appropries le personnage. Que tu lui donnes tes couleurs et que tu prennes plaisir à le jouer. Je rappelle que nous sommes ici pour nous amuser. Je n’ai pas envie de me prendre la tête.

Comme tu as pu le constater à la lecture du scénario, si tu choisis d’incarner GAIUS VINICIUS CAMILLUS, tu t’assures des liens très vivants et complexes avec trois personnages du forum.  

En terminant, toi qui viens de lire mon petit scénario, je te remercie d’avoir pris ces quelques minutes de ton temps. Si tu te sens interpeller par ce personnage et que tu as envie d’écrire quelques pages de cette histoire avec nous et bien, viens vite nous rejoindre à Pompéi. Tout ceci semble bien sérieux, mais crois-moi une fois que tu m'auras dit oui tu ne le regretteras pas. En terminant, au plaisir de faire connaissance.

Marcus Vinicius  
Coeur Coeur
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