Publicola ₪ Lupida

Hey très chère Lupida qui a accepté d'être ma filleule

Alors une petite présentation car voilà la coutume. On me surnomme souvent Lau, diminutif de mon prénom Lauranne, mais il est plus que probable que tu m'entendras répondre au nom de Publi par ici, ce qui me va parfaitement bien car je suis une littéraire de formation (publi = publication, la blague est nulle, laissons la, ça vaut mieux ). J'ai 28 ans et je fais du RP depuis dix ans maintenant.

Je suis une passionnée de séries britanniques, de lecture, de jeux vidéos, de graines de tournesol et pour résumer, je suis assez geek sur les bords. Il est rare de me voir autrement que derrière mon écran, ce que j'essaye de soigner mais avec beaucoup de mal vu que j'ai choisi un métier qui m'a un peu vissée devant mon ordinateur Normal quoi.

Tu t'en doutes, j'aime l'histoire, le XVIIè siècle avant tout, l'Antiquité (forcément) et la Renaissance, ma période d'adoption.

Je suis fièrement le patriarche des Pompeii sur le forum, ce qui fait que je pourrai je pense bien t'orienter dans les sombres arcanes de notre famille, ce qui a été développé, mis en sommeil ou abandonné. Et bien entendu te faire visiter cette charmante cité emplie de fous où les plumes sont, je dois dire, vraiment les meilleures que j'ai pu croiser sur les fo' jusqu'alors.

Ah oui et puis j'avoue... avec une légère honte, être arrivée ici parce que je cherchais un PV avec la trombine de Nikolaj... GoT oblige !

Voilà, tu peux donc me poser les questions qui te traversent la tête et je m'efforcerai d'y répondre du mieux que je pourrai.

Sois la bienvenue une fois encore et prépare-toi Pompeii, nous allons faire un couple qui roxxe de la marmelade à sa mamie ! (je ne sais pas ce que vient faire cette expression m'enfin   ).

Bonsoir, bonsoir.

Alors pour ma part j'ai 27 ans, j'ai aussi fais une formation littéraire et des études afin de devenir Ingénieure du Son mais, des problèmes de santés m'ont empêchés de continuer et donc aujourd'hui je me suis dirigées vers les tatouages bref... Je suis la soeur (aînée) d'une autre joueuse à savoir Minerva et comme elle je suis une grande fan de GoT (même si je n'ai pas autant de connaissances qu'elle) et c'est pour ça que Nikolaj... Graou Miam Miam ! Oui ça ne veut rien dire mais quand même !

Alors pour l'instant je n'ai qu'une seule question en quelques lignes comment vois-tu Lupida ? Comment la décrirais-tu ? Comment décrirais-tu ton lien avec elle autrement par ce que tu as écris dans ta fiche de lien car je t'ai un peu espionné avant de m'inscrire haha ! Car pour moi c'est important de savoir comment les gens voient le personnage afin de ne pas totalement leur imposer MA vision du personnage.

Je pourrais écrire des romans sur Lupida, tellement c'est un personnage que j'imagine souvent, trop peu joué, esquissé au détour d'un RP mais jamais vraiment là si bien que je saute littéralement de joie de te savoir ici.

Je vais donc la décrire par la vision de mon personnage, histoire de ne pas non plus l'enfermer dans une case avant que tu te la sois appropriée :

Pour moi, Lupida est réellement la femme idéale pour Publicola, dans le sens où c'est une âme soeur, semblable à lui en tous les points, de la blondeur de leurs cheveux à leur sens de l'intrigue. Si Publicola est souvent sur le devant de la scène politique de la cité, Lupida n'est pas en reste car elle parade à son bras, se montre souvent afin de rappeler la toute puissance de la famille, participe à des oeuvres de charité (ça m'évoque des galeries de tableaux là tout de suite m'enfin tu vois, l'aumône pour les pauvres, à l'antique quoi), sait glisser quelques bons mots dans les oreilles de certains patriciens afin d'orienter leur choix, les rallier à nous ou leur déclarer froidement la guerre, sous des couverts toujours si féminins.
Ils manipulent donc tous les deux habilement leurs citoyens, car ils savent être les maîtres de Pompeii et feront tout pour le rester. Chacun dans leur style car Publicola peut parfois être tout feu tout flammes si on le pousse à bout, alors que Lupida sait toujours conserver empire sur elle même par exemple, et donc être un point d'ancrage pour son mari.

À la domus, c'est elle qui est véritablement la maitresse des lieux, bien entendu, et si normalement, les femmes n'ont rien à faire dans le tablinum - le bureau - de leur époux, elle s'y glisse souvent car c'est le premier conseiller de Publicola, que ce soit pour les affaires familiales ou publiques. Il n'est pas rare qu'il s'épanche, qu'il lui livre ses tracas et qu'elle les efface. Ou alors juste parce qu'ils complotent ensemble, ce qui est un peu leur sport numéro 1.

En ce qui concerne les enfants, jusqu'alors, avec les précédents joueuses, on était parties du principe que Lucius était celui qui balançait franco les décisions et que derrière Lupida arrondissait les angles. Ils sont du même avis, par exemple pour le mariage d'Aurea, ils savent tous les deux que c'était la décision qui s'imposait mais si Publicola est resté plutôt froid par rapport à cela, Lupida a toujours essayé de conserver la bonne entente de la famille.
La situation avec Fortunato l'écartèle car bien entendu elle aime son fils farouchement, après tout elle protège le secret de ses origines, mais la mésentente qui commence à être irréparable l'effraye, comme si c'était un signe du destin et que le sang du fils parlait. Après je ne m'étends pas plus là-dessus car ce sera à voir avec les joueuses en particulier

Enfin, l'amour, quid de l'amour dans tout ça ? J'ai décidé de faire quelque chose d'un peu plus compliqué que dans le mariage romain consensuel, en gros le duo : famille pour l'épouse et amour pour la maîtresse. À la base, j'ai souhaité développer un lien avec Helvia pour contrebalancer le "pêché originel" de Lupida avec Caius et surtout le mensonge. Et puis on s'est si bien entendues avec la joueuse que d'une histoire amoureuse passée c'est devenu une liaison passée et actuelle. Alors au milieu de tout ça, je vois l'économie masculine de Lucius ainsi :

Lupida est donc son âme soeur, une femme presque sacrée, qu'il voit comme arborant toutes les vertus qu'il rêvait chez une femme : amie, conseillère, amante. Il en est toujours autant amoureux mais vis à vis d'elle, ne souffre avoir aucune faille profonde. S'il peut lui livrer en effet ses tracas et ses tourments, jamais il ne lui parle de cette fêlure présente qu'il sent entre le politicien qu'il a souhaité devenir et l'homme qu'il a été, même avant de la connaître. Car c'est un choix conscient, une concession que de sacrifier l'homme pour le politicien et vu que Lupida l'a toujours appuyé là-dessus, elle est également la garante de ce personnage là, celle qui le maintien à flots.

Helvia a connu un Lucius plus inconscient, plus joueur aussi, moins parfait sans doute. Et dans ses yeux à elle, il reconnait ce qu'il a été jadis et il a compris qu'il ne pouvait pas se permettre de sacrifier complètement cela. C'est ce qu'il retrouve dans ses bras et ce pourquoi il l'aime également car elle fait vibrer chez lui la fougue de la jeunesse, les appétences sans limite, elle fait donc éclater le personnage de mari et politicien parfait que j'ai brossé plus haut.

L'ensemble fait que Lucius peut encore poursuivre ses rêves, en avoir tout du moins, plutôt que de se croire arrivé, accompli sur son trône de Duumvir. Et cette sorte de hargne nouvelle, Lupida n'a pu passer à côté, donc elle sait que ça doit venir d'une femme. Laquelle maintenant ?

Voilà en gros ce que je vois du perso et je crois que j'ai beaucoup trop parlé . J'espère ne pas avoir peint un portrait éloigné de ce à quoi tu t'attendais car je détesterai te forcer la main... J'espère également qu'on voit à quel point la relation entre ces deux-là m'est chère .
Dis-moi ton ressenti ou si quelque chose n'est pas clair.

Oh non ta description est parfaite est très complète, j'ai déjà posté les réponses à quelques questions dans ma fiche si jamais tu veux avoir une idée de ma vision du personnage et surtout n'hésites pas à me dire ton avis sur ces réponses.. si tu crois que quelque chose cloche ect.

J'ai lu attentivement et je n'ai absolument rien à redire, c'est tout bonnement parfait *sautille encore partout comme un lapin à ressorts*