Orion ▬ Le glaive à la main.

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Orion incarné(e) par Gerard Butler Ave, étranger! Je suis Orion. Né(e) en Gaule, il y a 35 ans, je suis d'origine Gauloise. La déesse Fortune a fait de moi une(e) Dieu de l'arène et j'ai pour maître(sse) Ludus des Lucretii Plus de 2000 ans plus tard, c'est Pomme qui m'incarne. Qui es-tu? vous en quelques mots: Je viens de Belgique et j'ai 19 ans, je suis sur les forum de rpg depuis quelque temps déjà, mais a vrais dire a chaque fois que je m'installais sur un forum il finissais par coulé, j'ai toujours préféré les petites communautés où il est plus facile à s'intégrer. Sinon je suis un cuisto ;3 Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [X] que mon personnage soit adapté en scenario / [] que le staff le fasse disparaître de Pompéi par mort ou départ (cochez selon vos préférences), et ce pour permettre à mes liens importants de ne pas être gênés. Mais ça n'arrivera pas. [/b]

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→ Ce que je pense de Pompéi
J'y serrais venu habiter, sans nul doute, j'aurais pu même y fonder une famille. Tout ça, bien évidemment si je n'étais pas un esclave, car tout ce que je viens de dire n'a aucune valeur sans droits.

→ Ce que je pense de la politique
J'en ai que faire de la politique, et pourquoi me demanderez vous ? Parce que rien n'a de sens. Peut-être n'aurais-je pas le même point de vue si je n'étais pas un esclave ? Peut-être je trouverais ça normale ? Peut-être même que j'apprécierais les combat de gladiateur !

→ Ce que je pense des jeux
Je suis une des attraction des jeux. Un gladiateur. J'ai rarement perdu un combat, mais j'ai réussit à me faire aimer du publique ce qui m'a permis de m'en sortir indemne les rares fois où je me suis fait battre. Pour moi cela ne devrais pas exister. Nous devrions tous être égaux, tout homme devrais avoir les même droits. Je me demande parfois comment réagirais tout ces gens si on les mettais à notre place.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
Un avenir ? Quel avenir ? Je suis condamné à servir jusqu'à la fin de mes jours. Je peux toujours espérer de me faire affranchir un jour et puis même si s'était le cas, je ferrais quoi du restant de mes jours ? Il serra sans doute trop tard pour que je fonde une famille et puis même si cela devais arriver aujourd'hui, qui voudrais d'un affranchis pour mari ?

→ Ma pire crainte
De quoi peut avoir peur un homme qui n'a plus rien a perdre ?  Je reste debout et comme tout mes camarades, je ne me laisserais pas abattre, je tiendrais jusqu'au dernier souffle et même si pour eux je ne serrais qu'un vulgaire divertissement, j'aurais la satisfaction de savoir que je suis bien plus fort qu'eux.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Je suis né d'une mère gauloise et d'un père Arménien qui était juif, il m'a tout appris de son dieu et c'est le seul que je vénère secrètement. Mais en arrivant à Pompei, on m'a ordonné de vénérer un de leur dieux, pour ne pas créé de polémique.

Je suis né en esclavage, privé de ma liberté et de mes croyances. Séparé de ma famille dés mon plus jeune âge pour une maigre sommes. Chaque nuit je me remémore le jour où j'ai vu ma mère pour la dernière fois. Ils avaient attaché ses poignets à un arbre pour qu'elle me vois partir. Je ne comprenais pas. Je ne comprenais rien. Mais c'était ainsi, tout a toujours été comme ça. Je n'avais pas d'avenir et j'ai voulu m'en forger un... Durant des années j'ai préparé un plan d'évasion. Et un jour il fut temps de passer à l'acte. Tout c'était passé comme prévus, je connaissais l'emplacement de chaque garde présent sur les lieux et j'ai réussi à crocheter la serrure de ma cage. Tout se passait comme prévus, j'avais presque atteint but. Mais un garde m'avait remarqué. Je n'allais pas abandonner si près du but ! Je me suis précipité vers lui et tout en l'évitant, j'ai saisi le glaive que tenait le garde et je le lui ai enfoncé dans le coeur. C'était la première fois que je tuais un homme, je me disais que c'était la dernière fois aussi. Je ne pouvais pas me rendre compte a quel point je me trompais. Il n'a fallus pas plus de cinq secondes pour que les cris de l'homme s'arrête. Mais s'était trop tard. Les autres étaient déjà alertés, j'ai relevé la tête et j'ai vu une dizaine de garde courir vers moi. C'était la finis, je croyais que tout allait se terminer là. Valait mieux se rendre et vivre encore quelques jours que de mourir ici. Mais c'est à ce moment même que je me suis rappelé que ce n'est pas une vie ça. Je m'étais trompé sur toute la ligne ! Il valait mieux se battre que d'abandonner. Il fallait que je garde espoir ! C'était ça le sens de ma vie, même si elle devait se terminer maintenant. J'ai saisi le bouclier du garde mort et son glaive. Et tout en poussant un cri j'ai chargé sur un groupe de trois personnes. Je me suis combattus comme courageusement, mais je ne suis qu'un homme et je n'ai pas su vaincre. L'un d'eux a bien faillit me crever l'oeil d'un coup d'épée, ce qui me déstabilisa et me fit tomber. L'un d'entre eux s'approcha de moi et me dis "S'en est fini pour toi sale vermine". Il leva son arme, mais j'ai continué à le fixer dans les yeux, sans craindre la mort. "Je vous l'achète, mon camarade." Mon bourreau fut arrêté par cette voix. Cette voix que je connaissais très bien, car c'était un très bon ami à mon maître. J'ai donc tourné la tête dans sa direction et je l'ai vu lui et mon propriétaire marcher aisément vers nous. "Mais, Mummius, voyons, il est dangereux, vaut mieux l'abattre immédiatement" "Non, je le veux lui... J'ai besoin d'homme déterminé, n'est-ce pas ce qu'il viens de nous démontrer là." "Mais il a essayé de s'enfuir..." "Peut-être bien... Mais n'auriez vous pas fait pareille si vous étiez à sa place ?". Un moment de silence s'installa. C'était une question assez déplacée, mon maître a juste fais signe de me remettre en cage.

A peines quelques heures plus tard un garde vint ouvrir la cage dans laquelle je me trouvais. Je pensais qu'il voulait me ramené au cachot, là où nous logions comme des rats, comme chaque fois, tard le soir. Mais à peine sortis de celle-ci que le garde m'assomma. Il va sans dire que je ne me souviens de rien de ce qui s'est passé, jusqu'au moment où je me suis réveillé, les mains liés d'une corde trop serrée, dans une remorque tirée par un chevale avec trois autres hommes qui parlaient ensemble. Encore légèrement sonné, j'ai tourné la tête vers l'arrière de la remorque pour voir s'il y avait un moyen de s'échapper sans se faire remarquer. Raté ! Deux autres gardes voyageaient à chevale. "Ah tu t'es enfin réveillé ! Gladiateur !" J'ai tourné ma tête vers cet homme qui m'expliqua qu'un homme nommé Mummius a décidé de m'acheter pour devenir gladiateur. Son sors à lui était de devenir simple esclave dans le même Ludus que moi. Nous arrivions enfin à Pompei. Les citoyens nous regardaient comme si nous étions de vulgaire déchets. Ils ne se doutaient pas que d'ici quelques années, la plupart d'entre eux vont m'adorer, mon non plus. Alors que je n'avais que dix-sept ans, on allait me préparer à devenir un combattant ou à mourir. Je me suis alors dirigé vers ludus que j'allais dorénavant servir. Mais un homme m'arrêta, le doctore. Il m'avait demandé comment je m'appelais. C'est alors que je me suis rendu compte que ça faisait des années que personne ne m'a donné de nom. Etant le plus jeune des esclave dans mon ancien domus, tout le monde m'appelait "petit". J'ai vu sur le visage de l'homme qu'il avait pitié pour moi, ne pas se souvenir de son propre nom est sans doute plus affreux que je ne pouvais m'en rendre compte. "Orion... Voilà ton nom.".