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 Les erreurs de jeunesse forgent nos plus beau souvenirs ~ Pompeia Praedita ~ Gaius Calius Genius



POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Neapolis
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Jeu 23 Avr - 14:30
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Les erreurs de jeunesse forgent nos meilleurs souvenirs
Pompeia Praedita


Flashback

La journée étaient belle, le soleil était déjà bien haut dans le ciel et Gaius marchait dans la campagne. Il n'y avait personne mis à part des paysans qui à l'arrivée de l'été récoltaient le blé pour nourrir les bons habitants de Pompei. Encore quelques heures de marche et Gaius serait arrivé. Il lui tardait de retrouver Praedita. Depuis que Publicola l'avait pris sous son aile il n'avait pas arrêté de trouver sa jeune sœur magnifique. Il l'a voulait. Il avait déjà conscience que malgré son jeune âge il pouvait tous les avoir. Même certaines femmes de sénateur lui avait déjà fait des avances. Il avait même déjà cédé à certaines d'entre elles. Celle qui avaient été épargné par les affres de l'âge. Mais cette fois-ci Gaius ne voulait pas une femme d'expérience, une femme a qui il pouvait prendre un peu d'argent, non, cette fois-ci c'est Praedita qu'il voulait. Il savait que ce ne serait pas une tache aisée mais justement peut-être était-ce aussi cela qui rendait Praedita aussi désirable. Il faudrait usé de son pouvoir de séduction et de stratégie, deux choses qu'il maîtrisait parfaitement.  
Elle serait aussi un très bon partie comme l'avez dit sa mère. Elle était ailleurs la seule à savoir où il était partie. Il ne le dirait pas à son père. Même s'il savait que lui aurait droit au bâton pour n'être pas rentré. Il n'avait même pas cherché de mensonge à lui raconté cela n'était pas nécessaire. Gaius avait eu peur de son père quand il était plus jeune. Mais déjà à 18 ans il était plus grand et plus fort que ce petit homme. Il endurait alors les coup sans broncher. Un jour quand son père serait mort, Gaius se forgera un empire. Il irait plus loin que ces petites rues de Pompei, plus loin que la campagne qu'il foulait, il irait jusqu'à Rome. Là était son destin et tel était ce que les augures lui préparaient.
Publicola lui avait dit que sa sœur se reposait à la campagne chez une amie. Il n'avait eu besoin que de quelques heures la veille et de poser les bonnes questions aux bonnes personnes généralement à ses être vénales qu'étaient les esclaves pour trouver de quelle villa il s'agissait. Praedita ne le repousserai pas. Il espérait seulement que les deux filles étaient seules avec quelques esclaves à qui il pouvait graisser la patte. S'il y avait des adultes, des patriciens là la manœuvre se compliquaient. Mais il trouverait comment rentrer tout de même. Rien n'était inaccessible pour le Genius !

*

La nuit était pleine. Seul l'ouest était encore un peu lumineux au loin. La villa avait l'air inhabité mise à part quelques fenêtre où la lumière des bougies faisait danser des ombres sur les voilages. Gaius savait que c'était Praedita. Il fit d'abord le tour de la villa pour vérifier les environs. Quelques esclaves se reposait autours d'un petit feu et buvait du vin. Les adultes ne devaient pas être là s'ils se permettaient une telle chose.

J'espère ne pas vous déranger ! Dit-il d'abord dans sortir de l'ombre.

Il aimait le théâtre plus que tous les autres divertissement qu'offrait Pompeii. Il pouvait revoir la même pièce des dizaines de fois sans en avoir assez. C'est de là que lui venait son éloquence et sa prestance.
Il sortis alors de l'ombre tout d'un coup. Les esclaves eurent le réflexe de jeter le vin de leur verre et de se lever étant pris sur le fait accompli. Genius savourait ce moment.

Et bien je vais être clément avec vous ce soir car la nuit et belle et douce. Continuez donc votre petit banquet improvisé, je ne dirais rien à vos maîtres. Mais à une seule condition. Ces mêmes maitres ne doivent en aucun cas savoir que je suis venue rendre visite à Praedita. Vous m'avez bien compris.
Les esclaves inclinèrent la tête après tout ils ne pouvaient rien faire d'autre. Aussitôt Gaius rentra dans la villa. Celles-ci sont toujours faite de la même façon de toute manière. Gaius n'eût point trop de mal à trouver la chambre d'où il entendait des rires de filles. Il écouta un peu à la porte mais il ne distinguait pas précisément ce qu'elles étaient en train de dire. Aussi il rentra sans plus attendre.

_Mesdemoiselles je vous souhaite le bonsoir ! Dit-il avec son sourire le plus charmeur.


© EKKINOX
Patricien
Lun 4 Mai - 0:10
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Pompeia Praedita
₪ Arrivée à Pompéi : 17/11/2013
₪ Ecrits : 681
₪ Sesterces : 73
₪ Âge : 26 ans
₪ Fonction & Métier : Auteur anonyme de pièce de théâtre - membre d’un cercle littéraire secret

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: C’est si rare maintenant quand une femme a du tempérament, que quand une femme en a, on dit que c’est de l’hystérie.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Fiancée
Pompeia Praedita
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De temps en temps, la Villa des Mystères était un véritable enfer tant pour Publicola que pour Lupida. La raison de cette soudaine atmosphère irrespirable n’était ni due à la chaleur infernale pompéienne estivale et encore moins à une quelconque dispute de « couple » - ces deux-là s’étaient-ils seulement séparer d’une ou deux journées depuis leur mariage ?-. C’était Pompeia Praedita qui les faisait, au sens littéral comme figuratif, transpirer. L’unique brune des Pompeii semblait être prompte à des sauts d’humeurs terribles, et certains jours – suite à une longue période enfermée entre les cartes murs de cette riche ville -, elle implosait.

La seule et l’unique solution était un simple et court séjour à la Campagne. Heureusement pour eux, ils n’avaient guère à faire le déplacement – ce serait mal placé pour sa vertu et son honneur de l’abandonner toute seule au milieu de la « nature », n’est-ce pas ? – car une des amies de la lionne noire se rendait dans une des demeures secondaires, avec sa famille. Cette dernière était composée d’un père magistrat dévoué à Publicola, d’une mère pieuse et d’une tripotée de filles – trois au total, âgée respectivement de seize, quinze et quatorze ans- à la réputation tout aussi honorable. Une famille « modèle » en somme …

Une famille qui se taisait lorsqu’elle entendit que la tumultueuse Praedita les accompagnerait. Certes, la demoiselle ne ferait rien à l’encontre de l’honneur de son amie – la plus jeune des filles de cette famille- mais son ton, son vocabulaire ou ses pensées laissèrent à plusieurs reprises pantois – ou pâle – la pieuse famille. Cependant, personne n’osait dire quoi que ce soit car derrière la petite lionne se dressait le « Grand » Lion. Ainsi, durant tout le voyage, ils gardèrent un œil sur la demoiselle. De même, la surveillance allait de plus belles en journée durant ce piquenique en bord de lac. Le soir, les parents purent souffler en paix : rien n’était arrivé. C’est donc avec cette merveilleuse certitude que le vieux couple se prélassa dans un coin reculé mais calme et charmant de la Villa, ayant abandonné les trois filles et Praedita à quelques jeux dans leur chambre.

Les yeux bandés, les trois sœurs couraient à droite et à gauche pour retrouver Praedita. En effet, le jeu préconisait une personne aveugle et le reste de totalement visible mais, à force de persuasion, la brunette avait su inverser les règles. Elle voltigeait dans la pièce, riait aux éclats, attirait tous vers un même lieu pour les faire trébucher au lit … Tant de choses. Un merveilleux jeu qui fut interrompue soudainement par une voix masculine « étrangère ». Les trois filles enlevèrent instantément leurs bandeaux, en s’arrêtant dans leur action.

Que voyait le Génie à cet instant ? Praedita sur le lit, la toge releva à mi-cuisse pour pouvoir sauter avec aisance bien loin des trois sœurs, et ces dernières vaguant un peu partout. Le tout, avec les joues rouges de fatigue et d’amusement.

- Gaius ? s’exclamèrent les sœurettes en cœur, se mettant dans une situation pathétique aux yeux de la Pompeii. Cette dernière abattit sa toge sur sa cuisse dévoilée, descendit du lit afin d’aller se chercher une pomme et d’y croquer, tout en buvant un peu d’eau – elle avait sacrément soif mine de rien. Pendant ce temps, le pauvre « Génie » était harcelé par toutes les questions des demoiselles.

Pourquoi était-il là ? Que faisait-il là ? Qui l’avait invité ? Avait-il été invité ? Était-il seul ? Avait-il quelques compagnons de voyage ? Devraient-elles le présenter à ses parents, au cas où ? Comment les esclaves ont-ils pu le laisser entrer ?

Praedita ne disait rien, se contentant de le fixer de son regard noir souligné par un léger khôl. Contrairement à beaucoup de jeunes filles de son âge, elle brûlait d’une intelligence et d’une passion d’une toute autre nature, bien plus dévorante et bien plus flamboyante. Bien plus désirable …
Mer 20 Mai - 21:16
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Les erreurs de jeunesse forgent nos meilleurs souvenirs
Pompeia Praedita


Flashback

Le génie savourait son triomphe. Il avait réussi à pénétrer dans la villa et encore mieux maintenant il était arrivé dans la chambre où se trouvait Praedita. La journée de marche n'avait pas été faite en vain. Et il était heureux d'être entré sans encombre car assurément il aurait été obligé de faire le trajet dans l'autre sens et il était déjà bien assez fatigué comme ça.

La chambre dans laquelle il était entré était richement décorée pour une maison de campagne. Il savait qu'il se trouvait chez des Patriciens d'une haute gens. Mais n'ayant de respect pour rien ni personne à part lui le fait de s'être invité en entrant par effraction ne lui posait aucun problème en particulier.

Devant lui les jeunes filles qui étaient en train de jouer s'arrêtèrent nettes. Il savait l'effet de surprise qu'il avait produit et justement c'était le but de sa main-d’œuvre. Très vite les jeunes filles étaient à ses pieds le noyant de question auxquelles bien sûr il ne prendrait pas la peine de répondre. Ce n'était pas ce qu'il avait prévu et il ne perdrait pas son temps avec ses gamines. Il s'intéressait plutôt à la seule fille qui ne lui avait pas sauté dessus quand il était entré de la pièce. Il avait juste eu le temps de voir sa cuisse dénudé avant qu'elle ne replace ses vêtements. Et tout de suite il savait qu'il n'avait pas à faire à une gamine.

Il avança donc directement vers Praedita qui s'était mise de côté. Elle avait déjà des allures de reine. Elle semblait inaccessible et c'est justement pour cette raison que Gaius la désirait. C'était même plus que cela. Elle était complètement à sa hauteur. Étrangement il ne l'a méprisait pas contrairement à beaucoup d'autres filles de son âge. Il savait qu'elle était spéciale. Très perspicace. Depuis toujours il s'intéressait à elle. Mais pas forcément par affection ou amour. Non c'était juste une simple curiosité d'abord. Comme si lui qui avait toujours eu l'impression d'être un étranger autours de gens qui ne lui ressemblaient, trouvait soudainement quelqu'un qui était comme lui, un semblable. Et c'est pour cela qu'il l'avait observait au début. Mais bientôt autre chose s'était mêlé à cette curiosité innocente à mesure qu'ils grandissaient. Elle était devenue une énigme, un défi qu'il se devait de surmonter.

Mais ce soir debout devant cette jeune fille à la magnifique chevelure brune il avait envie d'elle. Il voulait qu'elle soit à lui. En grandissant elle était devenue une jeune femme magnifique. Il pourrait se marier avec elle. Il y pensait parfois mais peut-être pas assez sérieusement. Après tout à 18 ans on ne pense pas sérieusement à cela. Votre famille se charge d'y penser pour vous. Elle serait un bon parti assurément mais ce n'est pas pour le côté « bon parti » qu'il la voulait. Elle savait lui répondre et lui tenir tête. Il avait de plus en plus besoin de cela maintenant que les gens commençaient tous à lui manger dans la main.

Il leva le bras pour faire taire les fillettes qui l'avait suivi jusqu'à Praedita.

_Dites les filles, je viens de faire une longue route. J'apprécierais bien un peu de vin si vous savez où en trouver sans vous faire voir des adultes. Seriez vous capables de faire cela pour moi ?

Il dit tout cela sans même se retourner pour regarder à qui il s'adressait. Mais cela n'a pas du gêner ses interlocutrices qui tout en gloussant s'engouffrèrent dans le couloir et laissèrent les deux jeunes seules. Tout ce que voulait Gaius.

_Tu sais j'ai vraiment fait quelque kilomètre pour te trouver Prae. Tu me manquais je voulais te voir. D'ailleurs tu me manqueras encore plus dès demain. Je pars de Pompei. Je dois faire mon service militaire.


Il s’assit nonchalamment sur le lit qui était le plus près. Il lui faisait son numéro, lui servait les phrases qu'il avait méticuleusement préparé pendant son voyage. Il savait que l'amadouer ne serait pas chose facile mais justement c'est le jeu qu'il aimait par dessus tout. Le chemin pour parvenir à son but était plus précieux pour lui que le but en lui même. Et avec le répondant de la jeune patricienne il avait de quoi faire.

_Tu ne voudrais pas qu'on reste un peu tous les deux ce soir ? Il faudrait fausser compagnie à tes charmantes amies. Je suppose que ce ne serait pas fausse bien complexe. C'est toi que je suis venue voir, pour toi que j'ai fais ce chemin, personne d'autre.

Il lui lança son regard le plus charmeur. Il sait que ce serait plus complexe qu'avec toutes les autres filles, femmes, toutes celles qui n'avait pas eu une seule once de résistance.

Mais déjà il entendait poules glousser dans le couloir. Elles allaient revenir avec son vin.

_Décide toi belle Praedita. Tu n'as certainement pas envie de rester avec ces fillettes, elles ne sont pas de ton niveau nous le savons tous les deux. Viens avec moi pour une petite virée nocturne, je te jure sur Vénus que nous ne nous ennuieront pas.  

© EKKINOX
Patricien
Mar 9 Juin - 0:55
Re: Les erreurs de jeunesse forgent nos plus beau souvenirs ~ Pompeia Praedita ~ Gaius Calius Genius   




Pompeia Praedita
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La jeune Pompeia Praedita soupira devant l’incrédulité de ses amies qui s’empressèrent d’exécuter les ordres de ce beau-parleur au regard envoûtant. La jeune fille le toisa de son regard noir, gardant encore et toujours cette expression assurée et reine qui faisait pâlir plus d’une fois, et réduisait au silence plus d’un homme. Une fille qui sera difficile à marier disait-on car il était rare les hommes appréciant les femmes avec de l’esprit dans la Grande et Belle Rome. Ou devrait-on dire Pompei ?

Le sourire au coin, elle l’écoutait étaler ses multiples mensonges et doux paroles qui n’étaient que vaines promesses pour obtenir une fleur ou un regard d’elle. Ce n’était pas le premier – et sûrement pas le dernier – qui tentera des quelques habiles stratagèmes pour faire ployer la sœur du Duumvir à quelques absurdes romances.

- Je suis Pompeia Praedita, et non juste « Prae » mon cher Gaius, dit-elle pour toute réponse au départ.

Toujours avec cette allure de Reine, elle se posa sur ce lit également, juste en face de cet homme pour lui offrir un sourire ironique.

- Tu vas combattre ? demanda-elle avec un air admiratif. Es-tu effrayé ?

Elle n’y croyait pas un mot. Non, elle s’amusait juste à jouer un rôle soit un « métier » que son père lui avait refusé il y a quelques années. Cependant, à bien y réfléchir, il ne l’en avait pas privé. La vie d’un Pompeii n’était que jeu et faux-semblant. Un art auquel elle s’adonnait avec amusement, n’hésitant à modifier l’expression de son visage selon les situations. On pouvait prétendre que Praedita était la Pompeii la plus expressive mais c’était clairement la plus fausse et la plus trompeuse, usant de ses prétendues expressions pour manipuler son monde.

- Cela veut donc dire que tu vas avoir des cicatrices … Que tu peux mourir pour la cause de notre Empereur, pour notre grandeur … pour notre sécurité ? finit-elle par dire d’un ton plus bas, comme une confession. Les yeux brillants, évidemment – elle avait appris très tôt que des yeux de biche d’une jeune fille hypnotisait plus d’un.

Et elle approchait cette tête toujours plus près … Pour finalement se retirer subitement et rire aux éclats.

- Oh, Gaius. Je te pensais plus habile et plus rusé. Épargne-moi tes suaves paroles… Je ne suis pas de ces esprits faibles qu’on manipule aisément. N’oublie pas que mon père était duumvir, et que mon frère l’est également.

En somme, elle connaissait toutes les ruses et astuces de ces beau-parleurs. Car oui, un Politicien, ce n’était que du « blabla » si l’on regardait de près…

- Tu te trompes peut-être bien. Je m’amuse avec mes amies. Quelques jeux innocents. En as-tu déjà … fait, homme rusé et joueur ?

Tout le monde savait l’aisance avec laquelle Gaius captivait son auditoire, et charmait les dames. Tout le monde le savait mais cela n’empêchait pas tout le monde de se plier sous ce charme du serpent. De merveilleux yeux, une belle stature … Il faut avouer, même pour Praedita, il était plus que charmant. Presqu’un dieu de l’Olympe.
Jeu 25 Juin - 22:15
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Pompeia Praedita


Flashback

Praedita était pour Gaius comme une magnifique rose noire : rare, magnifique, troublante, piquante et surtout envoûtante. Elle était bien plus intelligente que la plupart des jeunes femmes de son âge. Et forcément c'était une des plus belles créatures de Pompeii, de l'Empire, du monde même peut-être pour Gaius. Il aimait avoir les choses en mains et tout contrôler d'habitude mais là, avec cette magnifique brune ce n'était pas possible. Elle aimait mener le jeu tout comme le Génie. Cela créait des situations où la compétition était toujours de mise. Ce soir encore c'était le cas, à la plus grande joie de Gaius.

Bien sûr il savait qu'il fallait plus que quelques parole suggérant un péril éminent pour attendrir sa belle. Elle pouvait avoir mille visage. Elle était aussi changeante que l'océan à vrai dire. C'est ce qui faisait sa beauté et son charme.

_Arrêtons de jouer à ce jeu alors Pompeia Praedita, descendante du Grand Pompée. Tu sais que je pourrais être n'importe où ce soir. C'est bien toi que je suis venu voir.

Il savait qu'il ne pouvait pas jouer avec elle. Elle était sa semblable. Elle pensait comme lui et était capable d'anticiper ses actions. C'était une partie d'échec perdu d'avance pour les deux parties. Il était temps d'arrêter de jouer, certes. Mais voilà qui n'était pas une chose aisé pour un Génie tel que Gaius. Le contrôle nécessiter de toujours montrer un visage égale. Il ne fallait faire entrevoir aucune émotion pour avoir sans cesse l'avantage pour ne laisser rien entrevoir qui pouvait servir d'arme contre soit. Mais le Génie était encore jeune alors et plus enclin à donner sa confiance à cette jeune fille. Pourquoi elle ? Était-ce que l'amour ? Gaius pouvait alors avoir ressentis ce sentiment pour la belle brune. Mais encore en était-il conscient ce soir-là.

Il regarda autour de lui. Que pouvait-il faire pour la persuadé. Autant suivre les règles qu'elle m'était en place.

_Dès jeux innocents... (il fit mine de réfléchir) Bien sûr j'en ai eu. Mais ce n'est plus ce que je recherche ma belle. Je ne suis pas venu pour des jeux innocents de fillette. Et je pense que tu es bien trop intelligente pour cela. Alors je te propose de venir avec moi ce soir.

Il fit quelques pas pour venir près d'elle très près même, près au niveau d'effleurer ses lèvres comme elle l'avait elle même fait quelques minutes plus tôt. La tension était alors à son comble. Gaius avait une irrésistible envie de goûter à ses magnifiques lèvres. Mais attendre était encore meilleur. En tout cas il le pensait n'ayant alors pas encore pu avoir accès à ce fruit qui lui était pour l'instant interdit.

Il lui pris alors la main dont il embrassa le dos. Il plongea alors ses yeux d'un bleu profond dans les siens. Puis une idée farfelu lui vient en tête, si farfelu qu'elle était pour lui du pur Génie.

_Me ferai-tu confiance Praedita ?


© EKKINOX
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