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 Pompeia Virginia - le doux visage de l'Ambition



POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Exilés
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Jeu 7 Mar - 0:12
Pompeia Virginia - le doux visage de l'Ambition   




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Pompeia Virginia
incarné(e) par Saoirse Ronan
Ave, étranger! Je suis Pompeia Virginia, fils/fille de Lucius Pompeius Publicola. Né(e) à Pompéi, il y a 16 ans, je suis d'origine romaine. La déesse Fortune a fait de moi une(e) patricienne et j'ai pour famille les Pompeii


Plus de 2000 ans plus tard, c'est Laeti mais on m’appelle aussi Morena qui m'incarne. Qui es-tu? je suis une comédienne de doublage (je suis prête à en débattre avec qui voudra) de 26 ans. J’aime le théâtre, l’impro, l’histoire et vous bien sûr ! Je connais le forum via l’une de ses admins avec qui je rpise déjà sur un autre forum dans un tout autre contexte !
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Pompéi & moi

→ Ce que je pense de Pompéi
Pour Pompeia, le fait que Pompéi soit une ville de province est un avantage : plus de proximité entre les habitants, il est donc plus facile de savoir ce qu’ils veulent, comment les contenter…ou du moins leur en donner l’impression. Elle sait que son père rêve d’envoyer son frère à Rome qu’il considère comme plus prestigieuse. La jeune fille n’a jamais quitté la ville et est parfaitement heureuse comme ça. Elle sait qu’elle fait partie d’une famille qui représente l’élite de sa ville et en est fière. Elle reste douce et à l’écoute des habitants – si tant est que le besoin de parler à une novice se fait sentir – mais ne vous fiez pas à cette apparente douceur : si elle vous écoute, c’est pour mieux trouver le moyen de garder son ascendant sur vous.

→ Ce que je pense de la politique
La jeune femme soutient son père envers et contre tout. Dès qu’il a vu l’avantage d’avoir une vestale dans la famille, celui-ci en a fait le porte-étendard de sa respectabilité. Comme elle s’est toujours intéressée à la politique, ça ne dérange pas Pompeia qui est, au contraire, ravie d’y prendre part de façon aussi active. Elle cherche encore et toujours le moyen d’étendre son influence. Elle n’est pas tyrannique mais le pouvoir lui plaît et malgré son statut, elle ne peut pas trop le montrer aux hommes.

→ Ce que je pense des jeux
Les jeux sont, selon Pompeia, un mal nécessaire prêt à servir la politique. Après tout, ils contentent et rassemblent le peuple pour un plaisir commun. Il n’y a pas plus influençable qu’une foule. Mais objectivement, Pompeia ne prend aucun plaisir à les regarder, les mises à mort ne l’ont jamais excitée.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
Pompeia apprécie son statut de vestale par-dessus tout. Après un service de trente ans, les vestales peuvent choisir d’abandonner cette vie pour se marier, elle le sait bien. Mais elle n’envisage pas une seconde cette possibilité : elle accepte toutes les contraintes de sa vie avec plaisir pourvu qu’elle ne se retrouve plus jamais sous le joug d’un homme. Elle a le malheur de sa sœur en exemple ainsi que le fait que sa mère soit obligée de ruser pour que son époux l’écoute tandis qu’elle, peut insinuer les choses plus clairement. Son but est donc de continuer son sacerdoce jusqu’à la fin de sa vie. Elle espère aussi se servir de sa position afin d’accomplir les ambitions politiques de sa famille. Ne croyant pas du tout au talent politique de son frère, elle va tâcher de se réconcilier avec lui afin de lui prêter conseil pour qu’il puisse suivre les traces de leur père.

→ Ma pire crainte
A priori, Pompeia est à l’abri de sa plus grande crainte : se retrouver soumise à un mari. Les hommes, leur impétuosité, leur souveraineté et leur lubricité lui font peur. Elle a également peur de perdre définitivement sa sœur, son ancienne meilleure amie. Ou que son père perde son influence à Pompéi et qu’elle se retrouve la vestale venue de la famille déchue. Beaucoup de craintes qu’elle peut heureusement maitriser mais Pompeia est très jeune et a été plutôt préservée jusqu’à présent, tout est encore possible.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
La jeune fille est bien entendu fidèle au culte de la déesse Vesta. Même si elle a choisit cette voie par pur intérêt, elle sait qu’elle a eu beaucoup de chance dans la vie : naître la cadette lui a permit de voir le désastre que peut provoquer un mariage malheureux chez sa sœur aînée et donc de chercher une autre voie. Elle a été admise comme novice alors qu’elle avait passé l’âge. Cela arrive mais c’est extrêmement rare. Aussi rend-elle grâce aux Dieux pour cela et est donc leur fidèle servante, quoiqu’il arrive. Elle tâchera de leur montrer qu’elle est digne de la bonne fortune dont ils lui ont fait grâce. Surtout qu’elle compte bien encore faire appel à eux pour accomplir ses différentes ambitions.


Mon histoire

Veille des ides de juin 478

Deux sœurs étaient installées dans l’atrium de la maison familiale en profitant des rayons de soleil de ce beau début d’été. Il s’agissait des sœurs Pompeia : Aurea et Minor. Les deux jeunes avaient un visage doux et plein d’espoir pour l’avenir. L’ainée était âgée de deux lustres et trois moissons, sa cadette n’avait qu’une moisson de moins.


- Te rends-tu compte que demain, je serai une femme mariée ? demanda joyeusement Aurea en se tournant vers sa jeune sœur.

Toute à sa joie, elle tournoyait dans tous les sens, faisant voler au vent ses beaux cheveux blonds. Minor, était beaucoup plus calme que son aînée, se contentant d’afficher une mine ravie depuis son fauteuil.

- Tu seras comme notre mère : maitresse en ta demeure, respectée en public et tu pourras avoir de grandes discussions avec ton époux. À ce qu’on dit, il t’adore déjà !
- Oui, j’ai entendu père et mère en discuter hier soir, il semble qu’il ait prévu de me gâter.
- Se pourrait-il que tu sois également maitresse de son ménage ?

Les deux sœurs éclatèrent de rire tant l’idée était impensable. Les deux fillettes pensaient aux bienfaits du mariage mais pour des raisons différentes : si Aurea pensait au bonheur de régner sur une maisonnée, Minor voyait toujours de loin, leur mère parler de politique avec leur père. Elle s’imaginait, oeuvrant avec son époux comme avec un co-équipier, un partenaire en affaire, à la réputation et à la gloire de leur famille. Leurs différences n’empêchaient pas les deux sœurs d’être proches et de s’aimer tendrement.

- Père a promit que l’année prochaine, ce serait ton tour. Il a dit que plusieurs des bons partis de Pompéi seraient ravis de t’épouser.
- Pour la plupart, ce sont ceux que Père a éconduit pour toi, remarqua Minor avec un brin d’amertume.
- Oublie cela, quoiqu’il en soit, ils sont d’excellents partis et tu feras un mariage magnifique toi aussi ma petite sœur !


Neuf jours avant les calendes de novembre 478

- Pompeia Minor, te rends-tu compte dans quel état tu as mis ton pauvre père ?

Flavia Pompeia regardait sa fille cadette d’un air sévère. Elles se trouvaient dans ce qui fut autrefois le cubiculum des filles et qui n’était plus que celui de la cadette. La jeune fille restait calme et sérieuse malgré l’ouragan qu’elle avait provoqué dans le tablium de son père. Il avait tempêté, hurlé, pesté mais rien n’avait ébranlé la détermination de Minor.

- Jeune fille, reprit sa mère, ton père avait contracté un mariage de rêve pour toi, la plupart des jeunes pompéiennes ne pouvaient rêver mieux ! Il risque de passer pour un imbécile en le rompant aujourd’hui !
- Mère, ma chère sœur Aurea n’est plus que l’ombre d’elle-même depuis son mariage, elle semble si malheureuse. Et son mari ne la maltraite même pas, alors que dire des femmes qui subissent ce genre de choses ? Je pensais que tante Flavia n’était qu’une exception à la règle mais il semblerait que tant de mariages se passent mal !

Flavia voulut prendre sa fille dans ses bras mais en vain, la jeune fille n’avait jamais été tactile.

- Ma chérie, moi-même je n’ai pas été mal lotie, ton père et moi nous entendons parfaitement bien !
- Mais pouvez-vous m’assurer qu’il en sera de même pour moi, mère ?
- Non, dût admettre Flavia, mais si toutes les femmes romaines avaient fui devant le mariage, où en serait-on ? Nous n’avons pas le choix, il s’agit de notre devoir !
- Eh bien, avec tout le respect que j’ai pour vous mère, j’ai le choix ! Et je compte bien prendre cette alternative.
- Ton père et ton frère sont furieux….
- Tout est entendu, le grand pontife a donné son accord malgré le fait que je sois un peu âgée pour cela. Père devra s’y faire, il est obligé de s’incliner !

Quant au non-consentement de son frère, elle s’en moquait éperdument. Étant donné leur huit ans de différence, le frère et la sœur n’avaient jamais été proches et il n’était pas prêt d’en devenir autrement. Elle trouvait que son frère manquait de charisme pour entrer en politique et ne pouvait s’empêcher d’avoir une piètre opinion de lui à cause de cela. Sa désapprobation n’était donc qu’un détail dont il ne fallait pour rien au monde tenir compte.

Calendes de novembre 478

Effectivement, la famille avait bien été obligée de se faire à la décision de Pompeia Minor. En découvrant sa sœur, de plus en plus malheureuse depuis son mariage avec un vieillard cacochyme, la jeune fille avait juré que jamais elle ne se marierait et chercher une alternative de toutes ses forces. Surtout que son père semblait lui avoir déjà trouvé un époux. D’un seul coup, elle n’entendait plus que les histoires horribles que l’on racontait sur le mariage, comme cet homme qui avait emmuré sa femme vivante jusqu’à ce qu’elle meurt de faim et de soif tout ça parce qu’il l’avait surprise en train de boire dans son cellier. Sans compter qu’elle avait entendu, alors qu’elle était sensée se trouver à l’autre bout de la maison et ne pas saisir un mot de cette conversation, sa sœur se plaindre à leur mère des assauts répétés de son époux pour l’honorer.


- Par tous les Dieux, je jure sur la mémoire de mes ancêtres de rester vierge !

Et c’est là que la solution lui était apparue comme par enchantement : il lui faudrait devenir vestale. Ces femmes ne devaient jamais se donner à un homme, étaient délivrées de l’autorité paternelle sans retomber sous celle d’un autre et leur avis était écouté. Le problème – et il était de taille – venait du fait que l’on ne sélectionnait plus une petite fille dès qu’elle avait passé l’âge de dix ans. Pour mener son projet à bien, Minor devrait obtenir l’autorisation du grand pontife. Aussitôt dit, aussitôt fait : elle se rendit avec l’esclave qui lui servait de nourrice au temple de Vesta. Elle portait sur elle un parchemin contenant sa requête. Une fois en prières, elle s’approcha d’une des vestales qui entretenait le feu au cœur du temple en les suppliant de remettre sa lettre à la Virgo Vestalis Maxima. Elle vint ensuite tous les jours au temple, se perdant en prières afin que sa demande soit acceptée. Elle dût attendre deux mois, deux mois de silence pour que finalement, la vestale qui avait porté le message vint la voir :

- Ils en ont beaucoup discuté mais c’est accepté ! Ta famille en sera bientôt avisée !

Et voilà pourquoi, en cette belle matinée, Lucius Pompeius menait sa fille cadette au pied du Vésuve près du pontife le plus important de la région. Il lui offrit la délicate petite main blanche et le pontife récita :

- Afin de pratiquer les rites sacrés que la règle prescrit à une Vestale de célébrer, dans l'intérêt du peuple romain et des Quirites, en tant que candidate choisie selon la plus pure des lois, c'est toi qu'à ce titre je prends, Pompeia bien-aimée, comme prêtresse Vestale.

C’est ainsi que la jeune Pompeia Minor devint Pompeia Virginia et échappa au destin d’une femme mariée. De l’avis de tous, cette vie n’était pas faite pour elle.

Début de l’an 482

La jeune apprentie vestale se trouvait dans le temple de la déesse. Vêtue de sa stola et des vettae retenaient ses beaux cheveux châtains. Elle avait l’âge de terminer son noviciat pourtant puisque la plupart de ses compagnes avaient été choisies à l’âge de six ans et que leur instruction durait dix ans. Mais Pompeia Virginia avait son statut particulier, puisque c’était elle qui avait choisit sa voie et non le contraire. Pourquoi le Grand Pontife de Rome avait accepté sa requête, elle l’ignorait totalement mais le fait était qu’elle avait obtenu ce qu’elle voulait et n’en éprouvait pas le moindre regret, contrairement à ce qu’avait prédit son frère aîné. Leurs relations ne s’étaient pas dégradées mais elles ne s’étaient pas améliorées non plus.

Sa famille était venue lui rendre visite l’autre jour. Son père avait totalement accepté l’idée qu’elle soit vestale depuis qu’il s’était aperçu que sa sagesse, sa respectabilité et son statut pouvaient faire avancer ses affaires. Depuis, il n’hésitait plus à mêler sa fille à la politique, au grand bonheur de celle-ci qui menait la vie qu’elle espérait. Elle se sentait plus libre que jamais. Sa mère était heureuse pour elle également, la voyant s’épanouir de jour en jour, au moins elle avait réussit cela pour l’un de ses enfants. Pompeia est heureuse de voir qu’elle fait la fierté de ses parents. Et puis, ils lui ont amené son cher petit frère, le petit Flavius. Beau comme un Cupidon, il est drôle et vif, Pompeia est très complice avec lui et espère le servir dans ses affaires plus tard, comme elle le fait aujourd’hui avec son père.

Seule ombre au tableau : ses relations avec Pompeia Aurea n’ont jamais aussi distantes. Sa sœur lui rend de moins en moins visite et, quand elle le fait, il semble qu’elles n’aient plus rien à se dire. Sa sœur dont elle était si proche est devenue pour ainsi dire une étrangère. Pourtant, Pompeia ferait tout pour retrouver leur relation d’antan. Mais elle doit admettre que ses sœurs aujourd’hui sont les petites Claudia et Portia, les deux autres novices, beaucoup plus jeunes qu’elle, cela va de soi.

Laissant là ses réflexions, la jeune fille conclut sa prière et sortit du temple, accompagnée du licteur responsable des novices et se rendit dans la ville, songeant à l’avenir !

.
fiche (c) Semper Eadem



Dernière édition par Pompeia Virginia le Sam 9 Mar - 18:04, édité 2 fois
Jeu 7 Mar - 1:21
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Bonjour chère Pompeia Virginia
Heureux de faire votre connaissance.
Jeu 7 Mar - 19:26
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Enchantée également cher Marcus!
Jeu 7 Mar - 19:34
Re: Pompeia Virginia - le doux visage de l'Ambition   




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Dommage que vous ayez consacré votre vie aux Dieux Triste
Arene
Ven 8 Mar - 7:51
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Priam
₪ Arrivée à Pompéi : 21/08/2012
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Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: The Gods have no mercy, that's why they're Gods
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Gauche...
Priam
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Saoirse, ya pas à dire, c'est un merveilleux choix pour Virginia! Please

Je suis ravie que tu ais trouvé chaussure à mon pied ma jolie, prend ton temps pour la fiche, je sais que tu es dans une période chargée, on veillera sur elle! Razz
Ven 8 Mar - 16:58
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Merci monsieur Priam! Je l'aime beaucoup aussi Please Merci pour le délai mais je vais pouvoir m'y atteler plus tôt que prévu ^^ J'espère que ça plaira!

Marcus: est-ce qu'on dit des choses pareilles à une jeune fille respectable? Wink
Ven 8 Mar - 17:04
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Je n'ai aucune excuse ma chère ... je ne suis malheureusement pas quelqu'un de très respectable lol!
Patricien
Ven 8 Mar - 17:08
Re: Pompeia Virginia - le doux visage de l'Ambition   




Nemetoria Loreia Ovidia
₪ Arrivée à Pompéi : 22/08/2012
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Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: « Chacun de nous porte en lui le ciel et l'enfer. »
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mariée à Cnaeus Loreius Tacitus.
Nemetoria Loreia Ovidia
http://derouleurdepensees.tumblr.com/
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Bienvenue sur le forum !

Bonne chance pour ta fiche ! Aaah
Arene
Sam 9 Mar - 19:10
Re: Pompeia Virginia - le doux visage de l'Ambition   




Priam
₪ Arrivée à Pompéi : 21/08/2012
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Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: The Gods have no mercy, that's why they're Gods
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Gauche...
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Que dire, que dire... hormis que c'est absolument PAR-FAIT! Bave Yaaa
Sans rire, j'ai lu ta fiche comme on boit du petit lait: tout y est! Le background familial, ses états d'esprits, sa fragilité et en même temps sa force et son indépendance de caractère, les petits détails historiques qui tuent. Bon bref, j'ai vu la Pompeia que j'avais esquissé prendre vie sous mes yeux et ça c'est juste! Aaah

Donc, avec un immense plaisir et sans l'ombre d'une hésitation, tu es validée!

Pompéi est à toi, angélique et non moins ambitieuse Vestale! Razz

Sam 9 Mar - 19:57
Re: Pompeia Virginia - le doux visage de l'Ambition   




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Merci à vous chères admins :**:

ça fait d'autant plus plaisir que c'est délicat de prendre un personnage imaginé par quelqu'un d'autre, on a toujours peur que ça ne corresponde pas donc je suis ravie d'avoir répondu à tes attentes!

Au plaisir de te croiser en rp (si, si! Une vestale et un gladiateur, ça doit être possible)
Re: Pompeia Virginia - le doux visage de l'Ambition   




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