Ave, étranger! Je suis Atia Pia, fille d' Aulus Atius Pacilus. Né(e) à Rome, il y a 24 ans, je suis d'origine romaine. La déesse Fortune a fait de moi une patricienne et j'ai pour famille mon père, précédemment cité ainsi que mes sœurs et mes neveux demeurés à Rome, mes cousins Marcus Atius Valerius & Tiberius Atius Octavius, et mon époux, Lucius Aquillius Maximus.
Plus de 2000 ans plus tard, c'est People Are Strange qui m'incarne. Qui es-tu? On me connaît ça risque de mettre un peu de temps à se construire mais vous pouvez compter sur moi pour sacrifier toutes les chèvres de Pompéi Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [] que mon personnage soit adapté en scenario / [x] que le staff le fasse disparaître de Pompéi par mort ou départ (cochez selon vos préférences), et ce pour permettre à mes liens importants de ne pas être gênés. Mais ça n'arrivera pas.
(c) pancakes
Pompéi & moi
→ Ce que je pense de Pompéi Cette cité a des allures de malédiction. Comme de liberté.
En effet, Atia y a été envoyée par son père contre son gré. Mariage forcé. La célébration d'une telle union n'a jamais fait partie de ses préoccupations et cette décision du patriarche la contrarie fortement. Elle s'y est pourtant conformée, parce qu'elle reste docile à l'homme qui l'a élevée. Néanmoins, elle préfère Pompéi au faste de Rome et à son atmosphère étouffante. Il lui semble qu'ici, les rumeurs et complots vont moins vite, moins loin... Si elle savait. Bien qu'elle se moque éperdument de sa réputation, elle peut tenter de se reconstruire et n'a de comptes à rendre à personne. Les tensions avec son paternel ne la feront plus souffrir. Ses pratiques religieuses intenses ne trouveront plus à être modérées par ses proches incompréhensifs et inquiets. Puis il y a l'Art. Sans doute le regrette-t-elle, car il est moins présent à Pompéi. Rome attire tous les artistes...
→ Ce que je pense de la politique Elle n'a pour ainsi dire, rien à en penser. Elle était vive et curieuse enfant, elle aurait pu s'y intéresser et comprendre beaucoup de choses... Encore aujourd'hui, elle est loin d'être sotte à ce sujet, mais tous ces tirages de ficelles auxquels se livrent son père et les hommes en général la laissent de glace. Leurs manigances l'ennuient éperdument la plupart du temps et elle n'y accorde qu'une attention modérée, pourvu que cela serve ses propres intérêts...
→ Ce que je pense des jeux Le sang versé est une offrande aux Dieux. Enfant, Atia se voyait déjà troublée par les combats de gladiateurs. En grandissant, elle a gardé pour eux une certaine admiration ainsi qu'un profond respect. Et ce, bien qu'elle ne soit pas la première à courir aux arènes pour admirer leurs prouesses. On ne leur a pas laissé le choix mais ils se battent pour leur vie. Quelle meilleure façon d'honorer les Dieux ?
→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions Pour sa jumelle défunte, elle a développé une obsession qui l'empêche de trop se projeter dans l'avenir et de se consacrer pleinement à la vie qu'elle devrait mener. Elle ne trouvera la paix que lorsqu'elle aura confirmé ses certitudes concernant la mort d'Atia Major et quand elle sera parvenue à démasquer le coupable. Il est difficile autrement de lui trouver une quelconque aspiration, une quelconque ambition. Il y a longtemps qu'elle se contente de faire ce qu'on lui dit et qu'elle semble avoir perdu goût à la vie. Vous l'en trouveriez ennuyeuse, assurément.
→ Ma pire crainte En a-t-elle seulement ? Non pas qu'elle se sente au dessus de tout, mais depuis la mort de sa sœur, beaucoup de choses ont revêtu pour elle une importance moindre. Atia Major est toujours là, dans ses visions, dans ses cauchemars. Pia redoute parfois ses violentes apparitions, mais la plupart du temps, elle cherche à les provoquer dans l'espoir de la faire parler. Elle reste convaincue qu'elle essaie de communiquer, et ce malgré la mauvaise réputation des Mânes...
→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi. Enfant, elle regardait son père s'adonner au culte domestique avec grand intérêt. Mais c'est sa génitrice, particulièrement pieuse, qui lui a donné le goût des pratiques et transmis cette fascination réelle pour la religion. Chaque Divinité revêt son important aux yeux d'Atia et elle n'en oublie pas. Elle dépense d'ailleurs régulièrement de petites fortunes pour les honorer comme il se doit et se trouve globalement en très bons termes avec eux... La vérité, c'est qu'elle ne craint pas de les offenser. Elle se sait suffisamment active et sincère pour s'attirer leurs bonnes grâces. Ses pratiques rituelles sont un moyen intemporel de rassurer la petite fille qui a trop tôt perdu sa mère, et très mal vécu le décès de sa sœur.
Néanmoins, cet événement dernier a eu pour conséquence d'orienter les cultes rendus par Atia vers une déesse en particulier : Trivia, dérivée d'Hécate en Grèce. Divinité complexe, lunaire et souterraine, associée à la nuit, aux défunts, au monde des ombres et à l'occulte. Une soudaine admiration que Pia lui voue discrètement, aidée dans ses démarches par sa plus proche esclave – Trivia étant directement liée à la mort ainsi qu'à la sorcellerie, et donc peu recommandée parmi les hommages rituels rendus par une noble patricienne...
Mon histoire
Villa des Aquillii, au cœur de Rome, dernier jour des Kalendes de Février.
« Jupiter lui-même approuve cette union, mon ami. C'est une magnifique journée ». La remarque est adressée à voix basse par un homme âgé à un autre, dont la mine impassible laisse présager une opinion moins tranchée au sujet de cette prétendue faveur des Dieux. Aulus Atius Pacilus n'a plus à convaincre son vieil ami, mais toujours, il éprouve le besoin de le rassurer.
Le Soleil en effet, baigne l'Atrium de sa lumière divine, mais ne gonfle pas les cœurs de sa douce chaleur. Deux familles sont ainsi rassemblées en petit comité autour du Grand Prêtre et du Flamen Dialis. La voix de l'Homme de Foi, monotone et solennelle, est seule à percer le silence létal, soporifique et imposé. Tandis qu'il énonce ses formules consacrées, les futurs époux, sur la peau de l'agneau sacrifié, partagent le Gâteau d’Épeautre. Le sang de la bête coule encore sur l'autel improvisé.
« Atia Aquillia Cara ? » Si le futur épousé a fait de même avant elle, elle était trop perdue dans les méandres de son esprit tourmenté pour le remarquer. Toutefois, revenue à la cérémonie, elle essuie la farine résiduelle, saisit la main tendue, et enfin, se lève. Un regard pour ses sœurs, nubiles, demeurées en arrière, mais pas le moindre pour ce père autrefois tant aimé.
Aussi pâle que les pans légers de sa robe, le fiancé découvre son visage fermé en relevant le voile. Alors doucement, il s'écarte comme commandé, et toute la tension repose à présent sur les épaules de la future mariée. Sa gorge se serre, la ceinture ocrée qui marque sa taille l'empêche de respirer. Pas un instant elle n'a sous-estimé l'ampleur du rituel qu'elle s'apprête à achever.
« Ubi tu Gaius, ego Gaia »
Le ton est amer, mais le sort, scellé.
Villa Secondaire des Atii, V jours plus tôt.
Ses courbes parfaites dansent à la lumière des torches. Un souvenir. Arrimé à ses lèvres, un sourire mutin, profondément provocateur. Des postures aguicheuses, son insolente confiance en elle... et le regard envieux des hommes. Comme autrefois, elle s’emmêle avec grâce dans les pans de sa robe.
« Domina ? »
Son visage est creusé et ses joues ont perdu de leur couleur. Sa bouche, en un rictus fendu, murmure son propre nom à répétition. Drapée dans sa pâleur cadavérique, elle exulte en prévision de sa future vengeance, et vomit sa malveillance spectrale. Un mauvais rêve.
« Vous l'avez vue, encore. » Point de question cette fois. Une affirmation, pour ce qu'elle a déjà constaté maintes et maintes fois. Comme on essuie son front nappé de sueur, la patricienne ouvre enfin ses paupières battantes. Doucement, la vision rassurante qui s'impose à elle calme l’affolement de son cœur et maîtrise sa respiration. A la lueur des flammes vacillantes, Calliope, la fidèle servante.
« Ai-je dormi longtemps ? » La voix est lasse, éraillée. « Jusqu'au matin Domina ». Elle se souvient de sa veillée nocturne et balaye la chambre du regard avec angoisse. Pas un grain de poussière, ni le moindre objet hors de sa place habituelle. « Tu as tout rangé ? Mis mes affaires en lieu sûr ? » « Comme toujours, Domina. » Bien sûr. A-t-on jamais connu esclave plus pertinente et dévouée ?
« Un messager de votre père est arrivé à l'aube. Nous l'avons installé en cuisine et invité à déjeuner ». Sortie d'un sommeil agité, la maîtresse pose un pied à terre et laisse la suivante s'adonner à sa toilette rituelle. Elle hausse un sourcil dubitatif devant l'annonce et la missive que l'esclave lui présente. « Il a précisé que c'était urgent. Je venais pour vous éveiller quand je vous ai trouvée en proie à cet éternel cauchemar... » « Donne la moi ».
« Le Sénateur Aulus Atius à sa fille Atia, Ave. Mon enfant, je suis trop vieux désormais pour faire le voyage jusqu'à notre villa de campagne en si peu de temps. C'est pourquoi je t'envoie Gaius, avec la certitude qu'il t'escortera jusqu'à Rome au lendemain même de la réception de mon message. Je dois en effet te faire part de mes projets pour toi de manière - je le déplore - affreusement précipitée. Mes nombreuses discussions avec le Sénateur Aquillius ont, enfin, abouti à un accord commun. Son fils, le Tribun Lucius Maximus est à Rome jusqu'aux Ides de Mars, et nous avons convenu que tu l'épouserais ici-même, avant de repartir à ses côtés à Pompéi. Je te fournirai de plus amples explications dès lors que tu seras près de moi. Comprends-bien qu'il te faut rassembler la totalité de tes affaires, car il est improbable que tu retournes à la Villa avant longtemps. Je connais ton cœur, ma fille, et je sais que tu ne contesteras pas ma décision. Aussi, je te prie de me pardonner, de n'avoir su t'y préparer et te laisser davantage de temps. Mais la capitale bruisse de rumeurs sur la politique d'Auguste et de révoltes à venir. J'ai dû tirer avantage de la situation pour garantir ta sécurité ainsi que ton avenir. Je connais Maximus depuis ses premiers pas, et c'est un homme bon, digne et dévoué, dont tu ne pourras me reprocher le choix. Ne tarde pas à collecter tes effets, et ne t'encombre pas de babioles inutiles, je t'en conjure. Prépare Calliope à te suivre jusqu'en Campanie, car je serais toujours plus tranquille de la savoir à tes côtés. Que les Dieux t'accompagnent, comme toujours »
Sans appel. Les mains de la patricienne relâchent leur pression et le parchemin demeure dans une, seulement. Mâchoire serrée et bras ballants, elle contemple d'un œil vitreux les prunelles sombres de sa suivante. « Tout va bien, Domina ? » Nul son de sa gorge piquante ne semble vouloir s'échapper.
« Tu connais Pompéi, n'est-ce pas ? » Les pans de sa robe retombent négligemment sur ses pieds nus. La tête haute, elle feint l'indifférence pour mieux se rassurer. « J'y suis née, Domina. Mais je n'ai que peu de souvenirs de cette vie là. » « Bien. Mon père me marie dans cinq jours à Rome ». Surprise. « Rassemble tes affaires et aide-moi à faire de même. Nous quittons la villa demain aux premières lueurs du jour. Ensuite... le voyage sera bien plus long jusqu'à Pompéi. Tu viens avec moi, bien sûr. Père n'aurait pas songé à nous séparer. »
Un fin sourire s'esquisse sur le visage de l'esclave aux traits désolés. Du revers de la main, elle frôle les doigts de sa maîtresse pour lui signifier sa compassion, et se détourne dans l'intention de changer l'eau souillée.
« Calliope ? » « Domina ? »
Silence, mortel.
« Assure-toi de cacher ce que tu sais dans la besace d'une esclave... n'importe laquelle. »
Villa des Atii, au coeur de Rome, III jours plus tard.
Ses doigts se crispent autour du bijou qu'elle saisit avec une profonde amertume. Elle l'a déjà vu par le passé ; il souffre du poids des années. « Il appartenait à ta mère. Elle le portait le jour de notre union. » L’œil distant, rivé sur les statuettes de bronze ancrées dans la niche du laraire, le Sénateur replie son bras, renonçant à toucher sa fille. Il sait qu'elle lui en veut, pour bien des choses, et la tension entre eux semble loin de s'évaporer. « Ta sœur en a orné son poignet lors de son mariage. Je l'ai retrouvé dans ses affaires après sa mort. J'ai pensé que peut-être, tu souhaiterais perpétrer la tradition... » Un léger sourire défend sa bienveillance ; c'est un honnête homme, effacé par la vie. Soucieux du bien être de tous et surtout de ses proches. Trop peu calculateur sans doute pour un féru de politique tel que lui. Ce qui lui a valu son cognomen, le Pacifiste, et de nombreuses accusations sur ses prétendues allégeances au sein même du Sénat. Aujourd'hui pourtant, il a su convaincre Aquillius Victor de sa fidélité au tyran César, et glisser habilement la main de sa fille aînée dans celle d'un mari prometteur. Si l'échec du mariage de sa première engeance lui a longtemps fait peur, il peut enfin offrir la deuxième sans craindre d'écourter ses nuits.
« Il sera là bientôt. Tu l'as déjà rencontré à plusieurs reprises, je crois. Bien que ta sœur ait davantage attiré son attention, si je me souviens bien » Il se rappelle de cette époque avec nostalgie, riant presque de ce qu'il aurait autrefois puni. « Le même visage, mais tu ne lui ressembles en rien... Elle tenait cette assurance de ta mère. Alors que tu es plus discrète... comme ton père. » Il marque une pause, espérant peut-être un regard, un mot. Mais les lèvres de la belle restent closes et la conclusion est amère. « Quelle ironie que nous soyons si proches par le caractère mais ne sachions pas nous comprendre... »
Au fond du curriculum, des bruits de pas. Légers, que le vieil homme reconnaîtrait entre mille, malgré les déficiences dues à son âge avancé. « Sura ? » « Lucius Aquillius Maximus est arrivé, Dominus. Il vous attend dans le Vestibulum » « Bien. Fais le entrer plus avant » Il se tourne à nouveau vers sa fille « Je vais me retirer pour que vous puissiez faire plus ample connaissance. Je vous retrouverai après » L'esclave disparaît.
« Père ? » Surpris, le Sénateur écoute avec attention, son regard profond éclairé d'une sincère interrogation. « Vous savez ce que je souhaite. Pourquoi vous refuser obstinément à me l'accorder ? » Ce moment redouté qui approche, lui donne sans doute le courage et la force de se révéler. « La Mort d'Atia n'avait rien d'un accident. Je ne sais pourquoi vous craignez tant la vérité, mais tant que vous renoncerez à me l'expliquer, je ne saurais comprendre votre négligence et trouver le repos. J'ai bien saisi que vous ne parlerez jamais. Je respecte votre décision, et j'épouserai cet homme... Vous m'envoyez loin de Rome pour que je ne puisse plus espérer ne serait-ce qu'entrevoir la vérité... »
La mâchoire du patricien se crispe, et son aura bienveillante fait place à un masque impassible et sévère.
« Sachez qu'elle me hante, nuit et jour ».
Mais le refus de s'exprimer à ce sujet demeure et le pater familias se renfrogne. Si la désolation se cache derrière sa soudaine acrimonie, il se hait de ne pouvoir satisfaire la curiosité maladive de sa progéniture et craint de ne pouvoir emporter ce secret jusqu'aux Enfers. Qu'importe, elle ne saura jamais. Cela compromettrait beaucoup trop de choses.
« A ce propos, Atia ». Le ton est sans appel, le débit précipité. Le Sénateur jette un regard en arrière à la dérobée et distingue la silhouette imposante du Tribun qui s'avance d'un pas nonchalant. « Je te prierai de bien vouloir oublier cette histoire et de la laisser derrière toi. Ta sœur est en paix. Aucun Dieu ne te la rendra, les parques ont scellé son Destin. Cesse donc cette quête infernale qui n'a pas lieu d'être. Ne t'incrimine pas inutilement. Ne me fais pas honte... Ne salis pas l'honneur de ton époux avec des pratiques absurdes... »
« Sénateur Aulus Atius, Ave. Atia... » Assurément, le geste est là mais pas l'humeur. « Maximus ! Nous étions impatients » Le soldat est néanmoins accueilli par le Pater Familias avec entrain et sur un ton des plus affables ; « Je t'en prie, approche. Nous discutions posément en t'attendant... ».
fiche (c) Semper Eadem
Dernière édition par Atia Aquillia Pia le Lun 31 Mar - 11:09, édité 8 fois
Ven 28 Mar - 18:37
Re: Gods, Blood and Mystery
₪ Arrivée à Pompéi : 19/06/2013 ₪ Ecrits : 1081 ₪ Sesterces : 163 ₪ Âge : 41 ans ₪ Fonction & Métier : Legat / Edile de Pompéi
Cogito ergo sum ₪ ₪ Citation: No matter how right a man may be, they always find the fallen one, guilty. ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Octavia, toujours.
Caius Licinius Murena
La voilà!
Tiens c'est marrant, je l'imaginais pas sous les traits de Nina cette petiote! Connaissant ta plume, je suis sûre que tu parviendras à me la faire aimer!
J'ai hâte de lire tout ça! et si jamais on a une pénurie de biquettes à Pompéi, on saura vers qui se tourner!
PS: Et alors, t'as oublié Titi dans la family... Ca tient toujours? Ou pas... C'est comme tu veux bien sûr! ^^
Ven 28 Mar - 18:43
Re: Gods, Blood and Mystery
Invité
Un dc et je sais pas qui sait ..mystère ... cherchons
Ven 28 Mar - 18:46
Re: Gods, Blood and Mystery
₪ Arrivée à Pompéi : 17/11/2013 ₪ Ecrits : 681 ₪ Sesterces : 73 ₪ Âge : 26 ans ₪ Fonction & Métier : Auteur anonyme de pièce de théâtre - membre d’un cercle littéraire secret
Cogito ergo sum ₪ ₪ Citation: C’est si rare maintenant quand une femme a du tempérament, que quand une femme en a, on dit que c’est de l’hystérie. ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Fiancée
Pompeia Praedita
HAAAAAAAAAAAAAAAAN !
Elle est là o/ J'ai hâte de lire ta fichette et j'ai surtout hâte de vivre de palpitantes aventures avec ce nouveau perso .
Marcus : Je connais nah !
Ven 28 Mar - 18:57
Re: Gods, Blood and Mystery
Invité
Caius @ je me doutais que Nina allait surprendre. Je l'ai choisie pour ça d'ailleurs, en plus des ressources inépuisables. Et puis elle a fini par complètement s'imposer dans le personnage oui, je vais te la faire aimer et j'accepte aussi les bœufs si y a pénurie de chèvres. J'avais zappé pour Titi mais il est rajouté
Marcus @ pourtant c'est le secret le plus mal gardé de toute la cité !
Prae @ copiiiiiiiiiiiiiiiine j'ai hâte aussi, t'imagine pas ! ->
Merci à touuus ^^
Ven 28 Mar - 19:03
Re: Gods, Blood and Mystery
Invité
Désoler, je suis pas trop présente en ce moment donc je suis pas mal déconnecté des rumeurs. Je tenais surtout à le savoir pour mettre a jour la liste des DC du forum.
Ven 28 Mar - 19:05
Re: Gods, Blood and Mystery
₪ Arrivée à Pompéi : 17/11/2013 ₪ Ecrits : 681 ₪ Sesterces : 73 ₪ Âge : 26 ans ₪ Fonction & Métier : Auteur anonyme de pièce de théâtre - membre d’un cercle littéraire secret
Cogito ergo sum ₪ ₪ Citation: C’est si rare maintenant quand une femme a du tempérament, que quand une femme en a, on dit que c’est de l’hystérie. ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Fiancée
Pompeia Praedita
Dernière édition par Pompeia Praedita le Ven 28 Mar - 19:10, édité 1 fois
Ven 28 Mar - 19:08
Re: Gods, Blood and Mystery
Invité
Donc un TC !!!! Wow super
Ven 28 Mar - 19:09
Re: Gods, Blood and Mystery
Invité
Gods, Blood and Mystery
Ven 28 Mar - 19:44
Re: Gods, Blood and Mystery
₪ Arrivée à Pompéi : 18/10/2013 ₪ Ecrits : 3207 ₪ Sesterces : 407 ₪ Âge : 21 ans ₪ Fonction & Métier : Au service de Kaeso Ausonius Faustus. Voleur à ses heures perdues, vacant entre une auberge et un lupanar.
Cogito ergo sum ₪ ₪ Citation: ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Plusieurs femmes l'habitent, mais une seule a su le kidnapper.
Ausonius Niger
Rerebienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue Bon courage pour la construction de ta fiche
Cogito ergo sum ₪ ₪ Citation: . ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ?
Licinia Domitia
rebienvenue ma petite ily
Ven 28 Mar - 21:59
Re: Gods, Blood and Mystery
Invité
Oh c'était donc elle ! Re bienvenuuuuuue
Ven 28 Mar - 22:42
Re: Gods, Blood and Mystery
Invité
MA FEEEEEEEEEEEEEEMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMEEEEEEEEEEEEEEE !!!!!
J'ai jamais été aussi heureux de savoir qu'on va venir me pourrir la vie
Sam 29 Mar - 10:33
Re: Gods, Blood and Mystery
Invité
Re-bienvenue alors ^^
Sam 29 Mar - 11:58
Re: Gods, Blood and Mystery
₪ Arrivée à Pompéi : 26/05/2013 ₪ Ecrits : 2157 ₪ Sesterces : 60 ₪ Âge : 41 ans ₪ Fonction & Métier : Reine des Vipères et femme d'affaires
Cogito ergo sum ₪ ₪ Citation: Chaque miette de vie doit servir à conquérir la dignité. ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Veuve et amante de Publicola
Helvia Claudia Scaevola
Tiens tiens tiens.... On récidive ?
Re-bienvenue très chère !
Sam 29 Mar - 13:40
Re: Gods, Blood and Mystery
Invité
merci
Lulu : t'as signé ton arrêt de mort.
Sam 29 Mar - 18:25
Re: Gods, Blood and Mystery
₪ Arrivée à Pompéi : 11/05/2013 ₪ Ecrits : 2404 ₪ Sesterces : 65 ₪ Âge : 42 ans ₪ Fonction & Métier : Duumvir
Cogito ergo sum ₪ ₪ Citation: Verba volant, scripta manent. ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Époux de la louve et amant de la vipère.
Lucius Pompeius Publicola
Je suis tout autant larguée que Marcus mais je ne te souhaite pas moins la bienvenue pour ton TC Hâte de lire tout ça attentivement
Dim 30 Mar - 16:13
Re: Gods, Blood and Mystery
₪ Arrivée à Pompéi : 29/03/2013 ₪ Ecrits : 2744 ₪ Sesterces : 136 ₪ Âge : 17 ans ₪ Fonction & Métier : Vestale
Cogito ergo sum ₪ ₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui. ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ?
Claudia Cassia
Re-re-bienvue (Rrrrrrr...) copiiiiiiiiiiine!
Hâte de pouvoir lire ta fiche terminée
Lun 31 Mar - 17:55
Re: Gods, Blood and Mystery
₪ Arrivée à Pompéi : 29/03/2013 ₪ Ecrits : 2744 ₪ Sesterces : 136 ₪ Âge : 17 ans ₪ Fonction & Métier : Vestale
Cogito ergo sum ₪ ₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui. ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ?
Claudia Cassia
Ouiiiiiiiii!
J'ai bien aimé ta façon de sélectionner quelques passages de ton histoire ça laisse entrevoir des images, des flashbacks... Et même si on aimerait en apprendre un peu plus sur les sentiments et le caractère d'Atia on ne peut que savourer le mystère lunaire qui plane autour de la jeune femme! Je te pré-valide en ayant le ferme pressentiment que tu seras une des seules joueuse capable de nous faire aimer Nina