Cnaeus Loreius Tacitus



POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Exilés
Partagez
Lun 15 Avr - 0:06
Cnaeus Loreius Tacitus   




avatar
Invité
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

(c) copyright Mistaken
Cnaeus Loreius Tacitus
incarné(e) par Ben Whishaw
Ave, étranger! Je suis Cnaeus Loreius Tacitus, fils de Lucius Loreius Blaesus. Né à Pompéi, il y a 28 ans, je suis d'origine romaine. La déesse Fortune a fait de moi un patricien et j'ai pour famillen Lucius Loreius Blaesus, Nemetoria Loreia Ovidia, Loreia Minor.


Plus de 2000 ans plus tard, c'est Sevy qui m'incarne. Qui es-tu? Un Rrrrrrouuuux ! Qu'a 18 ans (plus pour longtemps) et qui a été traîné de force par Neme qui veut visiblement me faire des poisses... No
(c) copyright Mistaken
Pompéi & moi

→ Ce que je pense de Pompéi
Pompéi est ma ville natale, j'y ai grandi, j'y ai été formé. J'apprécie ses ruelles débordant de vie, le calme de ses villas, je suis attaché à cette ville, qui a vu naître, et vivre, mes ancêtres avant moi, et qu'ils ont pu gouverner au fil des générations.Mais pour moi, cette ville est bien davantage un plateau de jeu, où les patriciens placent leurs pions. C'est une toile complexe, où s'entredéchirent des dizaines d'araignées avides de pouvoir. Cette ville... C'est ma ville. Un jour, je règnerai dessus sans partage.

→ Ce que je pense de la politique
La politique... La politique, c'est moi, tout mon être. Ma famille a longtemps côtoyé les élites de cette belle ville. Jusqu'à ce que mon père en devienne le patricien. Mais maintenant, il se meurt. Alors la politique sera l'art par lequel je vengerai l'honneur déchu de notre famille, qui nous rendra notre pouvoir d'antan. Je suis bien décidé à renverser les élites patriciennes, sur leur propre terrain. La politique est l'art de s'entredéchirer, en versant le moins de sang possible, le moins d'or possible. Réfugié sous mes mines froides et austères, je compte bien y exceller.

→ Ce que je pense des jeux
Pompéi est mon cirque, et ma destinée me pousse à revêtir la tenue du gladiateur. Les jeux du cirque ne sont que des jeux dans le Jeu, dans le combat politique. Je ne regarde guère les gladiateurs, mais les champions payés par les patriciens, les alliances qui se tissent dans les gradins, et la foule qui ondule dans l'amphithéâtre, animée par ce spectacle de chair et de sang.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
Je veux le pouvoir. Je veux restaurer l'honneur et la gloire de ma famille, des Loreii. Pompéi est mon terrain de jeu, et je compte bien faire s'agenouiller face à moi les trop nombreux patriciens qui ont méprisé notre nom. C'est là ma destinée, je le sais, et je préfère mourir que connaître à nouveau le déshonneur.

→ Ma pire crainte
Je ne veux pas que le déshonneur, l'opprobre recouvrent à nouveau notre famille. Les moqueries à l'encontre de mon père ont marqué mon enfance, et je crains par dessus tout que notre nom soit à nouveau moqué, calomnié. Je ne tolèrerai pas le moindre déshonneur à l'encontre de ma famille, des miens.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
En privé, je vénère mes ancêtres, les Loreii. Ils sont ma chair et mon sang, mon passé et mon avenir. Je leur doit tout, ils me guident dans ma vie quotidienne.
En public, je ne vénère les dieux que pour de simples vues politiques, pour satisfaire les différents clergés, pour apparaître en public. J'honore en particulier Minerve, pour sa justice, son intransigeance. Car j'espère bien que justice sera faite à ma famille.

Mon histoire

Ave.

Quoi comment ça ? Pourquoi ne me laisse-t-on pas entrer librement dans cette belle cité ? Ignorez-vous donc qui je suis ? Ne suffit-il pas que je vous dise que suis Cnaeus Loreius Tacitus, fils de Lucius Loreius Blaesus ? Non ? Bien. Vous vous en repentirez citoyen. On n’offense pas ainsi le digne héritier des Loreii, cela je vous le garantit. Puisque vous voulez tout savoir de moi, je vais me plier à votre loi – pour cette fois.

Les dieux ont béni la destinée de notre famille, la gens Lorei. Nous avons prospéré sur les riches terres du mont Vésuve, nous avons glorieusement servi la République, et notre belle ville de Pompéi. Puissants parmi les puissants, notre nom était respecté, et notre voix, entendue.

Mais les dieux sont cruels, et reprennent bien souvent ce qu’ils donnent avec prodigalité. Piètre orateur, mon père, Lucius Loreius Blaesus, fut contraint de se détourner de la politique. Entraîné par sa carrière militaire loin de nos terres, il ne sut honorer notre nom, qui perdit de sa grandeur. Junon maudit notre famille, et la maladie emporta mes deux frères aînés. Ma mère ne donna plus naissance qu’à une seule fille, alors que j’avais huit ans, et périt en couches. Notre nom périclita, les clients de notre famille se détournèrent de nous pour chercher la protection de plus puissants. C’est au sein de cette famille que j’ai grandi, que je me suis formé. Je ne savais qu’à peine écrire, et déjà, j’étais confronté à la destinée de notre sang, à l’opprobre qui touchait notre famille.

Gloire et honneur. On me matraqua ces deux mots dès mon plus jeune âge, ces deux mots qui faisaient tant souffrir mon père. La gloire nous avait abandonné avec la Fortune, et l’honneur de servir notre ville n’était plus. Mon père devint exigeant, et son exigence devint folie. Il souffrait de cette chute qu’il ne pouvait enrayer, et plaçait ses espoirs en moi. Son fils. Son unique fils. Il voulait que je devienne décurion, questeur, édile… Avec lui, notre famille avait abandonné le cursus honorum, il voulait de moi que je reprenne la tradition ancestrale. Il voulait que ma voix résonne au sein de l’ordre des décurions, et par dessus du forum. Mais je ne voulais pas. Je ne voulais pas parler. Je n’avais que trop entendu les quolibets des patriciens, lorsqu’il arrivait que mon père prenne la parole. Je n’avais que trop ressenti cette honte, qui souillait notre sang. Le simple cognomen de mon père me faisait monter le rouge aux joues, dès lors qu’on me le rappelait. Je préférais me taire. Plutôt le silence que le déshonneur. Mieux valait être Tacitus que Blaesus. Je me renfermai sur moi-même.

Solitude et Silence furent les deux compagnes de ma jeunesse, fidèles amies. Ni les coups, ni les cris de mon père ne me firent sortir de ma retraite. Il ne pouvait compter que sur moi. Je décevais ses attentes, ses espoirs. Sa rages le rendait violent, parfois. En vain. L’honneur m’interdisait de parler. Surtout pas devant lui. Je ne voulais pas céder face à cet homme là, face à ce soldat qui abandonnait sa famille pendant de trop longs mois, parfois des années. Il ne faisait plus partie de notre famille. Il était mon père, et je le respectais, mais n’était pas un Lorei.

J’étais seul. Je n’avais pas de famille. Si… Il y avait ma sœur. De huit ans ma cadette. Elle était tout ce qui me restait, et n’avait que moi pour la protéger, pour lui transmettre l’héritage de notre sang. Gloire et honneur. Nous portions le même nom, nous étions les deux seuls héritiers directs de ce nom. Nous ne faisions qu’un, et je devenais bien plus que son grand frère. J’étais son aîné, son patriarche. J’étais son bouclier et son confident. Son ami, son chevalier. Le même sang coulait dans nos veines. Elle n’avait que moi. Et, sans me l’avouer, j’avais besoin d’elle. Elle était mon seul point d’accroche, mon seul havre de paix. Nous partagions la même destinée, honorions les mêmes ancêtres. Nous étions faits de la même chair, ressentions les mêmes souffrances. La même mère nous avait porté, les mêmes murs nous avaient vu grandir… Malgré l’écart d’âge, nous étions proches. Très proches.

Nous étions tous deux confrontés à l’amertume de notre père, à sa violence. Elle bien plus que moi. Elle était celle qui avait tué sa femme, son crime rejaillissait sur notre maison, l’éclaboussait de sang, et de déshonneur. Matricide… Le mot résonnait parfois, cruel, violent. Je n’avais que des souvenirs imprécis de ma mère, de sa mort. Mais elle ne l’avait pas tuée. Elle n’avait pas pu commettre ce crime. Elle était de notre sang, de notre famille. Et elle restait tout ce qui avait survécu à la mort de notre mère, ce dernier bout de chair palpitant, que l’on avait arraché à la mort. Je devais la défendre, défendre ce dernier lambeau de vie. La défendre contre un père qui la haïssait. Il la frappait, souvent. L’insultait. Elle lui avait ôté tout ce qui lui était cher. Elle lui avait ôté toute chance d’avoir un autre fils légitime. Je la défendais, comme je le pouvais. Je la cachais, souvent. Assumais ses maladresses, les dissimulaient. Me dressais contre mon père, parfois. Rarement. Il restait mon père, malgré tout… Mais toujours, c’était moi qui la réconfortais, moi qui la serrait contre moi, et la berçait lorsque, brusquement, elle redevenait le petit nourrisson apeuré qu’elle avait été. J’étais son frère, malgré tout.

Le temps ne fit qu’empirer les choses. Ma sœur ne ressemblait pas à mon père, et cela devenait plus flagrant à chacun de ses anniversaires. Les anciennes connaissances soulignaient parfois à quel point son visage rappelait celui de sa mère. La plupart du temps ils se taisaient, l’air grave. Je ne savais que trop pourquoi, et cela m’était devenu insupportable. Je ne voulais pas que cette sœur chérie, cette fidèle amie, devienne le déshonneur de notre sang. Je tenais bien trop à elle, mais l’idée que, loin de nous, l’on murmure contre elle des remarques insidieuses me blessait. Elle portait notre nom, et tout ce qui pouvait l’éclabousser couvrait de honte notre famille. Peu importait à mon père que, parfois, on la désigne du doigt, de loin. Peu lui importait qu’on l’insulte, en cachette. Il ne faisait peu de cas de sa fille, de celle qui portait son nom. Qu’on la surnomme « la bâtarde » ne lui faisait rien. Je pense même qu’il s’en réjouissait, secrètement, oublieux de l’honneur de son sang.

Ce fut à ce moment là que j’entrais vraiment en politique, que je devins le réel patriarche de la gens Lorei. J’avais eu, autre fois, un fidèle compagnon, un camarade qui partageait mes jeux, mes joies, mes tristesses. Nous avions fait, du temps de notre jeunesse, mille serments, nous avions grandis ensembles, sans jamais que le temps ni nos conditions différentes ne nous éloignent. Il était mon ami, mon véritable ami. Son père n’était qu’un plébien, contraint de travailler pour gagner sa vie, contraint de chercher l’amitié des puissants pour le protéger, l’amitié de ma famille. Il était droit, honnête, et ma mère l’appréciait. Mais il nous était inutile, cela, j’en étais conscient. Pourtant, il était devenu l’un des intimes de notre famille, le plus proche compagnon de ma mère. Mais ma sœur lui ressemblait. Trop. Il avait été trop proche de ma mère. Lorsque j’en eus acquis la certitude, lorsque je fus certain que mon père ne ferait rien, je congédiai mon ami, renvoyai son père hors de notre villa. Je leur interdisais à tous deux de revenir, de nous adresser le moindre mot, de nous lancer le moindre regard en public. Je brisais ma plus forte amitié, pour sauver ma sœur, pour sauver l’honneur de ma famille. Jamais il ne serait plus dit que ma mère aurait commis une telle faute, jamais il ne serait plus dit que ma sœur serait une bâtarde. Elle était de mon sang. Je lui devais cela. Le soir même, mon père eut une discussion animée avec moi.

Dix ans ont passé depuis ces évènements. A présent, mon père se meurt, et je me dois d’être à son chevet. Un mal étrange l’a frappé le lendemain de mes épousailles, comme si, devenu un homme accompli, il étais désormais à moi de reprendre en main les affaires de notre famille. Comme si l’heure de mon destin était venue, comme si la destinée de notre sang se rappelait à nous. C’est ce que l’on entend dire, parfois.

Mais je sais la vérité. Je sais ce qui s’est passé, ce jour-là, le jour de mon mariage. J’ai aperçu la main qui versait le poison dans la coupe de mon père. La main de ma sœur. J’ai aperçu le regard qui s’est appesantit sur lui toute la journée durant, ces yeux qui n’ont pas quitté ses lèvres lorsqu’il buvait la coupe mortifère. Les yeux de ma sœurs. Oui, ma sœur a tué mon père, qui n’était pas le sien. Je peux la comprendre. Il lui a rendu la vie dure, je le sais. Il n’a jamais été tendre avec elle. Oui, ma sœur a été une criminelle, mais elle est ma sœur. Peu m’importe qu’elle soit coupable, nous portons le même nom. Nous resterons unis. Toujours.

Mon père… Mon père ne faisait plus partie de notre famille. Il avait été dur, violent, incapable. Il n’avait pu su conserver notre honneur, notre place. Il n’était pas un Lorei. Il ne mérite pas notre pitié. Il se meurt, naturellement, d’une mort atroce. Je ne sais pas si ma sœur a voulu se montrer cruelle, ou si elle n’a pas su doser le poison. Peu importe. Je suis son fils, et je me dois d’être à son chevet. Je dois être digne, respectueux. Je dois honorer mon nom, qui était celui de mes ancêtres avant d’être le mien. J’attendrai sa mort, patiemment. Puis je prendrai sa place, enfin. Et alors, je restaurerait la grandeur de notre sang. Gloire et honneur.

Maintenant j’ai une femme, aussi. Une inconnue, que j’ai délaissé pour assister mon père dans ses derniers moments. J’ignore pourquoi il l’a choisie, elle est de haute naissance m’a-t-on dit, mais elle vient de Rome. Un monde à part. Il me faudra apprendre à la connaître, sûrement. Il me faudra lui faire des enfants, pour perpétuer notre race. Il me faudra la faire entrer dans notre famille. Qu’elle serve son nouveau nom, sa nouvelle gens, à présent.

Quoi qu’il en soit, je tiens enfin mon destin entre mes mains. Je suis maître chez moi, je suis le patriarche de ma famille. Je suis un homme mûr à présent, et l’avenir m’ouvre ses bras. Les dieux ont été cruels avec notre famille, mais la Fortune me sourit, cela, j’en suis certain. Je suis enfin maître de ma destinée, et je suis promis à de grandes œuvres, soyez en certains.

Mon nom est Cnaeus Loreius Tacitus.

Ne l’oubliez pas.
fiche (c) Semper Eadem


Dernière édition par Cnaeus Loreius Tacitus le Lun 15 Avr - 1:05, édité 1 fois
Lun 15 Avr - 0:14
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




avatar
Invité
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Bienvenue parmi nous avec ce SUPERBE avatar albino
Lun 15 Avr - 0:14
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




avatar
Invité
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Bienvenu à toi Cnaeus !
Bonne chance pour ta fichette.
Patricien
Lun 15 Avr - 0:14
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




Nemetoria Loreia Ovidia
₪ Arrivée à Pompéi : 22/08/2012
₪ Ecrits : 1428
₪ Sesterces : 10
₪ Âge : 18 ans.

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: « Chacun de nous porte en lui le ciel et l'enfer. »
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mariée à Cnaeus Loreius Tacitus.
Nemetoria Loreia Ovidia
http://derouleurdepensees.tumblr.com/
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

MOOOOOOOOOON HOMME ! a moi ! jaime Calinchou

Merci encore d'avoir pris Cnaeus ! Tu ne le regretteras pas ! Coeur Please

Des poisses... Meeeuh non ! Ce serait mal me connaître ! cheese ange
Lun 15 Avr - 0:19
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




avatar
Invité
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Sache que je n'aime pas ta femme, c'est une vilaine sorcière Vert
Lun 15 Avr - 0:30
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




avatar
Invité
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Bienvenue monsieur-qui-a-prit-le-fabuleux-Ben-Whishaw-en-avatar!

Bon courage pour ta fiche! Very Happy
Lun 15 Avr - 1:17
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




avatar
Invité
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Wow, tout plein de réactions d'affilée comme ça, c'est impressionnant ! Shocked Merci à tous, je sens que je vais pouvoir m'éclater ici ! Yaaa (Même si je me sens seul, il n'y a qu'à moi que Ben Whishaw ne fait aucun effet, visiblement... Boite )

Marcus, le premier qui dit du mal de ma femme... Tronçonneuse Bon, je la connais pas, mais ça reste ma femme quand même ! What a Face
Arene
Lun 15 Avr - 7:48
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




Priam
₪ Arrivée à Pompéi : 21/08/2012
₪ Ecrits : 4319
₪ Sesterces : 283
₪ Âge : 29 ans
₪ Fonction & Métier : Gladiateur pour la maison Lucretius

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: The Gods have no mercy, that's why they're Gods
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Gauche...
Priam
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Hey! cheers
Dis donc cette Neme, elle a une de ces forces de persuasion! Razz

Quoiqu'il en soit bienvenue parmi nous! Mouton
Je vais lire ta fiche dès que possible mais je laisse à Neme le plaisir de la disséquer! Twisted Evil Razz
Patricien
Lun 15 Avr - 9:04
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




Licinia Domitia
₪ Arrivée à Pompéi : 17/03/2013
₪ Ecrits : 8618
₪ Sesterces : 223
₪ Âge : .
₪ Fonction & Métier : .

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: .
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ?
Licinia Domitia
http://torahana.tumblr.com/
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Bienvenue pompom
Lun 15 Avr - 10:42
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




avatar
Invité
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Ben, quel choix *-* je ne l'ai encore jamais vu sur un fo Yeux roses en espérant que tu t'y fasses lol!
bienvenue en tout cas, amuse-toi bien Coeur
Lun 15 Avr - 11:03
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




avatar
Invité
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

bienvenue sur le forum !
Lun 15 Avr - 11:35
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




avatar
Invité
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Cnaeus Loreius Tacitus a écrit:

Marcus, le premier qui dit du mal de ma femme... Tronçonneuse Bon, je la connais pas, mais ça reste ma femme quand même ! What a Face

Ben justement tu ne la connais pas comme moi alors fait gaffe ... lol!
Patricien
Lun 15 Avr - 13:34
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




Claudia Cassia
₪ Arrivée à Pompéi : 29/03/2013
₪ Ecrits : 2744
₪ Sesterces : 136
₪ Âge : 17 ans
₪ Fonction & Métier : Vestale

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ?
Claudia Cassia
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Hey bienvenue ! cheers

C'est Neme qui doit être contente !!! Yeux roses
Lun 15 Avr - 16:17
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




avatar
Invité
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Merchi beaucoup ! Je suis toujours aussi impressionné d'autant d'activité...

@Priam : elle peut être très persuasive... Cnaeus Loreius Tacitus 3263885096 Vous avez déjà résisté à des yeux de carotte battue ?

@Marcus : j'apprendrai à me connaître. Et elle aussi apprendra à me connaître... Twisted Evil
Lun 15 Avr - 16:44
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




avatar
Invité
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Eh bien je viens t'épastrouiller un peu plus avec notre activité ^^

Je précise juste que Whishaw ne me remue pas les sens non plus, mais c'est un super bon acteur, il fait des trucs de malade Please d'où mon fangirlisme.

En tout cas, j'espère que tu te plairas parmi nous ^^
Patricien
Lun 15 Avr - 19:04
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




Nemetoria Loreia Ovidia
₪ Arrivée à Pompéi : 22/08/2012
₪ Ecrits : 1428
₪ Sesterces : 10
₪ Âge : 18 ans.

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: « Chacun de nous porte en lui le ciel et l'enfer. »
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mariée à Cnaeus Loreius Tacitus.
Nemetoria Loreia Ovidia
http://derouleurdepensees.tumblr.com/
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Bas les pattes bandes de groupies ! Il est à moi celui-là. Namého.

Hem. Plus sérieusement... Tu as su t'approprier le scenario de Cnaeus, et en même temps dans ce que je voulais. C'est parfait ! Tu es parfait. Merci de l'avoir pris. Je t'aime !

Tu es validé !
Re: Cnaeus Loreius Tacitus   




Contenu sponsorisé
Cnaeus Loreius Tacitus Empty

Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Cnaeus Loreius Tacitus
» Cnaeus Loreius Tacitus - Cave Canem
» Gouttes d'ombre et poignard subtil [PV Cnaeus Loreius Tacitus]
» Vopiscus Loreius Procyon
» Vopiscus Loreius Procyon

Sauter vers: