Un nouvel arrivant à Pompei

→ Ce que je pense de Pompéi
Pompéi est une cité ou le règne à était installé depuis maintenant un petit moment. Je ne peux qu'approuver ce choix, malgré qu'il y ai encore des sauvages parmi nous. Les habitants ont l'air plutôt accueillant pour certain, par contre il y en a d'autres qu'il vaudrait mieux remettre en place. Cependant, cela ne m’empêchera pas de visiter plus amplement cette cité qui m'a l'air béni des dieux.

→ Ce que je pense de la politique
D’après ma maigre expérience étant donné que je ne suis qu'un centurion, je trouve que la politique romaine est assez strict, mais elle en vaut largement le coups. La loi doit être respecter et s'il faut employer les grands moyens, alors que chose soit faite et que les dieux en soit reconnaissant. Rien n'y personne ne doit enfreindre ces lois aux risques de leur vie et sur cette chose, je suis totalement d'accord.

→ Ce que je pense des jeux
Un moyen de divertissement, je ne suis pas un grand amateur de combat de gladiateur, mais j'y assiste des qu'il y en a pour voir l’évolution des esclaves au sein de Pompéi. La seule fois ou je me réjouis, c'est quand le sang coule et que l'un d'eux tombe dans l'oublie. Apres tout il peuvent se montrer assez dangereux pour la cité...mais en aucun cas il ne me font peur.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
C'est simple, je suis un serviteur de Rome, j'ai combattu à de nombreuses reprises et mes talents ne peuvent être inégalé. La seule chose que je souhaite par-dessus tout, c'est de me faire un nom à Pompéi désormais, j'en ai un dans Rome même, il ne me reste plus que cet cité pour mettre en avant le nom de mon défunt père qui était un grand homme et général au sein de Rome et je ferais tout pour y arriver. Quand j'ai un but en tête, rien ni personne ne m’empêchera de l'accomplir.

→ Ma pire crainte
Mes craintes ? Mes peurs ? Je n'en ai pas spécialement...Ah si en fin de compte. J'ai peur qu'un jour, ma colère reprenne le dessus. Je peut me montrer sympathique et sociable, mais dans le cas contraire, vaut mieux ne pas se mettre sur ma route. Je peux me montrer sans pitié avec ceux qui le méritent.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Le seul dieu que je vénère est Mars. Dieu de la guerre, celui qui m'a soutenu et aidé pendant les nombreux conflits dont j'ai du faire face. C'est en partie grâce à lui que je suis encore en vie aujourd'hui.

Chapitre I: L'enfance d'un grand soldat

Marius est née dans la ville de Rome, mais il n'eut pas une enfance normal ou comme les autres pour être plus précis. Son père étant le plus fidèle Centurion primipile du légat de la deuxième légions romaine et sa mère une simple esclave, son enfance fut assez douloureuse d'une part parce qu'il n'a jamais connu sa mère et de l'autre parce qu'il a était éduqué au beau milieu de l'armée romaine. Il y avait une femme s'occupant de lui quand son père partait pour une affaire quelconque, cette dernier veillait à ce que Marius ne fasse rien qui pourrait contrarier le Centurion. Heureusement qu'il n'était pas le genre d'enfant agité, mais plutôt calme, mais ce calme n'avait rien de rassurant. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il observait et tentait de comprendre le fonctionnement des personnes qui l'entouraient. D’après les dires de la personne s'occupant de lui, le Centurion Macus Valinius voulait faire de Marius un soldat vu qu'il était chargé des entraînements, mais pas n'importe lequel. Il voulait que ce dernier puisse atteindre un niveau de combat bien supérieur à n'importe quel soldat romain. Mais étant trop jeune, il n'eut d'autre choix que de suivre les directives du légat et de son père en assistant à certains entraînements. C'est au bout de quelques années qu'il commençait à apprécier ce choix, ce choix de devenir un soldat et serviteur de Rome. Son père étant quelques peu absent de temps à autres vu qu'il accompagné le légat la plupart du temps , avait alors tendu la perche à Marius en lui donnant un aperçut de ce qu'il allait devenir. Etant discipliné, avec le sens de l'honneur et surtout des affaires qui lui ont étaient transmises grâce à son père, il fut dans la confidence des affaires traités avec d'autres marchands et diverses personnes.

Chapitre II: Une descendance honorable.

Voilà maintenant quelques années, Marius se rendait vite compte qu'il ne pouvait en rester là, il en voulait plus. Un soir quand son père était à la villa, il lui demanda audience pour parler de ce qu'il voulait entreprendre. Le moins qu'on puisse dire c'est que le Centurion fut assez surpris de voir ce que Marius envisagé. Etant âgé de 20 ans, ce dernier voulait prouver qu'il n'était pas un faible et qu'il était déterminé à devenir un bon soldat. Marius fut alors confronté à quatre soldats à lui tout seul, un privilèges donné par son père comme il le disait. Autant dire qu'il n'avait pas entière confiance sur le coup. Les glaives qu'ils tenaient étaient en acier et le légat était d'une grande sévérité, il ne voulait pas de perdant parmi ces hommes. Sauf que contre toute attente...ou pas, Marius perdit assez facilement pour un premier affrontement, des entailles par-ci et des entailles par-là, voilà ce qui ornait son corps. Celui-ci fut alors directement emmené chez le médicus de la villa. C'est en se réveillant qu'il découvrit que la personne l'ayant soigné était en réalité celle qui s'occupait de lui lors de son plus jeune age. Mais ce n'était pas la seule surprise. Marius apprit que son père avait était extrêmement déçu par le faite qu'il avait voulu agir ainsi et échouer lamentablement. Marius comprit alors qu'il avait déçu son père en voulant jouer au plus dur. Laila, la femme l'ayant soigné fit tout ce qu'elle pouvait pour le remettre d'aplomb. C'est depuis ce jour que Marius entama une relation purement sexuelle avec cette dernière pour la remercier de tout ce qu'elle avait fait pour lui. Il ne voulait pas s'attacher à une simple esclave, mais il ne su contrôler ces sentiments...tout comme elle. Ils tombèrent amoureux l'un de l'autre dans le plus grand secret pour ne pas attirer les foudres de son père. Marius étant un combattant dans l’âme, un soldat et serviteur de Rome, ne comptait pas rester sur une défaite et s’entraînait jours et nuits sans relâche pour augmenter ces capacités. C'est après quelques longs mois de travail acharné que Marius retournait sur le terrain et décidait de relever à nouveaux le défi, cette fois avec beaucoup plus de confiance. Sous les yeux de son père et de celle qui était son amante, Marius réussissait l'impossible, il avait réussi à terrasser trois soldats en mêlant, agilité, rapidité, force et surtout précision. Quelle meilleur surprise pour un père de voir son fils gravir des échelons tout ça grâce à son envie et sa détermination de servir Rome. Son père et le légat avec qui il était proche organisaient alors une banquet pour célébrer la victoire de son futur successeur comme il l'appelait. Lors de la soirée le grand Marius fut comme le bras droit de son père désormais, celui qui commandera une partie de la légion, mais seulement à l'age de 28 ans. En attendant il s'occuperait de beaucoup plus d'affaire, comme la reconnaissance, s'occuper des accords et surtout de l'entrainement des soldats.

Chapitre III: Un changement radical

Maintenant âgé de 28 ans, Marius fut nommée par le légat en fin de compte comme un centurion au vue des différente bataille en dehors de Rome auquel il avait participé et remportait, il avait prouvé sa valeur et ce titre était largement mérité comme son père le disait. Pourquoi l'extérieur ? Tout simplement parce que le légat avait quelques projets en tête qu'il ne lui avait pas encore révéler, mais pour ça il devait veiller à ce que tout se passe sans altercation. Chose pas facile étant donné qu'il y en a eu de nombreux, mais tous maîtriser par Marius et une partie de l'armée. Fidèle à lui-même, Marius était devenu un homme avec un grand honneur et digne de confiance. Il a était d'une grande aide pour le légat et l'armée romaine c'est le moins qu'on puisse dire. Cependant, la tranquillité au sein de la villa fut interrompu par l'annonce d'une grand bataille qui allait avoir lieu. Le fameux Octave demanda le soutien du Légat et de son armée pour cette bataille. Ce dernier décida alors d'y participer et d'envoyer le plus de force possible ainsi que Marcus et son fils. Une fois arrivé sur place, le sang versait sur le sol pouvait se résumer au final par une marrée de sang et de cadavre. Un bon nombre de soldat était mort ce jour là. Mais là n'était pas le pire, C'est après l'horreur que Marius aperçut son père gisant sur le sol à demi mort. Il ne lui restait plus longtemps à vivre et il le savait. Se fichant de ce qui se trouvait autour, Marius se laissait submergé par le chagrin et vit son père mourir sous ces yeux en rendant son dernier soupir sur le champ de bataille à Actium. Marius ne cherchait pas à comprendre et rentait immédiatement vers Rome avec le cadavre de son père. Il voulait lui rendre un dernier hommage. Une fois rentré avec un nombre de soldat extrêmement réduit, Marius décida de faire une soirée après approbation du légat en l'honneur de son défunt père. Depuis ce jour, l'enfant calme était devenu tout l'inverse. Il était plus dur, plus déterminé et plus ambitieux, il comptait continuer sur la voix que son paternel lui avait tracé.

Chapitre IV: L'arrivé du Centurion.

Quatre ans plus tard, Marius gérait toute les activités de sa légion de Rome avec Gortius comme étant le successeur de son père en tant que Centurion primipile. Marius était le centurion et bras doit de ce dernier, tout allait bien, les lieux étaient sécurisés et il avait passé outre la mort de son père, même si ça lui faisait un manque intérieur. Mais la tranquillité des affaires et la continuité des choses fut bouleversé par l'arrivée d'un préteur demandant un service au légat: Venir à Pompéi. Pourquoi laisserait-il Rome pour venir là-haut ? Voilà la question que s'était posé Marius. D’après ce préteur, il y avait beaucoup à gagner pour un légat, des alliances, des achats et toute sorte de finances. Cependant, ce dernier refusa, mais décida d'envoyer son plus fidèle allié: Marius qui voulait a tout prix honorer son père, il en aurait désormais l'occasion et ainsi faire connaitre encore plus le nom de Valinius. Celui-ci était déjà bien connu dans tout Rome, mais il ne voulait pas s’arrêter à ça. Il décida alors de prendre la route pour Pompéi.. Sur de lui, Marius partit alors à Pompéi pour voir si ce qu'on raconte est vrai. En arrivant là-haut, certains habitants furent assez choquaient et surtout impressionné de voir un nouveaux centurion dans leur cité et surtout le fils de légat Marcus Valinius.