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 Julia Felix ♣ Où est la pensée, là est la puissance



POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Exilés
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Mar 30 Avr - 22:33
Julia Felix ♣ Où est la pensée, là est la puissance   




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Julia Felix
incarné(e) par Kelly Brook
Ave, étranger! Je suis Julia Felix, fille de Caius Julius Felix. Née à Rome, il y a 37 ans ans, je suis d'origine Romaine. La déesse Fortune a fait de moi une(e) plébeïenne et j'ai pour famille les Julii


Plus de 2000 ans plus tard, c'est Elsy qui m'incarne. Qui es-tu? Je suis arrivée grâce à facebook. J'ai vingt-et-un an au mois d'Aout, je suis sur de nombreux forums et je graphe. D'un autre côté, dans ma vie de tout les jours, je suis écrivain.
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Pompéi & moi

→ Ce que je pense de Pompéi
Pompéi est une ville très chère au cœur de Julia, qui ne l’a découverte qu’au cours de son second mariage, son époux y étant né. Propriétaire d’une riche Villa, l’homme l’y faisait passer plusieurs mois par ans, qui ravissaient la jeune femme. La douceur de cette vie loin de Rome, la population qui composait son voisinage… Tout lui paraissait plus vivant et plus beau ici qu’ailleurs. C’est ainsi qu’au décès de son époux, elle a décidé de s’établir dans cette ville tant pour l’amour qu’elle a à son égard que pour sa sécurité. Sa vie étant menacée à Rome, le choix du départ s’imposa rapidement à elle. Depuis qu’elle vie ici, son amour pour Pompéi n’a fait que croître, d’autant que la ville le lui rend bien. Ici, il lui semble qu’elle prend d’avantage de couleur, que l’air est plus pur. Pour sûr, même sa santé est meilleure aujourd’hui que par le passé, Julia en est convaincue. Elle a beaucoup de plaisir à vivre ici, à sortir dans les rues de la ville, à s’asseoir dans les jardins pour, l’espace de quelques instants, ne plus penser à rien que la beauté des environs, du soleil couchant sur les toits en répandant sa douce lueur du soir.

→ Ce que je pense de la politique
Julia, contrairement à ce que l’on pourrait penser en raison de ses ascendances, n’apporte aucun amour à la politique et aux politiciens. Pour les avoir bien connus, elle sait qu’ils sont tous les mêmes, tous un peu comme elle : plein d’ambition. Quoiqu’eux se démarquent par leur égoïsme parfois tout simplement surdimensionné. La jeune femme ne connais que trop bien les manipulations, les corruptions et les complots que ces hommes peuvent fomenter dans le secret le plus total, ou presque. Bien que la jeune femme soit née fille d’un homme libre, ce dernier n’a pas manqué de lui parler de toutes ces choses qu’il a surprise en travaillant pour Jules César. Julia se méfie de ces gens autant qu’elle les respecte. Ils sont d’une humeur et d’une loyauté si incertaine, si changeante… Elle n’hésite pas à leur réserver ses meilleures filles pour leur plaisir, afin de s’assurer leur amitié et leur loyauté. Leur aide, également, si le besoin s’en fait sentir. Femme de poigne, Julia sait ce qu’elle veux et comment s’y prendre pour l’obtenir. A vrai dire, tant qu’ils ne viennent pas l’embêter quand à ses affaires et à la vie qu’elle mène, la jeune femme peu les supporter.

→ Ce que je pense des jeux
Les jeux sont toujours bons pour les affaires. Comme les retours de batailles. La liesse s’empare de la ville et de fait, beaucoup finissent suffisamment ivre pour souhaiter dormir sur place afin d’attendre le lendemain. Et d’autres préfèrent terminer la journée et ses festivités au lupanar ou auprès de demoiselle d’un standing supérieur encore. Ces mêmes journées sont surtout parfaites pour organiser quelques spectacles et autres divertissements attirant une foule d’illustre pompéiens, près à dépenser moult piécettes sonnantes et trébuchantes, qui ravissent le cœur de la belle Julia au moins aussi fortement que la vue du coucher de soleil sur la ville. Oui, la demoiselle aime l’argent et jouir d’une vie aisée qui est la sienne depuis de longues années maintenant. Et elle n’a aucune honte à profiter des festivités en ville pour parvenir à grossir son chiffre d’affaire. C’est à la baguette que la brune gère toutes ses activités, d’une main de fer même si l’aide d’Africanus lui est indispensable pour ne pas être associée au lupanar près du forum. En effet, peu de monde aujourd’hui sait qu’elle est la gérante de ce célèbre lieu de débauche où tout les hommes s’encanaillent, grâce à une gérance parfaite des informations à ne pas divulguer.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
C’est à Pompéi que la jeune femme voit son avenir évidemment. Pas de troisième mariage dans son esprit, ou pas encore, quoiqu’il lui arrive parfois, quand elle est seule et assise à sa fenêtre, de regretter de ne pas avoir d’enfant vivant, ce dont elle se félicite en d’autres points, jugeant que cela la priverait de bien des libertés tout en l’obligeant à rentrer dans les rangs. La jeune femme s’imagine souvent des affaires florissantes, plus florissantes encore que celles qu’elle a déjà. Pleine d’ambitions, la demoiselle espère gravir plus d’échelons encore qu’elle n’en a déjà grimpé. Et parfois même, dans ses rêves les plus fous, elle imagine qu’elle aussi appartient à la politique qui, pourtant, en secret, l’énerve tant. Mais au fond, elle aime trop sa liberté pour s’enfermer dans un rôle pareil qui, encore faudrait-il qu’il soit autorisé aux femmes, l’obligerait à briser ses ailes. Alors Julia espère juste mener, au moins, une vie aussi belle que celle qu’elle a aujourd’hui. Jouir encore du respect et de l’admiration de tous, de sa richesse et de sa célébrité. Au fond, il ne faut pas trop désirer, sans quoi l’on est malheureux et, pleine de sagesse, ces par ces pensées qu’elle fait taire ses ambitions les plus folles, les plus irréalisables.

→ Ma pire crainte
En premier lieu, la perte de sa puissance. Julia aurait beaucoup de mal à supporter le désintérêt de tous, le fait de perdre l’influence qu’elle a sur les pompéiens, de perdre sa renommé et le respect. Ensuite vient naturellement l’échec. La jeune femme est trop habituée à rencontrer le succès, à changer tout ce qu’elle touche en or, pour supporter de ne plus avoir ce qu’elle considère comme un don. Perdre sa liberté vient en troisième lieux. La demoiselle est trop attachée à elle pour supporter de devoir s’enfermer dans une petite vie bien rangée d’épouse modèle. N’étant pas amoureuse, elle ne se voit plus rentrer dans ce moule là et aspire à jouir d’une vie qu’elle échafaude elle-même chaque jour qui passe. Nous pouvons aussi dire que Julia craint tout ce qui ressemble de près ou de loin à des reptiles ou des arachnides. Les chats noirs lui collent aussi une frousse de tous les diables.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Julia vénère les dieux depuis l’enfance. Elle a toujours grandit dans la crainte et le respect pour ces entités aux humeurs changeantes, capable de faire le bien comme de causer les plus grands maux. La jeune femme participe à toutes les fêtes données en l’horreur des déités. Cinq s’attirent ses plus grandes faveurs quoique trois d’entre eux les attirent majoritairement. En premier lieu Bacchus, qui représente l’ivresse et la fête ainsi que Pluton qui, bien qu’il soit le dieu des morts, est aussi une déité de l’abondance, qu’elle prie pour voir croître ses richesses puis Proserpine, sans qu’elle ne puisse donner de raison à cela. Viennent ensuite Ariane et Psyché, toutes deux nées humaines puis devenues déesse. C’est pour cette évolution qu’elles incarnent, que la jeune femme les apprécie tant.

Mon histoire

Si Julia pouvait noircir les pages d’un livre en racontant son histoire, il y a fort à parier que vous découvririez une vie confortable, aisée. Une vie pleine de richesses, tant humainement que matériellement. Une vie de pouvoir, de rencontres. La vie d’une femme caméléon, un peu, qui a tout réussit dans sa vie, ou presque. L’histoire d’une femme qui a sût attiser les convoitises, attirer l’attention sur elle. Qui a sut aimer et surtout se faire aimer de tous. Une femme de poigne, unique en son genre et pourtant délicate qui a sût marquer la ville de Pompéi et ses habitants, rythmer leur vie et gagner leur respect. Une femme qui, en somme, derrière la façade de ses yeux, derrière ses formes et sa silhouette charnue, cache presque un homme. Cependant, une histoire ne peut se résumer à ces simples faits. C’est pour cela que, Julia ne pouvant l’écrire, je vais relater son histoire à sa place, de sa naissance en 64 avant JC à sa vie en l’an 27 avant le seigneur, juste pour vous.

Julia est née fille d’un esclave du père de Jules César ayant gagné sa liberté grâce à ses bons et loyaux services dans la comptabilité. Pour ces mêmes raisons, il reçut une épouse qui donna le jour, neuf mois après les épousailles, à une petite fille fort frêle, qui menaçait de ne pas passer la nuit si bien que le couple offrit un sacrifice à Junon la déesse du mariage, de la fécondité et de la maternité. Et cette dernière en sembla plutôt satisfaite puisque l’enfant gagna rapidement en force, devenant peu à peu une jolie petite fille en bonne santé, avec des joues roses et des yeux rieurs, ainsi qu’une certaine malice sur son visage aux petites bouclettes légères. Une petite demoiselle qui ravissait tant ses parents que ses voisins, par ses petites manières donnant des allures de grandes dames.

Dès l’âge de seize ans, Julia a été fiancée à un homme d’une quarantaine d’années. Un illustre personnage, connu et respecté par bien du monde, à Rome. Sitôt fiancée, sitôt mariée. En trois mois l’affaire était pliée et la jeune femme se retrouva livrée à elle-même face à un homme souvent absent pour mener ses batailles. Dure vie que celle des femmes de militaires. Dure vie qui permit néanmoins à Julia de goûter un tant soit peu à la liberté. Malgré que son mariage fût sans amour, basé sur l’unique respect des traditions, jamais la romaine ne se permit de tromper son mari. Ainsi, c’est en épouse fidèle qu’elle le pleura, presque cinq ans après leurs épousailles. Si les larmes, par leur retenue, trahissaient ce lien entre eux, elles n’en étaient pour autant pas moins sincères.

Trois mois après la perte de son mari, à vingt-et-un an, Julia perdit sa mère, emportée par une maladie qu’elle ne connait pas et qui poussa son père à lui faire quitter la maison où elle était revenue habiter sous sa tutelle depuis le décès de son époux. Ainsi s’installa-t-elle chez les Vinicius, qui avaient un fils, Marcus, de presque son âge. Si la réputation de ce dernier n’était plus à faire, Caius avait une grande confiance pour son ami et il ne doutait pas que celui-ci parviendrait à préserver sa fille de son diable de fils. Et malgré toutes les bonnes pensées du père et toute la bonne volonté du sénateur Vinicius, aucun d’eux ne put empêcher Marcus de mettre la main sur Julia. C’était à l’occasion d’une fête donnée par une famille amie, à laquelle la demoiselle avait été invitée elle aussi. Rapidement pourtant, tous échaudés par la boisson, les convives changèrent les festivités en une véritable orgie. Si bien que Julia, peu envieuse de participer à ce genre de débauche, quitta la salle et s’installa dans une pièce de la demeure. Mais Marcus vint l’y trouver l’ayant suivit, un pichet sous le bras. A force de persuasion, de galanterie, de bonne plaisanterie, il la fit rire et surtout boire. Malgré son intelligence, bien qu’elle sache pertinemment ce qui l’attendait, la brune se pliait au jeu, bonne amie. Puis, quand enfin Julia ne fut plus guère en mesure de s’opposer à quoi que ce soit, l’homme obtint les faveurs de celle qui, s’en souvenant au petit matin, n’eut le courage de le regarder en face, sans pour autant lui reprocher quoique ce soit, prenant à sa propre charge tout ce qui s’était passé au cours de la nuit. C’était à elle-même que Julia en voulait, pas à lui. Mais son plaisir avait été tel que, le temps passant, elle finit par ne plus s’en vouloir du tout et frémir de cette liberté qu’elle avait eut, celle de choisir entre boire ou non et décider ainsi de la suite de leur nuit. Ce secret, les deux amants d’une nuit l’ont par ailleurs bien conservé, si bien qu’il n’a jamais filtré.

Peu de temps après cette nuit, Julia put retrouver son père qui, dès son arrivée, lui signala qu’il avait reçut la visite d’un homme, la petite trentaine, souhaitant fort la main de la veuve et qu’il avait accepté. De nouveau, rapidement, sans avoir le temps de dire ouf, la romaine fut mariée, à un homme toutefois plus présent que le premier et qui tenait des maisons d’hôtes, accueillant de nombreux voyageurs venus du monde entier. Grisée par leurs récits, Julia se montrait comme une perle dans ce monde, follement à la hauteur de son rang d’hôtesse. Divertissante, elle accueillait chaque arrivant avec une bonne humeur des plus plaisantes, qui donnait déjà envie d’un prochain séjour en sa demeure. De nombreux visages défilèrent ainsi chez elle et tous avaient leur histoire, leur rang. Pourtant, Julia pouvait sembler proche et accessible à chacun. Il n’y avait jamais de fossé entre elle et un client : elle s’adaptait à toutes les situations, toutes les fréquentations. C’est ainsi que plus tard, installée à Pompéi, elle put resplendir dans tous les cercles de la société auxquels elle se mêlait.

Au cours des quatre années que durèrent ce deuxième mariage, au bout desquelles l’homme périt, Julia eut la joie de porter un enfant la première année et de lui donner le jour. Cependant, le garçon fluet disparu à peine âgé de deux ans, sans que sa mère ne puisse en expliquer les raisons. Une forte fièvre l’avait emportée, c’est tout ce quelle pouvait en dire. Et sa peine fut sans nom, sans limite. Se repliant sur elle-même, Julia passa un mois entier, enfermé dans sa chambre à ne vouloir voir personne. La vie lui paraissait alors bien insipide et tellement injuste. Il lui fallut du temps pour se remettre de cette épreuve. Mais en fin de compte, cela l’endurcit.

Veuve de nouveau, à tout juste vingt-cinq ans et n’ayant plus de père depuis une poignée de mois, Julia pensa tout d’abord à rester à Rome. Puis elle décida de s’établir à Pompéi, ville que son époux lui avait fait découvrir et aimer. Prenant place dans la villa de ce dernier, qui était son héritage, elle commença à y couler des jours heureux, en sécurité. Son époux avait en effet contracté des créances auprès de gens peu recommandables, qui avaient menacés jusqu’à la vie de Julia peu avant son départ, pour récupérer leur dû. Pour subsister dans cette nouvelle vie, la jeune femme reprit ses activités d’Hôtesse en louant plusieurs chambres de sa villa qui jouissait d’un placement on ne peut plus idéal à proximité de l’amphithéâtre. Sa demeure est rapidement devenue un lieu très en vogue pour ceux dont les bourses sont pleines, des divertissements de grand standing y étant proposés. Les dames des plus hautes lignés y viennent même pour converser entre elles, en présence de leur aimable hôtesse, que tous admirent et respectent. Et les noms de ses demoiselles, qui ravissent les yeux et les oreilles par leurs danses et leurs chants sont connus de tous et murmurés avec respect comme ceux des nymphes. Néanmoins, ces filles étant des courtisanes, les clients les plus riches et les plus fidèles n’ignorent pas que, pour une somme coquette les nymphes peuvent devenir de délicieuses amantes pour quelques instants. De loin, Julia gère même le Lupanar près du forum, qui vise cette fois des revenus plus modestes, les filles qui y travaillent étant de moins de prestance, en général, sauf quelques perles comme Philaë, que Julia compte bien valoriser par un nouveau statut. C’est son homme de main qui gère les affaires courantes de ces lieux.

En l’an 27 avant Jésus Christ, Julia a trente-sept ans et ne s’est pas remarié, chérissant bien trop la liberté qui est la sienne dans ce mode de vie qui lui plait tant. Pourtant, deux principaux prétendants se bousculent auprès d’elle en espérant avoir sa faveur. Semblable à aucune autre femme, la plébéienne sait exactement où elle va, ce qu’elle veut. Et elle obtient toujours ce qui provoque son désir.
fiche (c) Semper Eadem


Dernière édition par Julia Felix le Mer 29 Mai - 1:18, édité 16 fois
Mar 30 Avr - 22:39
Re: Julia Felix ♣ Où est la pensée, là est la puissance   




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bienvenue sur le forum !
Patricien
Mar 30 Avr - 22:46
Re: Julia Felix ♣ Où est la pensée, là est la puissance   




Licinia Domitia
₪ Arrivée à Pompéi : 17/03/2013
₪ Ecrits : 8618
₪ Sesterces : 223
₪ Âge : .
₪ Fonction & Métier : .

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: .
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ?
Licinia Domitia
http://torahana.tumblr.com/
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Bienvenue Content J'ai hâte de voir ce que tu nous prépares avec ce personnages haut en couleur Please
Mar 30 Avr - 22:57
Re: Julia Felix ♣ Où est la pensée, là est la puissance   




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Bienvenue Coeur
Patricien
Mar 30 Avr - 23:08
Re: Julia Felix ♣ Où est la pensée, là est la puissance   




Claudia Cassia
₪ Arrivée à Pompéi : 29/03/2013
₪ Ecrits : 2744
₪ Sesterces : 136
₪ Âge : 17 ans
₪ Fonction & Métier : Vestale

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ?
Claudia Cassia
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Bienvenue parmi nous Julia cheers
Mar 30 Avr - 23:14
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Oh domina, je m'agenouille devant tant de beauté Yeux roses
Bienvenue et j'espère que tu aimeras tes petites visites à Pompei !
Mar 30 Avr - 23:29
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Merci à tous ♥️

Moi, je t'ai trouvé magnifique ce soir sur la 6, ma petite Phil Yeux roses
Mar 30 Avr - 23:30
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Oh domina que de compliments Calinchou
Prenez le temps de faire votre présentation, j'ai hâte de jouer avec vous Yaaa
Mar 30 Avr - 23:36
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Mince, je viens de voir les papillons en boucles d'oreilles sur mon avatar. Je suis bonne pour en refaire un >.<

Phil : Je ne sais pas encore si je me la joue flemmarde ou écrivain, sur le coup xD
Mer 1 Mai - 1:51
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Bienvenue à Pompéi ma chère !
Trop heureux de voir que mes publicités massive sur Facebook est portée fruit.
Tu vas pas regretter de nous avoir choisi Content
Arene
Mer 1 Mai - 7:01
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Priam
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₪ Ecrits : 4319
₪ Sesterces : 283
₪ Âge : 29 ans
₪ Fonction & Métier : Gladiateur pour la maison Lucretius

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: The Gods have no mercy, that's why they're Gods
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Gauche...
Priam
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Bienvenue officiellement parmi nous donc, chère Julia! cheers

Il me tarde de te lire et de découvrir ta vision du personnage! I love you
Ven 3 Mai - 1:11
Re: Julia Felix ♣ Où est la pensée, là est la puissance   




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Invité
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Bienvenue ^^ Ton personnage était attendu ^^

Bon courage pour ta fiche!
Ven 3 Mai - 2:33
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Merci ^^
Arene
Mar 7 Mai - 23:55
Re: Julia Felix ♣ Où est la pensée, là est la puissance   




Priam
₪ Arrivée à Pompéi : 21/08/2012
₪ Ecrits : 4319
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₪ Âge : 29 ans
₪ Fonction & Métier : Gladiateur pour la maison Lucretius

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: The Gods have no mercy, that's why they're Gods
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Gauche...
Priam
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Tu t'inquiètais pour tes petits ajouts mais je trouve que tu as très bien fait au contraire! cheers J'avais écris Julia avant tout comme une "badass" mais je pense que j'avais omis un certain caractère plus "humain" que tu as très bien rendu je trouve... Please
Je trouve que tu as parfaitement bien mis l'accent sur son caractère indépendant et c'est top! cheers Juste un petit point cependant, même si elle n'est pas à l'abri du besoin, il faut avoir à l'esprit que le fait d'être une veuve sans enfant et non remariée ne fait pas partie de la "normalité" dans la société romaine, le fait même d'être célibataire et/ou sans la protection d'un homme constitue un statut précaire même si on est bien d'accord Julia est au dessus de ça et ça ne change rien pour ta fiche, je tenais quand même à te le préciser pour que tu ais ça à l'esprit, notamment pour la question de gérer les relations sociales de Julia... Wink

Simple petit détail: attention aux dates en "- av. JC", il vaut mieux faire comme les Romains et compter les date depuis la fondation de Rome (-27 av JC = 725e année depuis la fondation de Rome). Ca n'est pas grave, je te rassure, mais c'est pareil c'est juste un petit truc à garder dans un coin de la tête! Wink

Quoiqu'il en soit c'est une belle fiche de qualité que j'ai le grand plaisir de valider!
Enjoy Pompéi et merci pour tous les services rendus à cette bonne cité (et en particulier à sa gente masculine PTDR) chère Julia! Razz
Mer 8 Mai - 10:06
Re: Julia Felix ♣ Où est la pensée, là est la puissance   




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Han merci *-*
Re: Julia Felix ♣ Où est la pensée, là est la puissance   




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