La présentation d'une prêtresse

(c) visenya.

Helvetia Eurydice incarné(e) par Aiysha Hart Ave, étranger! Je suis Helvetia Eurydice, fille de Ahmès (Antonius). Né(e) à Rome, il y a 24 ans, je suis d'origine égyptienne. La déesse Fortune a fait de moi une(e) prêtresse d'Isis & esclave affranchie et j'ai pour famille/maître(sse) Les Helvetiii de Rome Plus de 2000 ans plus tard, c'est Lucrezia/ReineSoleil/Aemilia qui m'incarne. Qui es-tu? Il y a rien de particulièrement changé à part que j'ai maintenant 24 ans et que j'ai changé de pseudo sur The Thorn Bird pour m'appeler Mary De LaCroix :3 Je me sens perdu et j'aimerais bien avoir un parrain ou une marraine : OUI [ ] / NON [ X ] merci, je connais la maison . Pour plus d'infos sur le parrainage, c'est ici. Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [] que mon personnage soit adapté en scenario / [X] que le staff le fasse disparaître de Pompéi par mort ou départ (cochez selon vos préférences), et ce pour permettre à mes liens importants de ne pas être gênés. Mais ça n'arrivera pas.

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→ Ce que je pense de Pompéi
Elle est arrivée à Pompei quelque temps après son affranchissement et qu’elle aie eu le titre de prêtresse au sein du temple d’Isis. Comme elle n’y est pas née et qu’elle vit là que depuis peu de temps, elle a un peu de mal à comprendre comment fonctionne la cité et, évidemment, comme elle quitte que rarement le temple, elle ne s'est pas encore donnée l’occasion de mieux comprendre Pompei. Mais, esthétiquement, elle trouve que c’est une belle ville. Moins que la cité éternelle mais, elle a réussi à s’y faire.

→ Ce que je pense de la politique
Elle respecte les magistrats de la ville pour la simple et bonne raison qu'ils ont permis le culte d'Isis. Mieux, il y a des dévots de cette déesse égyptienne parmi les têtes pensantes de la ville. Comme pour les Jeux, elle se rend régulièrement là bas pour assister certains magistrats qui la respectent et prennent en compte certains de ses conseils. Elle joue donc une rôle politique mais vraiment minime et elle ne tentera jamais d'avoir plus. Sa vie lui convient très bien comme elle est.

→ Ce que je pense des jeux
Elle n'est pas vraiment attirée par les Jeux. Si elle va voir les combattants dans l'arène c'est surtout pour deux principales raisons. La première est qu'elle fait parfois la procession avant les Jeux pour rendre gloire aux dieux (dont la déesse Isis) et l'autre raison est beaucoup plus personnelle…

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
Continuer à célébrer le culte de cette déesse qu’elle adore. Mais il y a autre chose. Elle est venue à Pompei pour autre chose que de devenir prêtresse d’Isis… Dans un des ludus de Pompei se trouve l’homme qu’elle aime plus que tout au monde. Et, oui, elle l’esclave affranchie devenue prêtresse est amoureuse d’un gladiateur. Elle l’aime plus que tout au point de mettre sa vie en péril. C’est aussi pour lui qu’elle va à un certain ludus et voir les combats de gladiateurs.

→ Ma pire crainte
Sa crainte principale demeure dans le fait qu’on découvre leur passion, à elle et à son bien aimé. Car, en devenant prêtresse, elle a renoncé à tout ce qui est plaisir terrestre. Mais rien n’y fait…Elle est amoureuse et rien ne pourra changer ça. Elle est donc partagé entre son amour terrien et son amour divin. Sa seconde peur est qu’on interdise le culte des divinités égyptiennes. Si le temple d’Isis est détruit…Que va t’elle devenir.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Sa profession (plutôt sa vocation) annonce déjà la couleur. De plus elle est égyptienne. Elle adore la déesse Isis, la déesse de la vie. Son adoration démarre lors de ses années d’esclavages où ses parents lui on enseigné tout ce qui avait à savoir sur le panthéon égyptien et c’est la déesse Isis qui l’a plus attirée. Elle avait l’impression que la déesse lumière veillait sur elle. Puis, elle est devenue affranchie. Elle est entrée dans le culte –malgré son amour pour un certain homme- à Rome pour, enfin, venir à Pompei.

Eurydice est née à Rome de parents esclaves du nom d’Ahmès (Antonius) et d’Ahava (Lidya). Ceux ci s’étaient mis en consortium grâce à leur maître, touché par leur histoire. En effet, ils étaient nés libres et étaient tombés amoureux l’un de l’autre à ce moment là. Puis, il y a un raid des romains sur la province égyptienne où ils vivaient et ils furent séparés…Pour mieux se retrouver dans la même propriété d’un riche laniste où ils furent vendus comme esclaves à quelques mois d’intervalle. D’abord, ils ne se recroisèrent pas de suite. Surtout qu’ils apprirent que quelques temps après qu’ils avaient finis chez le même propriétaire! De plus, le fait qu’on aie changé leurs noms n’avaient rien arrangés pour encourager des retrouvailles.

Toujours aussi épris l’un de l’autre, ils recommencèrent leur histoire là où elle s’était arrêtée jusqu’au jour où ils se sont fait surprendre. Antonius, l'apprenti gladiateur, et Lydia, l'aide aux cuisines, (noms d'esclaves d'Ahmès et d'Ahava) avaient cette relation sans que leur maître en soi au courant et qu'il aie donné son accord…Ils furent donc punis jusqu’à ce qu’ils supplient leur maître de leur donner une chance de s’expliquer. C’est ainsi que leur maître Helvetius Lucius apprit leur histoire et il donna son accord pour que ses deux esclaves puissent vivre leur amour au grand jour en leur permettant de vivre en consortium et jura de ne jamais revenir sur sa décision. Quand on lui demandera pourquoi il avait fait ça, il rencontrera qu’il était, jadis, fort épris d’une fille du peuple – une fille de forgeron du nom de Lucia – qu’il aurait voulu épouser mais qu’on ne donna jamais l’accord pour que les noces puissent se faire car un forgeron ne donnerait jamais la main de sa fille adorée à un laniste. Il avait l’impression de revoir sa propre histoire dans l’histoire d’Antonius et de Lydia. Il savait à quel point cela pouvait faire mal de ne pas pouvoir être au côté de l’être aimé…Ou, plutôt, d’être aussi proche de cette personne sans pouvoir la toucher ni lui faire part de ses sentiments de manière claire. Accordé ce partenariat à ses deux esclaves était, pour lui, une manière de se venger.

C’est ainsi qu’est née Eurydice. En fait, son vrai nom est Linor mais le propriétaire lui donna, comme nom d’esclave, Eurydice. En privé, ses parents l’appelaient Linor mais en public, c’était Eurydice. Bien qu’esclave, elle grandi dans les préceptes de la religion égyptienne et trouva du réconfort dans le culte d’Isis.

Son propriétaire ayant un ludus, il lui arrivait de l’accompagner voir les gladiateurs pour s’en occuper. C’est là qu’elle rencontra le médicus des lieux qui la prit en affection et lui enseigna son art. Elle devint, donc, en quelques sortes, son assistante. Puis elle rencontra, à 15 ans, un jeune apprenti gladiateur d’un an son aîné de qui elle tomba follement amoureuse. Ils eurent une iddyle platonique qui prit “fin” quand on lui annonça son affranchissement à 17 ans. En fait, elle apprit à ce moment là qu'une fois que son père avait vaincu un certain quota de gladiateur, elle serait fait libérée. Son maître ayant été quelqu'un qui respectait toujours ses serments et ses promesses, il les avait respecté.

Esclave, elle s’était toujours dit que si on l’affranchissait un jour, elle deviendrait prêtresse d’Isis et elle commença son apprentissage. La raison pour laquelle elle voulu entrer en apprentissage? Durant sa période d'asservissement et où elle rendait service au domicus du ludus de son propriétaire, son bien aimé fut gravement blessé durant un entrainement. Il fut vite soigné mais tous s'accordaient pour dire qu'il allait y rester. Mais, elle, refusait d'admettre la dure vérité et elle passa des jours et des jours au chevet de l'apprenti gladiateur qui avait volé son coeur en oubliant, parfois, de s'alimenter. Dans une semi folie, elle se mit à prier les dieux égyptiens et, en particulier, la déesse Isis. Après tout, cette déesse était celle qui avait été faire la guerre à la Mort elle même pour sauver celui qu'elle aimait et…Etait ce un miracle? Mais, un beau matin, son amour interdit se réveilla des limbes. Ce fut, à ce moment là qu'elle promit que si on lui accordait la liberté, elle choisirait de donner sa vie à la déesse qui avait sauvé celui qu'elle aimait le plus au monde.Ceci dit, après son entrée en apprentissage, elle continua à voir en cachette son bien aimé qu’elle ne pouvait pas oublier.

Puis, c’est lui qui parti au printemps de leurs 20 et 21 ans. Il avait été vendu à un ludus de Pompei. La jeune femme devait continuer son apprentissage du culte d’Isis, ce fut dans cette période qu'elle commença à jouer un rôle dans la société, et ce ne fut que trois ans plus tard que la belle Eurydice pu aller à Pompei puisqu’on lui avait donné le choix. Par la suite, elle pu entrer dans les ludus de Pompei avec le pretexte qu’elle voulait encourager les gladiateurs égyptiens même si c’était pour retrouver celui qu’elle aimait. Elle prit quand même du plaisir à aller voir ses compatriotes et c’est ainsi qu’elle se retrouva face à celui qu’elle n’aurait jamais pu oublier. Maintenant qu'elle en est là…Que faire? Continuer son culte et mettre son bonheur de femme de côté? Abandonner la déesse qu'elle chéri tant et qui l'a soutenue toutes ces années pour un homme? Un esclave qui plus est! Elle est partagée entre deux feux. Entre deux amours. Surtout qu'elle doit apprendre à se faire discrète. En prêtant serment devant le grand prêtre du temple d'Isis, elle a fait voeux de chasteté. Si on apprend son amour, bien que platonique, avec un gladiateur…La punition sera très lourde.