Ab uno disce omnes

→ Ce que je pense de Pompéi
Pompéi est ma ville depuis que mon père a décidé d'y revenir. Je n'ai jamais eut beaucoup d'intérêt pour Pompéi vu que je suis romaine et le fait que l'on nous voit si mal par ici ne fait que rajouter de l'agacement à ma pensée de cette ville. Elle est certes belle, les jeux intéressant.. mais pour le reste... je n'en ai que faire. Cette ville a détruit ma famille il y a 20 ans, la réduisant à une famille déplorée par la culpabilité discutable d'avus Caius Licinius.. Cette ville a jeté sur nous le voile de la honte et c'est pour le lever que ma famille est revenue ici. Même si je ne pense pas que Pompéi vaille que l'on veuille reprendre le pouvoir. Cette ville me vaut rien sans nous, et qu'importe si elle reste médiocre.

→ Ce que je pense de la politique
Je n'ai aucun avis sur la politique. En tant que femme je n'ai aucune vue sur les sujets de politique aussi je ne m'y intéresse point.

→ Ce que je pense des jeux
Les jeux de Rome m'ont beaucoup marqué. Grandioses et toujours parfait, j'avoue avoir eut quelqu'appréhensions quand à ce que pourraient donner les jeux de Pompéi.. j'ai été agréablement surprise de voir qu'il y avait un assez grand soin opéré pour ces jeux. Les gladiateurs, dont je ne regarde que peu les combats, bien trop violent pour moi, sont tout de même bien entraînés.. et bien choisis aussi.. De même les jeux sont assez.. biens. Rien de fantastique mais je suis surprise qu'une ville comme celle ci puisse offrir de telle divertissement.. Pour ma part je préfère le théâtre de toute façon.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
Notre avenir ici... Mon avenir ici... je le vois... Meilleur que celui que nous avons aujourd'hui. Moins radieux que celui que nous aurions eut si nous étions resté à Rome. Couvert du voile de la vengeance tout du reste.
Je n'ai pas de rêve.. disons plutôt plus de rêve. J'en ai eut.. beaucoup.. très beau.. mais voyez vous.. mon chemin a croisé celui d'un homme.. puis d'un autre.. et le second est encore aujourd'hui en vie et m'empêcher d'espérer quoique ce soit dans cette vie.

→ Ma pire crainte
Je n'ai pas peur. Je n'ai pas de crainte. J'ai déjà perdu tant que je ne suis plus effrayé de perdre quoique ce soit. Quand on a perdu la confiance de son père, l'amour d'un seul homme, l'estime de soi, les rêves d'enfance.. on n'a plus aucune crainte car il n'y a rien à perdre ni à gagner.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Les Dieux sont au dessus comme les hommes sont en dessous. Nous faisons des erreurs quand eux font tout pour nous protéger. Ils représentent le meilleur de nous comme le mieux. Je ne sais pas trop comment l'expliquer mais ce qui est certain c'est qu'Athéna est ma déesse, celle que j'écoute et chéri.

A l'origine il n'y avait pas d'enfant dans la demeure romaine de la famille Licinia. Un couple, des esclaves, des professeurs, des dames de compagnies et des notables mais aucun enfant. Puis un soir, un cri, un pleur, un souffle et la vie fut insufflé en la personne de Licinia Domitia. Petite chose fragile au teint pâle et plus de ressemblance avec sa mère que son père, l'enfant est comme un petit rayon de soleil dans la demeure qui a passé des temps bien douloureux. Après le scandale de son grand père, les premiers jours de la petite Licinia Domitia sont très movuementés. Peu de gens dans la demeure patricienne sont heureux pour elle d'être née après de telles âfres. Sa mère qui mourrut peu de temps après était la seule à vraiment tout faire pour que sa fille n'est pas à supporter le poids des erreurs du avi pater. A son décès, Licinia Domitia n'a que deux ans et la petite fille sera aussi bouleversé qu'à peine effleuré par la disparition de sa mère. A ses yeux

The world begins with me...

Wherever it falls in ice ...
Or in fire, it ends with me.