Le Deal du moment :
ETB Pokémon Fable Nébuleuse : où ...
Voir le deal

 Leaena ₪ The Lioness in the Arena



POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Exilés
Partagez
Dim 17 Mar - 23:47
Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




avatar
Invité
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

(c) copyright
Leaena
incarné(e) par Ellen Hollman

Ave, étranger ! Je suis Leaena, originellement nommée Gaia Decia Venusta, fille d'Adrianus Gaius Nero. Née à Pompéi, il y a 24 ans, je suis d'origine romaine. La déesse Fortune a fait de moi une Déesse de l'arène et j'ai pour maître Sextus Naevius Versutius & pour frères et soeurs d'armes les gladiateurs du Ludus des Naevii.

Plus de 2000 ans plus tard, c'est Glaci qui m'incarne. Qui es-tu ? J'ai la vingtaine et suis à la faculté (licence de Lettres Modernes). J'écris depuis des années - l'écriture est une véritable passion, au même titre que l'Art. L'Histoire m'a toujours intéressé et je suis de ces curieux qui lisent des pavés et regardent d'inombrables documentaires/films - sans retenir une quelconque date - pour en savoir davantage. C'est dans cette optique que j'ai trouvé le forum ; j'en recherchais un en lien avec la série Spartacus et, par la magie d'Internet, je me suis retrouvée dans le coin et ai été charmée~

(c) copyright
Pompéi & moi

→ Ce que je pense de Pompéi
Pompéi est le summum du théâtre humain. La société entière porte un masque et se joue d'autrui. Ils sourient en face pour mieux vous poignardez, une fois le dos tourné. C'est un bien bel Empire et une ville des plus agréables ; elle est prospère, elle est somptueuse, mais au combien pourrie de l'intérieur. Il y fait bon vivre quand on est riche et sans le moindre problème. Et encore, même ces individus se trouvent des soucis en enviant leur voisin... Pompéi est une véritable comédie pathétique, dérision amère d'une société hypocrite. Mais tout cela n'est que l'avis d'une damnée qui n'a plus son mot à dire - si tant est qu'elle l'est un jour eût.

→ Ce que je pense de la politique
J'aimerais ne répondre qu'un simple « sans commentaire », mais je sens que cela ne suffirait guère... Que dire donc de la politique de notre bel Empire ? Oh, il y a du bon en elle. Je dirais même qu'il y a du progrès ! Par exemple, on masque la barbarie en spectacle pour rendre les exécutions acceptables. C'est une belle amélioration que de censurer la société. Mais me voilà mauvaise langue. Disons plutôt que la politique est, comme toute chose, imparfaite et qu'il y a encore du travail. En somme, « sans commentaire ».

→ Ce que je pense des jeux
Très amusants. Sincèrement, dès ma première participation, je me suis entièrement investie. Les jeux sont une passion véritable que l'on vit entièrement, comme si demain risquait de ne pas arriver. Et si vous n'avez pas remarquez l'ironie, c'est que vous devez être de ceux qui admirent le spectacle et les beaux corps suants, aux tenues déchirés et couverts de sang. Ils sont sexys, ces gladiateurs qui triment pour leur survie hein ? J'aimerais sincèrement partager votre balcon, car du mien, j'avais plutôt une vue prenante sur les cadavres puants et entassés. Charmante vision résumant parfaitement mon affection pour les jeux du cirque.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
Hm... J'ai vingt-quatre ans, suis lettrée, ai tué mon époux infidèle, ai perdu ma citoyenneté romaine, suis réduite à l'état de barbare pour les origines de mon père, ai été prise dans le ludus d'un homme ayant très probablement eut pitié de moi, suis à présent une gladiatrice... De quoi puis-je bien rêver ? Ma vie est tout simplement parfaite ! Je n'aspire à rien de plus que de collectionner les cicatrices, trancher des animaux ou de rares humaines et entendre mon nom scandé par la foule en délire. Ni plus ni moins. Et sûrement pas la liberté.

→ Ma pire crainte
Bien que je sois l'égale d'une esclave et, de fait, enchaînée à un maître, ma plus grande crainte est de perdre ma liberté pour un homme. Je ne tolérai que les ordres de mon père, jamais ceux de mon mari, bien que je sache feinter la docilité. Appartenir à quelqu'un est une aversion aussi puissante que d'avoir des enfants. Je ne suis pas faite pour la famille, car j'accorde trop d'importance à ma propre vie. Être gladiatrice n'est qu'une part de cauchemar, fort heureusement pour moi... Quant à la mort que tout le monde redoute tant, il n'en est rien pour moi : la mort est, après tout, l'apogée de la liberté.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Avant d'être gladiatrice, j'étais une citoyenne romaine. La mère accordait une grande importance à la religion et aux Dieux ; elle m'a initié aux rites et pratiques. J'ai toujours trouvé cela plus artistique qu'autre chose. Une forme de beauté se dégage des pratiques faites. Cela mis à part et avec le temps, j'ai appris à remettre les Dieux en doute. Tous, à l'exception d'une : Athéna. Elle est l'unique divinité que je vénère et que je prends pour modèle. Déesse vierge de la guerre, de la sagesse et des arts, elle est l'incarnation même de l'indépendance féminine.

Mon histoire

Comme toujours lorsque l'on tente de s'imaginer le passé d'un gladiateur, peu importe son sexe, l'on aime penser qu'il s'agissait d'un étranger ou encore d'un esclave. Non illud, dans mon cas tout du moins ; je suis l'exacte opposée de tout ce que vous pourriez songer. La vérité ? Autrefois, j'étais une romaine et appartenais à la Plèbe Pompéienne.

Mon père, Adrianus Gaius Nero, était un étranger d'origines germaniques. Par diverses circonstances, il se retrouva à Rome, où il décida de servir dans les troupes auxiliaires pendant vingt-cinq ans afin d'obtenir la citoyenneté romaine. Au cours de ces années, il voyagea énormément et découvrit les autres villes de l'Empire, dont Pompéi. Là-bas, il y rencontra une bien jeune femme dont il s'éprit et épousa, une fois sa citoyenneté acquise.

Clélia Gaia Felix, ma mère, n'était pas d'une famille particulièrement aisée, mais avait l'avantage de posséder un terrain vierge entourant notre villa. Enfant, j'aimais m'y défouler en courant à tout va ou en grimpant dans les arbres. Personne ne m'y surveillait ou ne m'imposait une quelconque règle ; je pouvais tout faire comme bon me semblait et me sentais, de fait, parfaitement libre... Bien qu'en me retrouvant, ma mère soupirait de mon état crasseux, expliquant qu'il n'était pas digne d'une romaine. Fort heureusement pour moi, j'avais l'excuse de mon jeune âge.

Comme tous citoyens respectés de Pompéi, je reçus assez tôt une certaine éducation. Cela commença avec un tuteur qui m'instruisit les lettres, ma mère qui m'enseigna le filage de la laine, et Lepida, une esclave, qui m'initia à la danse. C'était une prêtresse égyptienne qui semblait être animée par la pureté et la grâce, comme si, dès qu'elle se mouvait, les esprits la mystifiaient. Ainsi fascinée par son talent, j'appris à ses côtés la volupté et finesse du mouvement, de même que l'agilité du pas au point de pouvoir surprendre qui que cela était par mes arrivées furtives.

En grandissant, mon emploi du temps se remplit par de nouvelles heures éducatives consacrées à la cuisine, aux arts ménagers, et surtout à devenir une future épouse et mère. Cette perspective ne m'enchantait guère, peu importait les années. Je n'arrivais tout simplement pas à me percevoir épouse aimante et mère respectable de son foyer. Malgré mon éducation, mon caractère bien trempé doublé de ma franchise - souvent insolente - me rattrapaient souvent : je peinais à ne pas afficher mon mépris quant à ma situation et ce qui m'attendait. Mon père, conscient de cette aversion, me permit à l'âge de douze ans un écart secret et peu ordinaire - pour ne pas dire hors du commun. En effet, il m'enseigna les bases du combat, prétextant qu'une femme devait savoir se défendre en cas de danger. Il ne m'apprit pas à manier l'épée, mais plutôt à repousser les agresseurs et les mettre hors d'état de nuire. Ces cours improvisés me passionnèrent et m'amusèrent même, au point que je devins plus docile ; mon agressivité, dès que nous abordions mon futur, s'apaisa.

A quinze ans, ma mère contracta une grave maladie et pressa mon mariage. Comme par défaut, sans une once d'amour ou d'affection, j'épousai Quintus Decius Mus, un médecin de vingt ans mon ainé. Mes parents se réjouirent de notre union, tandis que je maudissais le destin à raison. En effet, je n'avais guère souhaité me marier et, en supplément, mon mari me violenta par méprise : il s'imagina ne pas avoir été mon premier homme, car je n'avais pas saigné à notre premier ébat charnel. Notre union démarra mal, mais je l'encaissai. Je mimai un mariage heureux, au point d'ouvrir mon commerce d'herboriste dans le cabinet de Quintus, comme en harmonie avec ce dernier.

Quelques jours après mon mariage, ma mère défaillit et, trois années plus tard, ce fut au tour de mon père - il s'était retrouvé mêler à une bagarre de rue et avait été poignardé. Malgré ma force de caractère, j'eus du mal à le supporter et décidai de me changer les idées, le soir, dans ces quartiers peu fréquentables de la ville où je bus à m'en brouiller l'esprit. J'y rencontrai des hommes, tous plus vulgaires les uns que les autres, avec lesquels je me laissai aller, sans jamais en arriver à l'adultère ; même sans amour, je restais une femme mariée et fidèle. Me défaire de ces hommes imbibés d'alcool n'était jamais simple mais, avec le temps - et l'enseignement de mon père -, je gagnai en férocité. Mieux encore, je devins plus rusée en chapardant les bourses de quelques imprudents que j'occupais de mes charmes. Je n'étais pas dans le manque financier, mais cela m'offrait de nouveaux verres.

Jamais, pendant toutes ces années, personne ne me reconnut au grand jour, sous mon visage de bonne épouse romaine. Mon mari ne se douta jamais de rien, tout comme je ne me doutai pas de ses tromperies multiples. Le soir, il avait l'habitude de partir pour affaire. Cela m'arrangeait toujours pour mes escapades mais, un soir, alors que j'avais 24 ans, je découvris sa supercherie : ses affaires répétées étaient chez les prostituées, avec cette rouquine qu'il tenait de ses mains et regardait amoureusement avant de l'embrasser. A la maison, je lui en parlai. Il nia premièrement, puis avoua avoir une amante depuis des années. Ma fierté en prit un coup, moi qui avais été fidèle tout ce temps pour un homme irrespectueux que je n'aimais en rien. J'étais en colère, mais je ne fis pas plus de commentaire. Le lendemain, je l'empoisonnai en lui proposant un verre avant qu'il ne parte pour ses « affaires ». Cela fait, j'enroulai la dépouille dans des draps de lin et optai pour la déplacer plus tard dans la nuit. Je filai donc comme si de rien n'était à mes propres activités pour, plus tard, revenir et trainer tant bien que mal le cadavre jusqu'aux égouts pour l'y abandonner.

Dès lors, je me crus enfin libre, enfin débarrassée de mes contraintes de femme. Mais cette réjouissance fut de courte durée, car le destin, ou plutôt l'amante de Quintus, s'en mêla. Citoyenne romaine respectable, l'amante se déguisait en prostituée pour sécuriser ses adultères, sans que personne ne le sache. Inquiète du retard de mon époux, elle était allée à sa rencontre et avait découvert sa dépouille. J'avouai les faits, comme quoi Quintus m'avait trompé avec cette femme, mais l'accusation ne passa pas. L'amante prétextait que, le soir-même, elle devait le rencontrer pour affaire commerciale ; à l'inverse du mien, cet argument passa sans remise en doute. Les origines étrangères dont j'avais hérité furent, de plus, perçues comme une tare explicative de mon acte. Le verdict tomba rapidement : j'étais coupable du meurtre volontaire et infondé de mon mari qui, de plus, exerçait un métier d'importante au sein de la société. De fait, je devais recevoir la peine capitale - ce devait être une peine douloureuse, sans grâce ni scrupule, comme mon acte : la mise à mort dans l'arène. A leurs yeux, je n'étais qu'une sauvage qui méritait de mourir face à des bêtes féroces.

Le jour J, enchaînée dans ma cellule, j'entendais les hurlements de la foule en délire. L'arène tremblait sous leurs coups de pied. L'on me sortit brutalement de ma prison et me dirigea de couloirs en couloirs jusqu'à un grillage. La puanteur des cadavres déchiquetés à mes côtés me donnait presque la nausée. La grille s'ouvrit et l'on me poussa dans l'arène en me jetant une épée au sol comme seule arme. Je n'avais aucune protection ; simplement des haillons découvrant plus que ne couvrant mon corps. Le grillage se referma, la foule criait et, à travers elle, j'entendais le rugissement de la bête que j'allais affronter. Un autre grillage se souleva et, furieux, un lion s'élança dans l'arène. Grand et puissant, il galopa quelques foulées avant de ralentir et m'observer. Il tourna prudemment autour de moi, tandis que j'imitai sa trajectoire en sens inverse. Menaçant, il rugit ; c'était une technique d'intimidation que je repris en vociférant des bruits quelconques. Probablement outré, il fonça droit sur moi dans le but de me broyer les côtes d'un coup de patte. A temps, je m'élançai sur le côté, mangeai le sable en effectuant une roulade et manquai de justesse un nouveau coup. L'animal était près de moi, me harcelant d'attaques. J'évitais les coups de pattes, mais me prenais nombres de griffures. Mon agilité me permit d'esquiver le plus gros des assauts, mais le lion restait largement plus fort que moi. Je m'épuisais par ailleurs bien plus vite que lui au point de trébucher régulièrement - mes roulades me sauvaient souvent de justesse. L'animal y allait par période : tantôt il m'acculait, tantôt il m'observait, en retrait. Dans un de ses assauts, il réussit à me bloquer la jambe d'un coup de patte avant d'agripper mon bras de ses crocs. Jhurlai et saignai à flot, le bras droit - dont je me servais - entièrement paralysé. La mâchoire serrée, je serrai le poing et frappai de nombreux coups le visage de l'animal : je n'épargnais aucune zone que je savais sensible. Le lion tenta de m'arracher le bras, je le sentais ; furieuse à l'idée qu'il m'en prive, et me tue de manière aussi peu glorieuse, je n'hésitai plus à me servir de ma lame, bien que les coups soient maladroits. Je faillis le frapper à la poitrine, mais il s'éloigna finalement, la gueule en sang. Mon bras ne ressemblait à rien et était tout bonnement inutilisable. Le combat tirait sur la longueur et, malgré l'effervescence du public, il n'allait pas être éternel. Le lion était encore en pleine forme, contrairement à moi... Or, si je n'avais pas l'avantage sur le physique, je l'avais sur la ruse. Doucement, sans quitter l'animal des yeux - animal qui s'était immobilisé en me fixant, prêt à bondir - je me baissai et attrapai de grosse poignée de sable que je lançai furieusement sur la bête qui bondit sur moi. Agilement, je m'élançai sur le côté et jetai de nouveau du sable par des coups de pied rageur, de sorte que la poussière obstrua toute vision. Cette situation, néanmoins, n'allait pas durer. Sans davantage réfléchir, je m'élançai sur le prédateur, bondissant littéralement de nulle part pour enfin lui planter ma lame entre le cou et l'épaule. La bête tenta encore de m'attaquer, mais je m'éloignai prestement pour éviter les pattes. Après quelques secondes, il tomba à terre, agonisant.

Après ce terrible combat, j'étais à bout de souffle, entièrement blessée, proche de l'évanouissement en raison de mon bras, mais toujours vivante. La foule clama que l'on me maintienne en vie. C'était inévitable, mais que pouvait-on bien faire de moi ? Je n'étais rien de plus qu'une bête sauvage, une moins que rien, l'égale d'une esclave. Une âme charitable nous vint toutefois en aide : Sextus Naevius Versutius. Lorsque je commerçais encore, c'était un habitué qui affectionnait mes senteurs pour le bain.

En se levant, il demanda à la foule de se calmer et prit la parole. Il connaissait mon prénom, mais décida de m'appeler Leaena, en hommage à ma prestation récente, et déclara qu'il allait me prendre dans son ludus pour faire de moi une gladiatrice. Je ne savais si la perspective de m'avoir auprès de lui était une question d'intérêt ou bien de pitié, le fait étant qu'il en surprit plus d'un, moi la première, mais régla bien rapidement le problème que je représentais.

fiche (c) Semper Eadem


Dernière édition par Leaena le Lun 18 Mar - 18:22, édité 2 fois
Lun 18 Mar - 2:29
Re: Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




avatar
Invité
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

Bienvenue!

Quel personnage! Please J'espère que tu te plairas parmi nous!
Lun 18 Mar - 11:30
Re: Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




avatar
Invité
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

Bienvenue *-*
une gladiatrice chez Naevius Please on va bien s'entendre toi et moi Diable
Lun 18 Mar - 12:07
Re: Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




avatar
Invité
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

Welcome à Pompei ! Content

J'ai lu ta présentation d'une traite et j'ai adorée **

J'espère que tu te plairas longtemps parmi les fous ! ^^
Lun 18 Mar - 12:57
Re: Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




avatar
Invité
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

Wow super ton histoire Leaena !

Amuse toi bien parmi nous et au plaisir de faire ta connaissance.
Lun 18 Mar - 15:30
Re: Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




avatar
Invité
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

Han la la ! Mais quel accueil ! Merci beaucoup, je suis ravie d'être la bienvenue parmi vous et je sens que je vais rapidement m'y plaire (si ce n'est déjà le cas ahah~)

Ouf, vous me soulagez, car je craignais que ma fiche ne plaise pas *gros poids ôté*. J'espère que les admins seront aussi enthousiastes ! =D
Lun 18 Mar - 15:33
Re: Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




avatar
Invité
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

Je suis convaincue que tu vas te plaire parmi nous ... Laughing
Lun 18 Mar - 16:17
Re: Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




avatar
Invité
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

Bienvenue parmi nous avec la sublime Ellen I love you
Je n'ai pas lu toute ta fiche, mais des passages que j'ai vu, j'adore ton style! Yaaa

Bon courage pour la validation jaime
Patricien
Lun 18 Mar - 21:22
Re: Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




Nemetoria Loreia Ovidia
₪ Arrivée à Pompéi : 22/08/2012
₪ Ecrits : 1428
₪ Sesterces : 10
₪ Âge : 18 ans.

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: « Chacun de nous porte en lui le ciel et l'enfer. »
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mariée à Cnaeus Loreius Tacitus.
Nemetoria Loreia Ovidia
http://derouleurdepensees.tumblr.com/
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

Wow. J'adore ton histoire, ton personnage, ton style ! Leaena est très intéressante. En plus, je ne connaissais pas l'avatar, je suis charmée ! Du coup j'ai le plaisir de t'annoncer que tu es dès à présent validée !

Au plaisir de te croiser dans le flood ou en rp ! Coeur
Lun 18 Mar - 21:42
Re: Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




avatar
Invité
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

Je suis ravie que mon histoire et tout ce qui va avec plaisent autant, sincèrement ! Ça me fait très plaisir !

Merci pour la validation Coeur
Ven 22 Mar - 19:12
Re: Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




avatar
Invité
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

Je te souhaite la bienvenue à Pompéi avec toutes mes excuses pour le retard ^^
Ven 22 Mar - 21:13
Re: Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




avatar
Invité
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

Je te remercie ! Et ce n'est pas un souci pour le retard ; après tout, comme le dit le dicton : "mieux vaut tard que jamais" =)
Re: Leaena ₪ The Lioness in the Arena   




Contenu sponsorisé
Leaena  ₪ The Lioness in the Arena Empty

Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Les relations de Leaena ~

Sauter vers: