Aquillia Aemilia ¤ Ero vester perfugium

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Aquillia Aemilia incarné(e) par Adelaide Kane Ave, étranger! Je suis Aquillia Aemilia, fille de Marcus Aquillius Victor. Né(e) à Rome, il y a 18 ans, je suis d'origine Romaine. La déesse Fortune a fait de moi une(e) élite patricienne et j'ai pour famille mon père et mon grand frère Lucius Aquillius Maximus Plus de 2000 ans plus tard, c'est Gabrielle qui m'incarne. Qui es-tu? Je suis originaire du Québec, plus précisément de Sherbrooke et j’étudie en Technique de bioécologie. Je suis petite, je fais 5 pieds seulement, mais les grands me font pas peur! ^^ Le forum? Que dire de plus que le design est a tombé par terre et que l’accueil que j’ai eu me fait chaud au cœur? Sérieusement c’est un des accueils les plus chaleureux que j’ai eu sur un forum (et dieu sait que j’ai un long parcourt derrière moi) Merci à vous <3 Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [X] que mon personnage soit adapté en scenario / [X] que le staff le fasse disparaître de Pompéi par mort ou départ (cochez selon vos préférences), et ce pour permettre à mes liens importants de ne pas être gênés. Mais ça n'arrivera pas.

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→ Ce que je pense de Pompéi
Je ne peux me faire une idée bien précise pour l’instant, puisque je viens d’arriver à Pompéi pour y habiter avec mon frère. Toutefois, pour le peu que j’ai vu, la ville semble être perpétuellement en éveil de jour comme de nuit. Je n’ai pas encore fait la connaissance de jeune gens de mon statut, mais j’espère que bientôt cela sera le cas afin que je puisse bien m’adapter à cette nouvelle vie.

→ Ce que je pense de la politique
C’est une affaire d’homme. Je ne souhaite pas y prendre part d’aucune manière que ce soit et cela même si mon père fait partie du Sénat et que mon frère souhaite suivre ses pas. Je connais ma famille et je sais très bien qu’ils peuvent se débrouiller sans moi dans les tourments de la politique. Je suis peut-être une adepte des complots pour mon propre bénéfice, mais cela reste mineur comparé aux jeux politiques.

→ Ce que je pense des jeux
Les gladiateurs. Ce sont des êtres sauvages, certes forts et courageux, mais pour la plupart je crois qu’ils blessent leur adversaires par plaisir et cela me dégoûte au plus haut point. Ce sont de bons combattants rien de plus et il n’est pas nécessaire que je m’y intéresse. Ces jeux sont bons pour ceux ayant de la frustration et de la colère à évacuer. Je déteste être obligée de les regarder, je trouve cela outrant. Toutefois, je me plais à regarder le théâtre et les courses diverses afin de me divertir. J'aime la compétition et je trouve cela exaltant lorsque mon favori remporte la victoire.   

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
Franchement, je préfère essayer de ne pas y penser et vivre au jour le jour. Cela ne ferait que m’inquiéter. Que ce soit pour mon mariage futur ou bien de mes nouvelles obligations en tant qu’épouse. J’ai 18 ans et la date fatidique de 20 ans approche à grands pas et je sens de plus en plus l’étau se resserrer autour de ma poitrine.

→ Ma pire crainte
Que mon frère meurt. J’ai déjà le fardeau de la mort de ma mère à porter et je ne crois pas être en mesure de résister à une autre perte.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Étant romaine, il est évident que je vénère la Triade.  Toutefois, lors de la mort de ma mère, malgré toutes mes prières afin qu’elle se rétablisse, elle est morte. J’ai alors perdu toute foi en mes dieux.

Les doigts tremblants, je défis le sceau de la lettre que m’avait envoyé mon frère et lu la date. Cela faisait dix jours qu’il me l’avait écrite. De nombreux évènements pouvaient s’être passés depuis. Toutefois, je gardais espoir de le revoir à la fin de cette guerre. Lentement, mes yeux parcoururent les mots qu’il m’avait écrits et je sentis les larmes me monter aux yeux. Cela m’était insupportable de le savoir si loin de moi entouré de dangers. La mort de mère m’a laissé un grand vide dans la poitrine que je pense ne jamais pouvoir un jour le comblé. La seule raison pour laquelle j’ai tenu le coup c’est à cause de Lucius. S’il n’avait pas été là, j’ose imaginer ce qui aurait pu se produire. La simple pensée de perdre mon frère à la guerre me remplissait d’effroi. Un nom en particulier attira mon attention. Celui de Marcus Vinicius. Lucius m’écrivait qu’il était un allié de taille. J’en pris bonne note en souhaitant ardemment que cet homme allait protéger mon frère durant les batailles à venir et me le ramener sain et sauf. Coinçant une mèche derrière mon oreille j’entrepris de me lever et de me diriger vers mon balcon. Le vent invisible, mais perceptible me rappelait le lien qui m’unissait à mon frère. J’avais la ferme conviction que s’il lui arrivait malheur je le sentirais du plus profond de mes entrailles. Je l’aimais autant qu’une sœur pouvait aimer son frère, il était tout pour moi.

Les jours passaient, sans aucune nouvelles de mon frère. Je commençais alors à dépérir et mon père, soucieux de ma santé essaya de me changer les idées. Il organisa alors une grande fête en mon honneur pour mon anniversaire. C'est là que j'y rencontrai pour la première fois mon premier amour. Il était beau, jeune et si séducteur que je tombai sous le charme instantanément. Je gardai toutefois cette relation secrète. Nous partagions des étreintes passionnées sans toutefois aller jusqu'au bout puisque je voulais être pure pour mon mariage.

Mon père avait réussi, je n'ai jamais eu autant de plaisir et je me rendis alors compte que ce n'était surement pas comme cela que mon frère voulait que je réagisse face à son absence. Cette soudaine prise de conscience m'amena à vouloir me dépasser et m'amuser autant que possible comme je le faisais avant son départ. Mon père recevait des missives de quelques prétendants et me les faisait parvenir afin que j'y jette un œil. Évidemment, je n'avais pas mon mot à dire quant à celui que j'allais épouser, mais il souhaitant tout de même que je sois au courant des possibilités de mon avenir. Cela me plaisait d'attirer l'attention des hommes, mais penser à mon futur m'inquiétait énormément. Après tout, j'avais reçu une très bonne éducation dans ma jeunesse et je n'étais pas assez idiote pour songer à me marier à un homme que j'allais aimer et de mon âge.

Je passai de plus en plus de temps avec mes amies et je me bâtis une réputation de noble femme. Douce mais courageuse je faisais la fierté de mon père lors des réceptions. Je me plaisais ainsi à faire l'unanimité de tous et chacun, fière au plus haut point de mon statut.

Un jour, alors que je revenais d'une fête bien arrosé, je le vit. Mon frère était là. Juste devant moi à quelques pas seulement. Lâchant un cri, je courus me jeter dans ses bras en pleurant à chaude larmes en même temps que de le frapper de mes poings tout en lui hurlant de ne plus jamais s'en aller sans moi. Il me prit au mot et me demanda de l'accompagner à Pompéi, ce que, bien entendu j'acceptai sans plus attendre.

Les peu de jours que je passai à Pompéi fut épuisant puisque je devais sans cesse repousser les avances des femmes à l'encontre de mon frère. Je détestais qu'une femme se rapproche trop de mon frère. Pour moi, aucun n'était assez bien pour lui. C'est alors je me mis à comploter contre elles afin qu'elles passent leur chemin. À chaque fois je réussissais. J'avais un certain talent dans le chantage il faut dire. De plus, j'étais très persuasive en utilisant presque tous les moyens afin de les éloigner. Je ne regrette rien, elles nous étaient inférieure de toute façon. .

Hormis m'occuper de mon frère,et je continue de rencontrer et de m'amuser avec le peu de personnes que je connais à Pompéi.