Liberi Fatalis † Ausonia

(c) Aandy

Ausonia Rufia incarnée par Sophie Turner Ave, étranger! Je suis Ausonia Rufia, fille de Mamercus Ausonius Tacitus. Née à Rome, il y a 15 ans, je suis d'origine romaine. La déesse Fortune a fait de moi une fille de citoyen romain et j'ai pour famille mon cousin Kaeso Ausonius Faustus, sa femme Fulcinia Ausonia Fausta et ses deux enfants Ausonia Pulchra et Manius Ausonius Felix. Et mon autre cousin Sextus Ausonius Latro. Plus de 2000 ans plus tard, c'est Aandy qui m'incarne. Qui es-tu? Je suis donc Aandy, dans la vie je suis libraire? Je suis passé par le monde de la BD et maintenant je suis au service d'une maison d'édition qui a sa propre boutique spécialisé sur l'inde/asie. J'ai découvert le forum sur PRD et il m'a tout de suite faire de l’œil ! Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [] que mon personnage soit adapté en scenario / [XX] que le staff le fasse disparaître de Pompéi par mort ou départ (cochez selon vos préférences), et ce pour permettre à mes liens importants de ne pas être gênés. Mais ça n'arrivera pas.

(c) Aandy

→ Ce que je pense de Pompéi
J'arrive seulement à Pompéi et n’ai pas encore eu le temps d’en faire le tour et de découvrir véritablement ses habitants. Mais je peux déjà dire que cela me change beaucoup de Rome, est-ce que cela est bien ou pas, je l’ignore encore, mais j’ai bien l’intention de faire plus ample connaissance de mon nouvel environnement.

→ Ce que je pense de la politique
Je n’y comprends pas grand chose et puis l’on m’a souvent dis que ce n’était pas mes affaires ni ma place, alors même si mon cher père est mort, je ne vois pas pourquoi je m’en soucierai maintenant. D’autant que mon nouveau tuteur ne semble pas s’en préoccuper non plus.

→ Ce que je pense des jeux
Je n’ai jamais eu l’occasion de voir des Jeux, ici ou ailleurs, alors donner mon avis n’est pas évident. Je sais que cela est bon pour l’auberge où je travaille désormais alors je dirais que les jeux du cirque sont positifs. Et puis de ce que j’ai pu entendre au cours de ma vie cela semble spectaculaire et grandiose ! J’adorerai y assister un jour.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
Je voudrais me marier et avoir des enfants. Ce n’est pas un souhait a proprement dit mais c’est ce qu’on attends de moi et si je peux faire un bon mariage alors j’en serai heureuse. Je rêve d’aventure aussi comme toutes les jeunes filles mais je ne me fait pas d’illusion et puis pour le moment ma vie me convient comme elle est.

→ Ma pire crainte
J’ai bien sûr peur que cela ne se passe pas bien avec ma famille, je ne les connais pas vraiment au final. J’ai aussi peur de vraiment devenir une femme et de me marier, de tomber sur un mauvais homme, de ne plus rien connaître du monde. J’ai peur d’être seule à nouveau.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Je prie la déesse Vesta et à Rome mon père m’a appris à vénérer Cerès pour que nos champs donne toujours du blé. Ici je ne sais pas trop ce qu’il va advenir de ma foi bien que je suive le culte de Venus . Puisse les dieux continuer de veiller sur la grande Rome.

Pompéi la belle. Voilà donc ma nouvelle cité, l’endroit où je vais vivre désormais après avoir grandi à Rome, le cœur de l’empire. L’endroit n’est pas ce qui me dérange le plus, plutôt de rencontrer ma famille que je ne connais absolument pas. D’autant que je n’arrive pas véritablement au bon moment. Les dieux sont en colère et ont fait trembler la terre, je risque de ne pas être la bienvenue dans la famille de mon cousin, Kaeso.

Pourquoi je me retrouve là à quinze ans ? Il faut remonter à mon enfance je suppose pour le comprendre. Je n’ai ni frère ni sœur car ma chère maman est morte de maladie avant de pouvoir donner d’autres enfant à mon père Mamercus Ausonius Tacitus. Ce dernier originaire de Pompei avait suivi le souhait de sa femme d’aller s’installer dans la cité de Rome la grande pour le commerce. Grand bien lui en a pris car nos céréales se vendaient plutôt bien. Je ne connais point la richesse excessive mais notre famille s’en sortait et avait suffisamment d’argent pour avoir des employés pour travailler dans les champs, même s’ils n’étaient que deux. J’ai grandi sans camarades de jeux donc mais ayant eu le titre de la maitresse de maison très jeune, je me débrouille sur ce plan. Je n’ai pas à me plaindre de mon enfance. Père m’aimait et me destinait très probablement à devenir la femme d’un marchand, il y avait le choix, il parait que malgré mes cheveux roux je suis plutôt jolie. Et je suis sûre de pouvoir faire une bonne épouse. Malheureusement je ne suis pas encore une femme. C’est une honte à mon âge et c’est aussi une des raisons de mon arrivée impromptue dans cette partie éloignée de ma famille.

Tout allait donc bien pour moi, hormis ce léger détail de ma féminité, cela à ce moment-là, il ne gênait pas, j’aimais mon père et être sa fille. Seulement la maladie l’a emporté lui aussi, celui ou bien le chagrin puisqu’au fond je sais qu’il ne s’était jamais remis du décès de mère. Quoi qu’il en soit n’étant plus sous son autorité et toujours pas sous celle d’un époux il a bien fallu trouver un homme de ma famille pour me prendre sous sa tutelle, sous son aile.

Voici donc la raison de ma venue dans cette cité, je dois rencontrer ma famille. J’ignore tout de ces gens bien qu’ils soient également des Ausonii. Je suis nerveuse à cette idée, il a une femme et des enfants, cet oncle qui va désormais s’occuper de moi. Je ne serais plus aussi libre et nul doute que s’il doit décider d’un mari pour moi, il se débarrassera de moi comme il peut. Je ne le connais pas mais ce Kaeso me fait très peur, toute cette nouvelle vie m’angoisse mais je ferai de mon mieux. Je n’ai pas l’intention d’être relégué au rang de simple poids pour ma famille. Car c’est ainsi, ils sont ma famille et je ferai de mon mieux pour que ma venue ne soit pas un fardeau, surtout en cette période de trouble pour Pompéi.