| Furius ₪ misère, colère, folie.
POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Population recensée|
Lun 11 Aoû - 18:16 Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 11/08/2014 ₪ Ecrits : 24 ₪ Sesterces : 0 ₪ Âge : 27 ans ₪ Fonction & Métier : Esclave de Kaeso Ausonius Faustus
Furius | | |
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(c) fassylover | Furius incarné par Gustaf Skarsgård Ave, étranger! Je suis Furius, fils de personne. Né à Pompéi, il y a 27 ans, je suis d'origine romaine. La déesse Fortune a fait de moi un esclave et j'ai pour dominus Kaeso Ausonius Faustus. Plus de 2000 ans plus tard, c'est Carotte qui m'incarne. Qui es-tu ? Née dans le sud de la France, il y a 19 ans, je suis d'origine française. La déesse Fortune a fait de moi une étudiante. Je me sens perdu et j'aimerais bien avoir un parrain ou une marraine : OUI [ ] / NON [ x ]. Pour plus d'infos sur le parrainage, c'est ici. Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [] que mon personnage soit adapté en scenario / [X] que le staff le fasse disparaître de Pompéi par mort ou départ, et ce pour permettre à mes liens importants de ne pas être gênés. Mais ça n'arrivera pas. |
(c) fassylover |
Pompéi & moi → Ce que je pense de Pompéi Que penser de la ville qui vous a vu grandir, d'une ville que l'on connait par cœur et dans laquelle on pourrait aller sans craindre de buter les yeux bandés ? Que penser de la ville qui a nourri toutes les joies, toutes les peurs, toutes les colères et les haines de sa propre existence ? Que penser d'une ville où les esclaves sont frappés, sont amenés aux lions de l'Arène, où les citoyens ont tous les droits sur eux ? Amour et haine, voilà qui caractériserait ce que je peux penser de Pompeii. Et surtout, surtout... Désir de partir.
→ Ce que je pense de la politique La politique ? Qu'est-ce que cela peut bien me faire à moi ? Cela n'intéresse même pas mon maître. La politique est pour les citoyens, pas pour moi, pas pour mes frères de labeur. Si mon collier ne m'a pas ôté le droit de survivre, il m'a ôté celui de réfléchir et de parler, me privant du droit de me mêler des affaires de ma cité, il m'a privé celui d'exister pleinement ou de me battre pour. Mais si je suis fou je ne suis pas sourd, et ceux qui parlent au Sénat feraient mieux d'ouvrir les oreilles, les rumeurs sont alarmantes pour eux.
→ Ce que je pense des jeux Plus loin je me tiens de l'amphithéâtre, mieux je me porte. L'ombre étirée d'un chaton pourrait me faire crier. Je ne sais plus exactement d'où me vient ce rejet total des jeux du cirque et de ces gladiateurs, mais je les déteste autant qu'ils me terrifient.
→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions Je vais rester ici. Je voudrais m'enfuir, je voudrais partir, mais je vais rester ici. Je vais servir mon dominus, je vais tenter de me rendre assez bon pour être affranchi. Quelques année de plus. J'aurai voulu m'enfuir, partir une nuit, voler un cheval et filer le plus loin possible... Mais s'ils me rattrapent, ce sera...
→ Ma pire crainte Les lions. Les jeux du cirque sont une haine mais aussi une terreur pour moi. Me retrouver un jour dans cette arène face à eux, mis à mort devant la foule en délire... La simple idée m'étourdit presque.
→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi. Les Dieux ? Quels Dieux ? Ceux de mon père, les romains, ou ceux de ma mère ? Qui suis-je sensé prier, adorer ? Lesquels m'ont déjà apporté quelque chose ? Les dieux ne veillent pas sur moi. Permettez-moi de les ignorer en retour.
Mon histoire misère, colère, folie. Les fous, les marginaux, les rebelles, les anticonformistes, les dissidents…Tous ceux qui voient les choses différemment, qui ne respectent pas les règles. Vous pouvez les admirer ou les désapprouver, les glorifier ou les dénigrer. Mais vous ne pouvez pas les ignorer. Car ils changent les choses. Ils inventent, ils imaginent, ils explorent. Ils créent, ils inspirent. Ils font avancer l’humanité. Là où certains ne voient que folie, nous voyons du génie. Car seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde y parviennent. Je crois que je suis dans un amphithéâtre. Je crois que je porte déjà un collier, mais ce contact est nouveau pour moi, je tire dessus, je le bouge, il me gène, il m'irrite. Il y a un homme face aux lions en bas, et je le connais sans savoir qui il est, et il y a un rugissement, un saut, un cri de douleur, et beaucoup de sang.
Avant rien. Ou si peu. Des rumeurs, des histoires. Des rêves. Ma mère, ou en tout cas l'esclave celte qui s'est occupée de moi chez le premier maître dont je me souvienne, me disait que je n'étais pas né esclave, que je n'étais pas né enchainé. Elle me disait que l'homme de mes cauchemars était mon père, qu'il était un plébéien et un brigand, Latro, et qu'il était mort dans l’Arène, pour plusieurs forfaits de vol et un trop gros endettement. Ma mère était celte, elle était grande et blonde, avec de grands yeux clairs, notre dominus l'appelait Pulchra. Elle était douce et gentille. Elle m'appelait Clemens, nom que j'ai gardé jusqu'à mon adolescence.
Je crois avoir été un enfant sage et calme, m’écorchant les mains au travail sans pleurer, ayant froid certaines nuits sans me plaindre. Je n'ai pas le souvenir d'avoir toujours été comme je le suis aujourd'hui. J'ai l'impression que je suis devenu comme ça après ça. Mais c'est difficile à dire, même pour moi, car de mon enfance ne me reste que des brides, des flashs. L'arène, ma mère chantant pour moi, le champ de blé où je travaillais, la domus... Comme si la folie avait emporté avec elle mes souvenirs. Comme si la rage, la haine avait tout balayé dans mon esprit. Ou alors la vinasse et les coups. Impossible de trouver un responsable. Mais je me souviendrai toujours du jour où elle est morte.
Les esclaves sont des bêtes pour leurs dominii. Je ne suis pas un homme. Je pense, je vis, je mange, je marche, je souffre, j'ai peur, mais je ne suis pas vraiment un homme. Ce n'est pas possible. Sinon, ceci ne pourrait jamais arriver. Elle était belle ma mère, un rayon de soleil dans la nuit. Et sa voix, si douce, si mélodieuse, je m'endormais en l'écoutant. Elle était belle, mais elle était esclave. Sa beauté appartenait à quelqu'un. Et cette personne avait bien vu celle-ci, et c'est sans état d'âme qu'elle en avait abusé. Ce n'était même pas un abus d'ailleurs, un esclave n'est pas un être à part entière, il est un objet animé et conscient qui appartient au dominus, et on ne peut pas abuser d'un objet. Mais moi, je l'avais bien entendue étouffer ses larmes certaines nuits, je l'avais bien vue pleurer après sans qu'on ne puisse rien y faire. Un soir, elle avait même dit non ; son œil était resté bleu plusieurs jours. Et puis, j'avais quatorze ans je crois alors, elle a commencé à grossir. Et puis les mois passaient, plus elle était grosse. Et une nuit, elle s'est mise à crier, elle s'est mise à trembler. Un enfant mort né était sorti de son ventre, et ses yeux avaient continué de me fixer longtemps après, des yeux vides et aveugles.
C'est à partir de cette nuit-là que mes souvenirs reviennent vraiment. C'est à partir de cette nuit-là qu'on a commencé à m'appeler Furius, le fou.
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Furius. Ils disent, ils répètent que je suis fou. Parce que mes yeux s'ouvrent étrangement face au monde, parce que je parle trop ou que ma bouche refuse tout simplement de s'ouvrir selon mon humeur. Parce que je me parle plus à moi-même qu'aux autres dans une conversation. Parce que je suis extraverti, parce que je suis exubérant, parce que je suis spontané et impulsif, joyeux jusqu'à l'hystérie et triste jusqu'au désespoir. Parce que je donne l'impression de ne jamais écouter, d'être ailleurs, dans mon monde. Parce que je n'ai peur de rien, pas même de la colère des dieux ou de la mort ; des fadaises pour moi. Pour moi la vestale sacrifiant sa vie au feu sacré, ou le citoyen priant pour que la terre ne tremble pas encore sont encore les plus fous.
Cela est très vite devenu un problème. Je suis passé de dominus en dominus, vendu, racheté... Je ne faisais jamais vraiment l'affaire. Mais chaque ordre me rappelait les bleus qui avaient un jour recouverts le corps de Pulchra, chaque coup reçu en punition sa sanglante agonie. J'alliais dès lors une personnalité étrange et un rejet de l'autorité quasi total.
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Je n'ai jamais cessé d'attendre qu'elle bouge, qu'elle cligne des yeux. Encore aujourd'hui, j'ai l'impression de l'entendre chanter quand je suis sur le point de m'endormir. Je me lève, en sursaut, je la cherche, mais je ne la trouve pas. Pourtant je l'ai entendu, comme j'entends quand on me parle. J'en ai des sueurs froides pendant des heures, de ne pas savoir où elle se trouve, mais de l'entendre quand même. Dans ces moments je me crois réellement sombrer dans la folie.
Mais je ne me crois pas fou. Je ne suis pas fou. Je joue au fou. Parce qu'il n'y a que cette folie qui me permet de rester en vie, qui permet d'excuser une partie de mon comportement. Peut-être que je suis quasiment incapable d'empathie, peut-être que j'ai du mal à me lier avec les gens, peut-être que je ne réfléchis jamais aux conséquences de mes actes, et que la peur m'est inconnue... Mais cela n'est pas folie, c'est sagesse. Et il a fallut que j'attende vingt-trois ans de ma vie pour rencontrer un citoyen qui le comprenne.
Tout de suite après cet évènement tragique, notre maître a cru bon de se débarrasser de moi. A vingt-deux ans, j'avais été vendu et acheté cinq fois. J'entrai alors au service d'une nouvelle maison. Les Loreii.
Comme je ne me suis pas étendu sur les précédentes années, je ne le ferai pas plus pour ces quelques mois chez eux. Des patriciens, riches. Une villa magnifique et luxueuse. Et Blaesus, un pater familia bégayant, rustre, violent et - à mon sens, stupide. Ces mois furent une pluie de coups et de désastres. Jusqu'aux fêtes. Je ne voulais pas aller à ces fêtes. Je ne voulais aller voir les lions de l'Arène. Mais un esclave n'a pas de volonté propre, il suit son maître là où celui-ci souhaite qu'il se rende, exactement comme un objet. J'avais eu beau tenter, dans une lucidité passagère aux yeux du monde, d'argumenter, j'avais demandé. Pire, j'avais supplié, chose que jamais je ne fais. Mais le patricien avait décidé que j'irai avec lui. Je me souviens du sang battant dans mes tempes en m'avançant vers l'amphithéâtre. Je me souviens de la sueur et de mes mains tremblantes. Après tout est vague. Je cris, alors que les lions apparaissent. Je fais un esclandre. Le bègue frappe, bafouille, bégaie des insultes sans pouvoir me faire taire. L'hilarité prend ce qui nous entoure, qui se moque de lui. Mais je ne savoure même pas l'instant, je prie pour quitter cette endroit, je crie moi l'hérétique, l'impie, le sceptique. Sous les mots hésitants et la douleur, je prie.
Et on me vend à nouveau. Alors arrive sur mon chemin Kaeso Ausonius Faustus, tenancier d'une auberge - et depuis d'un lupanar. Maître du mensonge, de la trahison - de la folie ? Sans doute a-t'il du se dire que personne ne se méfierait d'un fou qui ne semble pas écouter. Des taches trop ingrates infligées par mes anciens dominii, je passais à la seule d'errer dans les ruelles en tendant l'oreille. Le fou devenait espion.
Encore aujourd'hui je ne m'amuse jamais autant que quand il essaie de me faire raconter ce que j'ai vu ou entendu. Fou, je le fais tourner en bourrique, je mets des heures à lui dire ce qui ne prendrait que quelques minutes. Et il marche. C'est ma façon à moi de me venger de ce collier que je porte pour lui - car je dois bien admettre que quand les résultats sont là, il est loin d'être un mauvais maître, malgré sa folie avarice, et les violences de ses colères. Croyant réellement au jeu auquel je joue, il s'impatiente mais écoute, il questionne et tatillonne. Je ris intérieurement. Mais s'il est le seul à pouvoir me garder à son service sans avoir une envie tenace de me trancher les mains ou de m'envoyer nourrir les lions de l’arène, et si ce seul fait me force au peu déférence dont je suis capable, il reste un citoyen. Il porte la toge, et il a des esclaves. Il peut frapper, affamer, violer sans impunité. Et ce simple droit me pousse à le haïr, à le mépriser quand bien même il n'est pas si injuste avec moi. Il représente cette autorité que je ne supporte pas, il représente un système que je hais. Et il paiera comme tous les autres.
Il y a autour de lui tout un tas de personnes peu scrupuleuses, d'enfants qui l'adorent sans savoir qu'il les enchainent, de vies et de visages aux multiples facettes. Je ne crois pas avoir été proche de l'un d'eux, ou en tout cas depuis des années - mais je suis incapable de garder une relation. Certains facteurs pourtant, poussent certains d'entre eux sur ma route. Mais il est rare qu'ils souhaitent y rester. Ausonia Rufia, la cousine de mon maître, est la première à fuir à mon approche, mon lunatisme me poussant tour à tour à la chaleur et à l'indifférence, mon comportement odieux au premier ordre sorti de ses jolis lèvres semblent avoir effrayés ce pauvre rossignol. Et quand on ne me fuit pas, on me fait partir. En quatre ans j'ai développé un goût très prononcé pour la boisson, mais surtout pour les filles ; ce qui n'est pas au goût de celle qui gère le lupanar. Belle Kerta, si tu ne veux pas que je déconcentre tes filles, offre-toi à moi directement. Je l'agace, et je fais perdre de l'argent au dominus : deux des activités que je préfère.
Pourtant, je ne pouvais pas traverser la vie sans tomber sur un lucide, une personne capable d'observation. Quels étaient mes mots déjà, devant lui en oubliant sa présence ? Je ne sais pas. Mais ils n'étaient pas ceux d'un fou. Ausonius Niger ne peut l'avoir totalement ignorer. Et quand bien même je ne supporte pas son attachement à celui qui, à défaut d'être encore son maître, est son patron, je ne peux me permettre à présent de me le mettre à dos. Il détient un secret trop précieux, le seul qui me maintienne en vie.
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Je croque une pomme piquée à quelques pas, et mes yeux se perdent dans la foule. J'aime beaucoup le forum, la populace se fiche autant de moi que moi d'elle. Nous sommes indifférents, et c'est une situation dans laquelle je me complais. Aujourd'hui pourtant, si je me fiche des visages, chaque conversation aura son importance - c'est ce qui me nourrit depuis quatre ans. Je contourne deux militaires, et surprend deux enfants étrangers chuchotaient à voix basse, des rumeurs lointaines de rébellion. Un sourire malicieux tend les muscles de mon visage, et je croque à nouveau.
Que craindront-ils d'un fou ?
fiche (c) Semper Eadem, titre histoire (c) alaska
Dernière édition par Furius le Ven 12 Sep - 15:54, édité 24 fois |
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Lun 11 Aoû - 18:23 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 23/03/2014 ₪ Ecrits : 529 ₪ Sesterces : 57 ₪ Âge : 23 ans ₪ Fonction & Métier : Plébéienne œuvrant pour le rêve ambitieux de son frère. Cogito ergo sum ₪₪ Citation: ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Veuve au coeur froid. Epidia Tullia Ravilla | | |
| Yeaaah un nouvel esclave! Bienvenue parmi nous, dans notre petite cité pas si tranquille! Si tu as une question, n'hésite pas à te tourner vers le staff qui fait du drive Bon courage pour ta fiche! |
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Lun 11 Aoû - 19:17 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 18/06/2014 ₪ Ecrits : 590 ₪ Sesterces : 100 ₪ Âge : 25 ans ₪ Fonction & Métier : Patricien, en formation pour devenir Flamine Cogito ergo sum ₪₪ Citation: ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Aulus Caelius Ahenobarbus | | |
| Bienvenuuuuuuuue cher esclave ♥ |
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Lun 11 Aoû - 19:26 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 01/10/2013 ₪ Ecrits : 1544 ₪ Sesterces : 183 ₪ Âge : 22 ₪ Fonction & Métier : Décurion Cogito ergo sum ₪₪ Citation: ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Numerius Petronius Vop. | | |
| Bienvenue sur ces terres si accueillantes au pied du Vesuve |
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Lun 11 Aoû - 20:09 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 26/05/2013 ₪ Ecrits : 2157 ₪ Sesterces : 60 ₪ Âge : 41 ans ₪ Fonction & Métier : Reine des Vipères et femme d'affaires Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Chaque miette de vie doit servir à conquérir la dignité.₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Veuve et amante de Publicola Helvia Claudia Scaevola | | |
| Bienvenue à Pompéi... Hâte de découvrir cette nouvelle fiche ! |
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Lun 11 Aoû - 21:54 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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Invité | | |
| Moi j'aime bien les esclaves Bienvenue à Pompeii, cette cité si chaleureuse (même si au début il faut la trouver la chaleur lol) |
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Mar 12 Aoû - 10:50 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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Invité | | |
| Bienvenue !! Bon courage pour ta fiche ! - Spoiler:
Est-ce que tu es la carotte de Art-Design ?
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Mar 12 Aoû - 14:36 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 11/08/2014 ₪ Ecrits : 24 ₪ Sesterces : 0 ₪ Âge : 27 ans ₪ Fonction & Métier : Esclave de Kaeso Ausonius Faustus
Furius | | |
| Epidia : Merci beaucoup ! Aulus : Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiii cher citoyen Numerius : Merci Helvia : Merci ! J'espère qu'elle sera à la hauteur de tes attentes Rosalina : Merci ! Moi je trouve que l'acceuil est déjà très chaleureux. Mais si tu cherches de la chaleur humaine *sort loin* Ausonia : Merci ! Non désolée, je suis une Carotte unique en son genre |
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Mar 12 Aoû - 19:04 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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Invité | | |
| Bienvenue parmi nous Furius |
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Mar 12 Aoû - 19:33 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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Invité | | |
| Bienvenue Furius ! Un esclave ... ^^ Est-ce que l'avatar c'est le frère d'Aleksander ? Question de même. Bonne chance pour ta fiche. |
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Mar 12 Aoû - 21:51 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 17/03/2013 ₪ Ecrits : 8618 ₪ Sesterces : 223 ₪ Âge : . ₪ Fonction & Métier : . Cogito ergo sum ₪₪ Citation: .₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ? Licinia Domitia | | |
Sam 16 Aoû - 20:06 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 03/06/2013 ₪ Ecrits : 302 ₪ Sesterces : 0 ₪ Âge : 44 ans. ₪ Fonction & Métier : aubergiste et tenancier d'un lupanar. Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Canis Canem Edit₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: ma bourse ! Et peut-être ma femme, Fulcinia Ausonia Fausta. Kaeso Ausonius Faustus | | |
| Je ne suis pas passé ici moi ? On va faire des choses terribles ensemble J'ai hâte que cette fiche soit finie |
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Dim 17 Aoû - 18:24 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 11/05/2013 ₪ Ecrits : 2404 ₪ Sesterces : 65 ₪ Âge : 42 ans ₪ Fonction & Métier : Duumvir Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Verba volant, scripta manent.₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Époux de la louve et amant de la vipère. Lucius Pompeius Publicola | | |
| Sois le(la) bienvenu(e) Un esclave, et une histoire qui s'annonce vraiment intéressante. J'ai hâte de lire la suite de ta fiche. |
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Mer 27 Aoû - 11:26 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 11/08/2014 ₪ Ecrits : 24 ₪ Sesterces : 0 ₪ Âge : 27 ans ₪ Fonction & Métier : Esclave de Kaeso Ausonius Faustus
Furius | | |
| Caria :Merci ! Octavia :Merci ! Oui un esclave, c'est très attendu dans les recherches de personnages j'ai l'impression Et pour le lien de parenté... J'en sais rien du tout. Je ne connais pas du tout la généalogie des Skarsgård, j'ai pris Gustaf parce que c'est Floki dans Vikings. Licinia :Merci J'adore Floki aussi ! Kaeso :Des choses terribles, c'est le mot Lucius :La bienvenu e Merci beaucoup ! EDIT : Je suis vraiment désolée du temps que je mets, j'essaie de camper un Furius le plus réaliste possible. J'avance petit à petit, mais je pense que j'aurai fini d'ici la fin de semaine. |
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Mer 27 Aoû - 20:18 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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Invité | | |
| ESCLAVE ESCLAVE ESCLAVE ESCLAVE ESCLAVE ! (Mais bienvenue quand même ! ) |
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Mer 27 Aoû - 20:55 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 11/08/2014 ₪ Ecrits : 24 ₪ Sesterces : 0 ₪ Âge : 27 ans ₪ Fonction & Métier : Esclave de Kaeso Ausonius Faustus
Furius | | |
| Toi, je vais mettre ta tête sur une pique toi. Merci quand même le futur mort |
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Jeu 2 Oct - 0:21 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 21/08/2012 ₪ Ecrits : 4319 ₪ Sesterces : 283 ₪ Âge : 29 ans ₪ Fonction & Métier : Gladiateur pour la maison Lucretius Cogito ergo sum ₪₪ Citation: The Gods have no mercy, that's why they're Gods₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Gauche... Priam | | |
| Me voilà! Toutes mes excuses pour ce retard, mais j'ai bien pris le temps de lire -que dis-je!- dévorer ta fiche et j'ai vraiment adoré ce que j'ai lu. C'est non seulement très bien écrit, mais en plus extrêmement prometteur pour le jeu! En choisissant les Ausonii, tu t'assures des liens de choix pour le meilleur... et surtout le pire! J'ai le grand plaisir de te pré-valider, ce qui à Pompeii t'ouvre les porte des divers recensement d'usage (avatar, etc...), des liens et du flood! Enjoy! En ce moment nous tournons un peu en effectif réduit au niveau du staff, donc si jamais une de mes collègues n'a pas pu passer d'ici les prochains jours, je me chargerais de te valider pour de bon... |
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Ven 3 Oct - 3:34 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 11/08/2014 ₪ Ecrits : 24 ₪ Sesterces : 0 ₪ Âge : 27 ans ₪ Fonction & Métier : Esclave de Kaeso Ausonius Faustus
Furius | | |
| Merci beaucoup ! Y a pas de soucis pour le retard, la rentrée a été chargée pour tout le monde |
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Sam 4 Oct - 13:50 Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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₪ Arrivée à Pompéi : 22/08/2012 ₪ Ecrits : 1428 ₪ Sesterces : 10 ₪ Âge : 18 ans. Cogito ergo sum ₪₪ Citation: « Chacun de nous porte en lui le ciel et l'enfer. »₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Mariée à Cnaeus Loreius Tacitus. Nemetoria Loreia Ovidia | | |
| Mouhahahahahahahaha Mon DC et toi, on va s'éclater C'est un plaisir pour moi de pouvoir te valider et te permettre de te lancer dans la grande aventure de Pompeii ! |
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Re: Furius ₪ misère, colère, folie.
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