Maximus - Eagle is Rome

Ave, étranger ! Je suis Lucius Aquillius Maximus , fils/fille de Marcus Aquillius Victor . Né(e) à Rome, il y a 28 ans ans, je suis d'origine Romaine. La déesse Fortune a fait de moi un membre de l'élite patricienne et j'ai pour famille mon père, cité plus haut et une sœur cadette..


Plus de 2000 ans plus tard, c'est To-to-to.. Non, pas Totor . Totoooo qui m'incarne. Qui es-tu ? Un jeune homme de 20 ans (bordel, j'en avais deux de moins la première fois ), venant de Provence et aimant tellement fort tous les mécréants de ce forum qu'il est revenuuuu.
 Je me sens perdu et j'aimerais bien avoir un parrain ou une marraine : OUI [ ] / NON [X] (Enfin, faudra me briefer un peu, j'ai vu que mon papounet n'est plus, entre autre ). Pour plus d'infos sur le parrainage, c'est ici.
 Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [X] que mon personnage soit adapté en scenario / [X] que le staff le fasse disparaître de Pompéi par mort ou départ, et ce pour permettre à mes liens importants de ne pas être gênés. Mais ça n'arrivera pas.

© crédit gif

→ Ce que je pense de Pompéi
 Pompéi est une belle ville, d'après ce que j'ai pu en voir lorsque je suis venu y vivre afin d'y suivre mon mentor, et ce malgré les catastrophes ayant frappées la cité. L'ambiance est bien plus détendue qu'à Rome ; ou tout du moins l'était jusqu'à récemment ; où la pression de mon père et le regard des autres familles suite à mon retour de la guerre civile étaient trop dérangeantes à mon goût. J'ai toutefois été éloigné de la cité durant une longue période, mon devoir me rappelant dans la Ville Éternelle.

 → Ce que je pense de la politique
 La politique.. En tant que fils unique, je me dois de m'y intéresser, afin de me faire un nom pour acquérir une place au sein du Sénat, tout comme mon père avant moi. Malheureusement pour moi, je suis un homme d'action, et non de réflexion. Les longs discours sont bons pour encourager les fantassins avant la bataille, alors qu'ils ne servent à rien d'autre qu'à donner l'illusion d'un travail exécuté lorsqu'ils sont utilisés par les politiciens. L'homme le plus compétent ne gouverne pas forcément, mais bel et bien celui qui distribue le mieux les coups de couteau, alors autant faire mine d'être à l'écoute que lorsque cela permet de tirer profit de la situation.
  
 → Ce que je pense des jeux
 Les jeux.. Je prends énormément de plaisir à y assister lorsque les courses de chars et les grandes chasses y sont mises à l'honneur. Au contraire, je n'apprécie guère les combats entre Gladiateurs. Non pas que je sois insensible au talent de ces esclaves, mais la guerre m'a montré mon lot de sang innocent pour plusieurs vies. Prendre les vies de personnes s'opposant à la grandeur de Rome est une chose, mais sacrifier des êtres-humains ; esclaves ou hommes libres ; pour divertir la populace, en voilà une autre.

 → Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
 Je suis l'unique héritier de la fortune et du prestige familiale, je me dois donc de viser haut, même si cela va à l'encontre de mes souhaits. Je suis pour le moment Tribun, une place très convoitée, mais dans les années à venir, je me devrai de grimper l'échelle hiérarchique pour devenir Légat. Et peut être suite à ça, penserai-je à devenir Sénateur, tout comme mon père, bien qu'une longue et glorieuse carrière militaire me satisferait pleinement.

 → Ma pire crainte
 De quoi ai-je peur ? Du déshonneur. Je prie les Dieux pour ne jamais porter la disgrâce sur ma famille, ni sur Rome. Étant un soldat, j'ai appris à contrôler ma peur, bien qu'une phobie ridicule me poursuive nuit et jour. En effet, je suis arachnophobe, donnant lieu à certaines situations très.. Cocasses. Ironique n'est-ce pas ? Un grand et costaud jeune homme, combattant Égyptiens et semblables, mais ne supportant pas la vue d'un insecte à huit pattes.

 → Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
 Comme la majorité des Romains de souche pure, je vénère la Triade capitoline, et tout particulièrement Jupiter ainsi que Minerve. Après tout, ne suis-je pas moi-même un défenseur de Rome ? Je pense également pouvoir me targuer d'être un homme juste. Je ne délaisse pas pour autant Junon, que je prie de protéger ma chère sœur.

→ Ce que je pense du "Fils de l'Etna" et de sa révolte
Cette nouvelle m'inquiète fortement. Malgré la présence du Légat Licinius et de sa légion, ainsi que de quelques centaines de légionnaires que mon mentor laissa à mon commandement avant son départ de Pompéi, j'ai peur pour la sécurité des citoyens romains. La dernière grande rébellion ne causa t-elle pas de nombreuses morts ? Les sites regorgeant d'esclaves à enrôler sont nombreux. Rome se doit d'intervenir vite et fort, avant que ces rumeurs ne donnent de mauvaises idées aux esclaves dans les grandes cités.

Extrait du journal de Marcus Aquillius Victor

Après neuf longs mois d'attente, mon premier enfant, mon héritier, est enfin né ! Les Dieux eux même ne sont pas restés de marbre face à sa naissance, déversant des pluies torrentielles sur Rome ! Il s'agit là d'un présage, démontrant clairement que mon fils apportera gloire et honneur à notre maison. Ma femme m'a convaincu de le nommer Lucius, comme feu mon père. J'ai accepté, pour lui rendre un dernier hommage.

Extrait du journal de Marcus Aquillius Victor

Mon fils est parti depuis déjà six mois vivre dans notre résidence secondaire afin de s'éduquer convenablement. Aujourd'hui, il fête ses dix ans. Lorsqu'il rentrera afin de fêter son anniversaire auprès de nous, j'espère qu'il sera heureux de découvrir sa petite sœur, qui est venu au monde ce matin. Une drôle de coïncidence de voir ses deux enfants naitre le même jour, malgré les années les séparant.

Extrait du journal de Lucius Aquillius Maximus

Ce que je craignais est arrivé. Le fils adoptif de César, Octave, ainsi que Marc-Antoine, vont s'affronter sur le champ de bataille pour savoir qui dirigera l'Empire. Une bien mauvaise nouvelle pour ma famille. Mon père était un fervent sympathisant à César, et l'idée de s'opposer à l'un ou comme à l'autre le déchire. Il ne pouvait toutefois pas rester neutre sur ce conflit. Un sénateur de son importance, disposant d'autant de ressources, et ayant son fils unique dans l'armée.. Je pars donc rejoindre les forces d'Octave, pour l'aider à prendre le pouvoir. Il s'agit d'un choix sécuritaire, mais je me plierai à la volonté de mon pater familias. Je sais seulement que je serai assigné à un certain Marcus Vinicius. Sa réputation de commandant le précède, je suis donc plutôt confiant. J'espère simplement que Marc-Antoine terminera en homme libre, et qu'aucun mal ne lui sera fait.

Extrait d'une lettre de Lucius Aquillius Maximus à sa soeur Aquillia Aemilia

Ma chère sœur, je suis désolé pour l'attente entre mes lettres. Les combats sont de plus en plus fréquents, et il est de plus en plus compliqué d'avoir une correspondance. Le Tribun Marcus Vinicius est un commandant hors pair. Nous n'avons connu aucun revers. J'ai beaucoup appris à ses côtés, et j'ai trouvé en lui un allié de poids. Sache que durant les batailles, mes pensées vont vers toi.
Je n'ai eu aucune réponse de père, je suppose qu'il est accaparé par le Sénat. Je te remercierai de lui indiquer que nous avons battu les forces de Marc-Antoine à Actium, et que nous marcherons en direction de l’Égypte le plus tôt possible. Il sera heureux d'apprendre que ma mutation dans la IVème Légion est un succès.

Extrait du journal de Lucius Aquillius Maximus

Nos forces marchent sur les derniers partisans de Marc-Antoine. La guerre est terminée.. Antoine et Cléopâtre ont mis fin à leurs jours. Que j'étais stupide d'espérer une fin moins brutale pour cet homme que j'admirais tant. Marcus partage mon avis sur ce point, regrettant lui aussi sa perte. Nous restons toutefois discret sur la chose. Il y a toutefois un point positif à toute cette histoire. D'après les rumeurs, Octave compte nommer Marcus Légat en remerciement pour ses services. J'obtiendrai pour ma part le rôle de Tribun qu'il laissera vacant. L'Empereur ne lui refusera pas ce présent, surtout depuis que les hommes m'ont surnommé Maximus suite à mon rôle prédéterminant en première ligne.

Extrait du journal de Lucius Aquillius Maximus

Me voilà de retour à Rome, avec la gloire d'avoir activement participé à la victoire de l'Empereur, mais la douleur de ne pas retrouver ma mère qui a succombé à une terrible fièvre. Le titre de Tribun m'est revenu. Je dirige maintenant la IVème Légion pour laquelle j'ai versé tant de sang au côté de mon mentor. Mon ami Marcus étant Légat, il m'a remit le flambeau. Une autre Légion m'a été proposé, mais je pense qu'avoir des hommes fidèles à leurs généraux est une bonne chose. Dès que j'aurai mis de l'ordre dans mes affaires, et que j'aurai passé du temps avec ma chère sœur ; particulièrement touché par notre perte ; je rejoindrai mon supérieur à Pompéi. Je ne sais pas vraiment ce que nous allons faire là-bas, mais s'il juge qu'il est bon de s'y rendre..

Extrait d'une lettre de Lucius Aquillius Maximus à son père Marcus Aquillius Victor.

Père, me voilà arrivé à Pompéi. Le voyage fut long, mais aucun problème notoire ne fut rencontré. Il faut dire que même les hors-la-loi ne sont pas assez stupides pour attaquer un convoi de l'armée impériale. Ma demeure n'est pas aussi luxueuse que celle de Rome, mais elle fera l'affaire durant mon séjour ici. Je t'écrirai lorsque de nouveaux évènements seront survenus. De ton côté, cesse de me chercher une fille de bonne famille à marier. Mes affaires avec Marcus m’accaparent bien assez pour que je m'encombre d'un mariage arrangé pour le moment.
Et concernant les jeux que tu aurais tant aimé voir.. Je ne peux te dire ce que je pense des combats de gladiateurs, tu connais mon avis sur le sujet, mais les autres spectacles sont splendides. Je suis sûr qu'avec les moyens, les organisateurs pourraient rivaliser avec ceux du Colisée.

Extrait du journal de Lucius Aquillius Maximus.

J'ai vécu de nombreuses choses à Pompéi, rencontré de nombreuses personnes. J'en ai également retrouvé certaines, que je pensais n'être plus que des reliques du passé. Mais voilà que j'ai été rappelé à Rome afin de soutenir mon père, cette assistance prenant la forme d'un mariage. Cette union m'éloigna de ma nouvelle vie, ne pouvant rejoindre la cité de Pompée que l'espace de quelques jours afin d'y mettre mes affaires en ordre. De longues semaines s'écoulèrent avant que je ne puisse enfin y faire mon retour, laissant toutefois mon épouse à la capitale afin de la garder loin de ces rumeurs de révolte servile.