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 In manus tuas commendo corpus meum ₪ Tiberius Oppius Lucanus



POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Thermes de Stabies
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Jeu 3 Oct - 17:11
In manus tuas commendo corpus meum ₪ Tiberius Oppius Lucanus   




Numerius Petronius Vop.
₪ Arrivée à Pompéi : 01/10/2013
₪ Ecrits : 1544
₪ Sesterces : 183
₪ Âge : 22
₪ Fonction & Métier : Décurion

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Numerius Petronius Vop.
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In manus tuas commendo corpus meum
Tiberius Oppius Lucanus & Numerius Petronius Vopiscus
Les rayons d’un soleil déjà bien haut dans ce beau ciel bleu illuminent le mont Vésuve et réchauffent les pavés pompéiens en cette douce journée, un souffle de vent glacial me traverse de la tête aux pieds pour mieux me rappeler que l’hiver est là alors que je tourne au croisement entre la Via Stabiana et la rue de l’Abondance. A ce moment de la journée les rues, que je foule d’un pas lent et régulier, sont en pleine effervescence. Je me sens vivant, là, entre la boutique de Valentinus le plus grand potier de tout Pompéi - du moins selon ses propres mots pour les potentiels clients qu’il s’époumone à haranguer depuis son atelier - celles de Gaius et Caius, les deux tonsors ou coiffeurs de cette partie de la ville dont les boutiques se font face ou encore celle un peu plus lointaine de Marcus, le pistor ou boulanger du quartier, dont les odeurs de pain chaud se dispersent aux alentours au rythme des différentes fournées du jour. Parmi tout ce ballet de cris, de ventes, de trocs, d’odeurs, de passages, mon ventre commence à gargouiller, la matinée ne me semble pourtant pas si entamée mais toute cette agitation m’a donné faim. Je m’arrête un instant dans l’atelier de la jeune Hosta, il faudra d’ailleurs que je recommande son échoppe à mon oncle, elle fait des merveilles en cuisine. Je sors quelques pièces de ma bourse pour les échanger contre une belle cuisse de canard préparée magnifiquement bien que je vais m’empresser de dévorer sur ma route. Je rapproche la viande de ma bouche, l’arrêtant un instant à quelques centimètres de sa destination pour humer la délicate odeur de cette préparation, je croque dedans à pleines dents tout en fermant les yeux pour mieux apprécier les saveurs qui se mélangent dans mon palais. La viande est tendre, elle me fait voyager. Je sens les épices, la chair, la cuisson… c’est… cru ? C’est comme si le goût de la viande venait subitement de changer en quelques secondes dans ma bouche, il me semble même sentir le poids de l’animal dans mes mains, plus lourd… et ses pulsations aussi.

Un cri. Suivi d’un second. Et voilà que je rouvre les yeux pour voir la foule courir dans tous les sens, poussant des cris d’effroi. L’un d’eux s’arrête à ma hauteur, fixant mes mains avec un air mélangeant dégoût, incompréhension et horreur.

Mécaniquement mes yeux se baisse pour voir ce qui a attiré son reg…
Je recule ; instinctivement ; d’un bond en arrière. Ce que je tenais jusque-là dans mes bras s’écrase lourdement au sol. Niger ! Le corps sans vie de mon meilleur ami gît devant moi, une énorme morsure au cou. Ce n’est pas… Non… Je dirige ma main sur ma bouche, lentement, je sais ce que je vais y trouver mais je ne veux pas y croire. Ma main est toute proche, tremblante, plus que quelques centimètres, encore plus proche, encore… je m’essuie la bouche avec ma main. C’est… du sang !? Du sang en abondance. J’en ai sur toute la bouche, sur tout le visage. Son sang.

En regardant mes mains je ne peux que constater que je viens de manger une bouchée de mon meilleur ami dont le corps sans vie étendu au sol devant moi se vide de ses derniers centilitres de sang.

Dans la rue, les cris redoublent. La panique générale a laissé place à des scènes de combat. Des esclaves, armés de la tête aux pieds, sortent de partout, massacrent la population à tours de bras, riant de la détresse des habitants les suppliant de les épargner. On m’agrippe le bras. Instinctivement je sors mon arme et transperce mon agresseur. Je me retrouve nez à nez avec mon oncle, ma lame dans son cœur. Je rattrape son corps avant que celui-ci ne tombe sur les pavés. Je le serre contre moi de toute mes forces. Je cri. Je n’entends plus les bruits des armes, je n’entends plus les appels à l’aide, les rires de l’armée d’esclaves, je n’entends plus rien. Je cri, mais aucun son ne peut sortir de ma bouche.

Au plus fort de ma détresse, une ombre se dresse devant moi. Un colosse qui me fait face. Mais quand je sens ma mort imminente, le colosse approche son visage du mien.

« Tout ça c’est grâce à toi Bubo. Nous n’aurions jamais pu tuer tous ces gens si tu n’avais pas été là. »

Je reconnais Loctos, l’un des généraux du fils de l’Etna, qui me tape amicalement l’épaule avant me tourner le dos.
Non… ce n’est pas ce que je veux… Non… NON ! NON !

« NOOOON ! »
₪₪₪
Je me réveille en sueur, le cœur battant à toute allure et mon glaive dans les mains. Je reste comme ça quelques secondes, le temps de reprendre haleine et d’entendre tambouriner à ma porte.

« Décurion ? Tout va bien ? Décurion ? »

Je grommèle quelques mots contre ce soldat un peu trop zélé tout en reposant mon glaive dans son fourreau sur le guéridon près de mon lit, avant de me décider à me lever doucement.

« Décurion ? »

« Oui, oui… »

J’enfile rapidement quelques habits tout en me dirigeant vers la porte que j’entrouvre avant de lancer :

« Oui, oui, Lucius, tout va très bien, j’ai fait un mauvais rêve voilà tout, pas besoin de t’inquiéter. »

« C’est déjà la troisième fois cette semaine décurion. »

« Je sais oui… Tu n’es pas de corvée aujourd’hui ? »

Je veux m’en débarrasser le plus vite possible mais le jeune Lucius est assez tenace je dois bien l’avouer.

« Si décurion, je venais juste vous informer que votre oncle souhaite… » Le jeune homme n’a pas le temps de finir sa phrase qu’une main solide l’éloigne gentiment de l’encadrement de la porte.

« Merci gamin, tu peux nous laisser maintenant. »

J’acquiesce d’un signe de tête et Lucius s’exécute. J’invite mon oncle à entrer, après l’avoir pris dans mes bras. Je lui indique l’une des deux chaises autour de la petite table qui me fait office de bureau. Mon oncle Gaius inspecte rapidement la salle des yeux avant de s’adresser à moi tout sourire :

« Il ne s’est pas foutu de toi Titus Tetius Lurco, il t’a trouvé de beaux petits quartiers ! Ça doit te faire beaucoup de chan… »

Je ne l’écoute plus. Le regard dans le vide, les mains tremblantes je ne suis plus ici. Je suis retourné parmi ceux qui menacent toujours Rome, parmi ceux pour qui je ne suis pas Numerius Petronius Vopiscus soldat de Rome mais Bubo esclave en fuite, parmi les rebelles avec qui j’ai partagé sur ces 8 derniers mois bon nombres de repas, de poignées de mains et de combats. Je ne compte plus le nombres de lames qui ont posé leur marque sur ma peaux durant cette période mais tous leurs propriétaires et bien d’autres encore sont morts sous les coup de la mienne. J’ai tué. Tué à leurs côtés. Tué pour eux. J’ai gagné leur confiance en prenant la vie de ceux que j’avais juré de protéger. Je l’ai fait parce que c’était ma mission et les dieux savent que je n’ai que trop bien rempli ma mission. Des informations j’en ai gagné en effectuant les tâches les plus difficiles, en me faisant remarquer auprès de Lurcos une bête sauvage sans foi ni loi qui sert de général à cette armée de dégénérés, en me rapprochant de Cléita – peut être celle qui s’approche le plus de ce qu’on appelle humain dans cette armée de bêtes sauvages – jusqu’à en partager la couche. Parfois les informations glanées sortaient directement de la bouche de celui qui se fait appeler le fils de l’Etna, leur chef, le plus dangereux de tous. Maintes fois j’ai eu l’occasion de le tuer, lorsqu’il ne s’y attendait pas, lorsque je ne mangeais qu’à quelques pas de lui ou encore lorsque je lui faisais mes rapports d’éclaireur. Je ne l’ai jamais fait, peut être aurais-je dû… ça n’aurais coûté que ma vie, ma vie contre toutes celles qui ont été prises pendant tout ce temps…

« Hé Ho ! Tu m’écoutes ? »

La voix de Gaius me ramène à la réalité. Je cligne frénétiquement des yeux comme pour chasser mes sombres pensées avant de me tourner vers lui.

« Tu y penses toujours, hein ? Ça ne s’est pas arrangé depuis que tu es revenu… »

J’acquiesce en silence, je ne veux pas me l’avouer mais mon oncle ne peut que le constater.

« Cette mission… cette foutue mission… » murmure-t-il pour lui-même sans se rendre compte que je l’ai entendu.

Cette mission, c’était le grand Caius Licinius Murena qui me l’avait confié. L’homme fort de Pompéi à mon départ, un homme que j’admirais, un homme droit, qui respectait sa parole… tu parles ! Il aurait été rappelé à Rome pour une affaire urgente… affaire urgente mon œil oui ! Il a simplement fui devant le danger ! Me laissant tout seul au bout de deux mois, sans contact à rejoindre discrètement pour donner mes informations, pour en prendre de mes proches, pour me permettre d’entrapercevoir un brin de civilisation dans cette vie au milieu des bêtes sauvages. Et bien sûr la récompense à la hauteur de mon sacrifice d’après ses propres paroles, je peux d’ores et déjà faire une croix dessus je suppose. Tout ça c’est de sa faute, tout ce que mes pensées me font subir c’est à cause de lui. Parfois je me demande si ces esclaves n’ont pas tort finalement, les personnes comme Murena ne s’intéressent pas à ceux qui sont à leur service, ce ne sont que des pions pour eux, qu’ils endurent les pires sacrifices, les pires corvées, les pires humiliations, les pires blessures, qu’ils meurent, … tout cela n’a pas d’importance pour eux. Non ! Je ne dois pas penser ça, ce sont ces esclaves qui m’ont embrouillé le cerveau.

« Je les vois Gaius. Je vois leurs visages comme s’ils étaient juste là, devant moi. Je vois leurs visages horrifiés, me suppliants de les épargner, mais ma lame les transperce à chaque fois que je les vois, je ne veux pas, je ne veux plus… »

Gaius m’enlace dans ses bras. Ça ne fait que quelques semaines que j’ai trouvé une ouverture pour voler un cheval et m’enfuir de cette foutue armée d’esclaves sans me faire repérer. Les premiers gardes que j’avais rencontré avaient failli me tuer, me prenant pour un membre de l’armée que j’espionnais, ils avaient peut-être raison au final. A défaut de Caius Licinius Murena, ce fût à Titus Tetius Lurco que je transmis mes informations. Mes renseignements aboutirent à l’arrestation et l’exécution de tous ceux qui étaient entrés en contact avec l’armée du fils de l’Etna, du moins ceux qui n’avaient pas encore été trouvés. Le patricien avait semblé ravi de la quantité d’information que j’avais pu lui transmettre et m’avait pris sous son aile, les Licinii n’étant plus à Pompéi je suppose que je n’allais pas reprendre mon rôle de garde du corps de Licinia. En faisant jouer ses relations, il m’avait obtenu cette promotion en tant que décurion. Je suis désormais à la tête d’une redoutable troupe de dix cavaliers novices dont le plus vieux n’a même pas vingt ans. Je dirige des gamins, pleins d’envies et de fougues mais qui ne connaissent rien à la difficulté d’ôter une vie. Je me revois en eux, à cette époque où je n’étais qu’une jeune recrue bien trop naïve et pleine de rêve, une époque qui ne date que de 8 mois…

« J’ai du sang sur les mains Gaius ! Du sang romain sur les mains ! Romain ! Elles en sont recouvertes, de ce fichu sang indélébile. »

Est-ce que c’est de la tristesse ? Pas vraiment. De la colère ? Peut-être. Quoiqu’il en soit, quelques gouttes descendent tout doucement le long de mes joues pour atterrir dans les paumes de mes mains. Gaius s’empresse d’attraper mes deux paluches et les frotte frénétiquement avant de me répondre non sans un sourire.

« Tu n’as pas idée de tout ce qu’on peut faire avec quelques gouttes d’eau et un peu d’énergie. »

Il pose sa main sur mon épaule tandis que son regard s’enfonce dans le mien.

« Je ne vois aucune trace de sang sur ces mains Numerius. Je ne vois rien dans tout ce que tu as enduré qui pourrait faire de toi un traître ou un parjure. Mais je vois mon neveu qui se fatigue en s’imposant encore et encore le poids d’une fausse culpabilité sur les épaules depuis qu’il est revenu. Tu devrais essayer de te relaxer et te ressourcer un peu, t’es tendu jusqu’au bout des doigts. » Me dit-il avant de prendre congé pour une affaire commerciale urgente.

Je reste là, assis, les yeux dans le vide, ressassant ses paroles. Ça finira par passer, ça ira mieux demain, c’est ce que je me dis depuis des jours mais les mêmes cauchemars accompagnent toujours mes nuits, les mêmes visages me hantent. Au fond de moi je sais que ça ne partira pas comme ça de mon esprit, mais jusque-là j’avais rechigné à écouter cette petite voix qui me le disait, je m’étais concentré exclusivement sur mon rôle de décurion en entraînant mes novices. Je pensais… je pensais que si je m’acharnais à en faire les meilleurs soldats de Rome alors peut être… peut être que ça allait racheter tout ce mal que j’ai fait et qui me hante. Mais je m’acharne et le mal s’acharne aussi. Alors pour une fois je vais écouter cette petite voix et suivre les conseils de Gaius. Je vais prendre le temps de me détendre un peu aujourd’hui. Peut-être que je devrais rendre une petite visite à mon ami Niger ? Mais en ce moment je ne suis pas sûr que l’alcool soit une bonne solution… Ce qu’il me faudrait pour me détendre ce serait un bon massage. Depuis combien de temps je ne suis pas allé aux thermes moi ? Je ne sais même pas si je m’y retrouverai dans tous ces bassins. Mais plus qu’un peu d’eau chaude, les thermes c’est avant tout les meilleurs massages de la ville, surtout les thermes de Stabies.

Le temps de donner quelques consignes à un Lucius tout étonné et fier de se voir confier l’entrainement du jour et me voilà dans les rues pompéiennes. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas foulé ces pavés en m’attardant sur tous les éléments qui font la beauté de ces rues que j’emprunte, j’en avais un tout autre souvenir cependant. Avant mon départ les rues étaient bondées de monde à cette heure de la matinée alors que je retrouve une Pompéi fragile, meurtrie par l’atmosphère de ces derniers mois. Je retrouve une Pompéi à mon image, qui tente de relever la tête. C’est dur… dur de s’y remettre. Tout a tellement changé. La foule attendue a laissé la place tout au plus à une grosse poignée de citoyens ce qui n’est pas pour me déplaire, je ne serai que plus rapidement aux thermes à cette allure-là.

Encore une rue et j’arriverai aux thermes et… Oh mais cette odeur… des effluves de cannelle et de miel avec des touches d’agrumes et de gingembre. Evidemment que je reconnais bien là la délicieuse odeur du pain d’épices que prépare Marcus. Je me surprends à sourire légèrement, c’est l’une des rares boutiques où l’on doit toujours faire la queue pour pouvoir rentrer à l’intérieur, certains commerces sont immortels.

Je perds mon semblant de sourire quelques pas plus loin lorsque je réalise qu’habituellement j’aurais déjà dû croiser l’échoppe de la jeune Hosta dont j’appréciais si bien la cuisine. La connaissant elle ne rechignait pourtant jamais à se lever au plus tôt de la journée, elle n’aurait jamais commencé si tard habituellement. Quelques questions à un vieil homme assis à quelques pas de là plus tard et j’apprends que son petit commerce a coulé, comme bon nombre d’autres aux quatre coins de la ville. Tout ça à cause de la révolte, à cause de ce maudit fils de l’Etna et de ses sbires, à cause de moi !

C’est avec ces sombres pensées en tête que je gravis les quelques marches à l’entrée des thermes. Le bâtiment est encore plus imposant que dans mes souvenirs. Les colonnes majestueuses s’élevant sur plusieurs mètres m’avaient manqué, non pas que j’avais l’habitude d’aller souvent aux thermes mais c’étaient un symbole de civilisation, un symbole de la grandeur de Rome, indubitablement.

La palestre s’offre à moi, ce long gymnase au centre des thermes de Stabies où les plus motivés viennent s’entrainer à la lutte avant de gouter aux bienfaits que peut leur proposer le complexe. Mais la palestre parait bien vide actuellement, tout comme le reste du bâtiment. Les premiers visiteurs, les lève-tôt, doivent déjà être parti tandis que les autres ne sont pas encore arrivés je suppose.

« Je peux vous aider ? Vous voulez profiter de nos bains ? »

Me dis l’esclave se tenant devant moi. Il est arrivé si discrètement pendant que mon regard était concentré sur la palestre que sa présence me prend par surprise, par réflexe je cherche mon glaive à ma ceinture mais ma main ne saisit que du vide. Je jette un rapide coup d’œil sur le bonhomme, l’examinant de la tête aux pieds en une fraction de seconde. Est-il de mèche avec les rebelles ? Est-il là pour me tuer, moi qui me suis joué d’eux ? L’homme en face de moi paraissait bien frêle pour cette tâche, non Numerius, il faut que tu arrêtes de voir le mal partout.

« Je ne viens pas pour les bains, seulement pour un massage. » Dis-je en ôtant ma bourse de ma ceinture. « Y a-t-il quelqu’un de disponible ? Ou dois-je repasser plus tard ? ».

L’esclave m’indique de bien vouloir attendre dans le vestibule, il va s’enquérir de la disponibilité des masseurs. Je me demande si l’un des frères Oppii est disponible, leurs massages sont réputés bien au-delà de Pompei, on dit qu’ils ont des doigts experts, que ce sont des magiciens du massage mais je n’ai encore jamais eu l’occasion d’évaluer ces dires, à chaque fois que j’étais venu me faire masser par le passé j’étais tombé sur un subalterne. Aurais-je un peu plus de chance aujourd’hui?

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