Il y a toujours un prédateur, le sommet de la chaine ne peut pas etre atteint.

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Gaius Larinius Aquila incarné(e) par Todd Lasance Ave, étranger! Je suis Gaius Larinius Aquila, fils/fille de Larinius. Né(e) à Rome, il y a 31 ans ans, je suis d'origine romaine. La déesse Fortune a fait de moi une(e) patricien et j'ai pour famille/maître(sse) vaut mieux être seul que mal accompagné        Plus de 2000 ans plus tard, c'est Tony qui m'incarne. Qui es-tu? Pas besoin de faire un long discours...je suis le DC de Lisiscus. Bien entendu, j'aurai beaucoup plus de possibilités avec ce perso (Je n'oublie pas Lisiscus ne vous en faite pas), mais vu l'inspiration qui m'est venu, je peux vous dire que ça va chauffer les ballons         Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [] que mon personnage soit adapté en scenario / [x] que le staff le fasse disparaître de Pompéi par mort ou départ, et ce pour permettre à mes liens importants de ne pas être gênés. Mais ça n'arrivera pas.

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   → Ce que je pense de Pompéi

   C'est une cité qui a de l'avenir, encore faudrait-il que la sévérité soit plus mise en avant. J'ai comme l'impression que beaucoup de choses se passent à travers les mailles du filet. Je n'ai pas encore réunit tout les morceaux, mais je doute que ceux qui se dise intègre le sont vraiment. Il y a des traitres, des menteurs, des fourbes, un peu comme partout, mais Pompéi en regorge tellement que je sens que je vais m'amuser. Un bon terrain pour mettre en avant la mise en marche de mon ascension.

   → Ce que je pense de la politique

  La politique, voilà un mot qui me fait penser à fourberie. Tout les coups sont permis sur ce terrain là, donc je ne peux qu'aimer. Je ne suis pas un grand connaisseur dans ce domaine, préférant amplement les récits de guerre. Mais j'ai assez de base pour pouvoir les mélanger à mon coté manipulateur pour pouvoir tourner certaines choses à mon avantage. Je serais un parfait candidat j'en suis sur.
   
   → Ce que je pense des jeux

   Distrayant, voilà le mot qui me vient à l'esprit. La foule s'en réjouit d'avance de voir ces esclaves combattre jusqu'à la mort. J'ai envie de dire que ça fera un chien en moins à chaque morts. Mais ça se décuple de jours en jours. Je ne vais pas m'en plaindre parce que j'aime bien y assister et pouvoir voir la fin de certaines d'entre eux de mes propres yeux.

   → Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions

   On m'a toujours appris que pour atteindre le sommet, il ne faut pas avoir de pitié, ni d'attache, rien de tout ça. Et je crois bien que cette fameuse personne avait raison. Je poursuis mon chemin seul désormais et ma seule ambition et de mettre à genoux tout ceux se désignant comme des indomptables. Il n'y a pas d'indomptable, au sommet de la chaine se trouve celui qui mettra à genoux tout ses semblables et je compte bien devenir ce dernier et instaurer ce que tout le monde craindrait...La peur.

   → Ma pire crainte

   Ma pire crainte serait de devenir un esclave, d’être rabaissé comme ces chiens errants sans honneur. Ce qui n'est pas prêt d'arriver, donc au final je ne crains pas grand chose.

   → Heureusement, les Dieux veillent sur moi.

   Ma famille avait une croyance bien développé, j'ai baignai dedans dés mon plus jeune age. On m'a rabattu les oreilles avec des récits concernant les dieux. Au début, ce n'était que foutaise pour moi. Mais au fur et à mesure, surtout lors de mes combats, j'ai pu constater que les dieux existaient en me sortant vainqueur de ces derniers. S'il y a bien un dieu que je vénère le plus, c'est le dieu de la guerre.

 

Chapitre I: La naissance d'un loup

Je suis né à Rome, d'une famille riche, ne déméritant pas sur la réputation. Mon père était un général de guerre, il était haut placé dans la IVème légion, un centurion Primipile. Je le vénérai plus que tout, pour moi il était équivalent à un dieu et rien ne pouvais l'atteindre. Ma mère quant à elle était une personne influente au sein du commerce des riches romains. Impitoyable sur les affaires, elle était respectée. Nos réunions de familles étaient assez récurrentes et c'était toujours un moment vraiment festif. A chaque fois que je tendais l'oreille vers les adultes, c'était des récits de guerre qui me parvenais. Ça n’arrêtait pas et à la place de me tourner vers des récits de mon age, j'écoutai attentivement, mémorisant déjà ce qu'ils disaient. Tout ce que je voulais c'était de devenir un homme équivalent à mon père, marcher sur ses traces. Ce que je comptai faire quoi qu'il arrive. Par contre, il y avait bien un détail fâcheux dans tout ça...mon frère, mon petit frère. On n'était vraiment différent. Il était facile de faire la comparaison, il était un peu celui qui désobéissait avec une sagesse sans nom, il se prenait pour un sauveur, celui qui mettrait un terme à la tyrannie de notre père et moi j'étais le soldat obéissant et loyal envers notre père. On n'était complètement opposé et ça ne me dérangeait nullement. Au contraire, je préférai ça que de lui ressembler.

Chapitre II: L'ascension

Quand j'ai atteins l'age requis, j'ai commencé directement ma formation militaire pour rentrer dans la IVème légion. Ma mère m'avait même poussé à devenir soldat, elle voulait que je sois le plus grand de tous. L'entrainement que j'ai suivi était intense, vraiment intense. Au départ ce fut difficile, je n'arrivai pas à être à la hauteur de mes espérances ainsi que de ceux de mon père qui me soutenait pourtant et qui me conseillait. Il y avait comme quelque chose qui me ralentissait. Je n'ai pas réussi à découvrir la raison avant de finalement tomber sur une conversation où je n'aurai pas du être. Mon frère, celui que je ne pouvais pas supporter -et autant dire que c'était vraiment réciproque- voulait m'humilier en me droguant pour que je perde mes moyens lors d'un combat, d'où la raison que je ne faisais pas long feu. A partir de ce moment je ne le considérai plus comme un membre de la famille et j'étais prêt à tout pour qu'il meurt...vraiment tout. Je comptai bien renverser la situation à mon avantage. J'ai donc fais attention à ce que je buvais avant chaque entrainement et cette fois je faisais de plus en plus mes preuves pour le plus grand bonheur de mon paternel. Ce qui n'était pas le cas de tout le monde. J'ai croisé mon frère ensuite et il jouait l'ironique, il se foutait de moi. Il osait. J'ai pas perdu une seule minute avant de le menacer en lui faisant bien comprendre que tôt ou tard, il le payerait. Notre mère nous avait séparés et en la regardant dans les yeux, j'ai pu voir qu'elle était de son coté, qu'elle le soutenait prétextant que j'étais plus le même depuis que j'étais rentré dans la légion.

Chapitre III: Complot familial

Je n'avais pas oublié de faire payer mon frère surtout que ma mère était de son coté, ce qui m'avais fait comprendre qu'au final, elle me prenait elle aussi pour un sot depuis le début en jouant un double-jeu. Est-ce que j'étais vraiment à ma place dans cette famille ? Oui, pour mon père seulement. Ma mère était partie en affaire, j'ai été jusqu'à verser du poison dans sa coupe que j'avais pu réquisitionner avant de tuer le fameux marchand pour que personne ne sache d'où ça provenait. J'ai donc empoisonné ma mère et ça, sans aucun remords avant de déposer la fiole vide dans les affaires de mon frère sans qu'il ne le sache. Et comme je ne comptait pas m’arrêter là et que je savais qu'il serait puni. J'étais partis voir mon père, jouant un double-jeu en mentant sur le sujet et en disant donc que j'avais vu Lucius mettre du poison dans le verre de notre mère. Au départ j'étais vu comme un fou par ce dernier, mais je m'en fichai, je savais que ça marcherai. J'ai donc mené mon père jusqu'à la cachette que j'avais fait dans les affaires de Lucius en mettant la fiole vide. Il avait donc eu la preuve de ce que je disais. Le chagrin l'avait emporté alors que moi j'étais enfin libéré de ce poids des épaules. Mon frère fut fouetté avant d’être crucifié. Beaucoup ont assistés à la crucifixion, moi y compris, mais je devais surement être l'un des rares à rester neutre, à ne rien ressentir et c'était tant mieux pour ça. Je venais de faire d'une pierre deux coups, voir trois coups. J'avais mis un terme à l'hypocrisie de ma mère, aux provocations de mon frère et j'avais mon père complètement de mon coté.

Chapitre IV: La guerre triomphale

On n'avait reprit une vie normale. J'étais devenu entre temps un soldat discipliné, loyal et respecté par la légion. Mais un jour, un message était venu aux oreilles de notre légat. Octave demandait la légion pour le soutenir dans la bataille qui approchait. J'avais entendu plusieurs récits sur cet homme et non des moindres, un homme respecté et redouté. Rien de mieux pour faire mes preuves et monter en grade. La bataille avait donc eut lieu, il y avait des morts partout, des membres décapités, un bain de sang complet. Beaucoup de soldat sont mort ce jour là. Et malheureusement mon père y comprit. C'était un drame pour moi, je venais de perdre sur le champ de bataille le seul homme que j'ai toujours respecté et mis sur un piédestal. Il était mort sur le champ de bataille certes, mais ça ne changeait rien au chagrin qui m'avait envahi. J'étais devenu fou de rage, j'étais plus moi-meme. Je n'arrivai pas à me contrôler, ni me reconnaitre. J'étais partit épauler le légat avec succès. On n'avait réussi à terrasser l'ennemi tous ensemble. Et cette victoire je la dédiai à mon défunt père. En rentrant, nous avons organisé les funérailles de ce dernier avec l'accord indiscutable du légat. J'en étais sortit indemne pour ma part mis à part une cicatrice sur le bras, partant de l'épaule jusqu'au coude, rien de bien grave ceci-dit. Mais ce n'était pas tout, cette soirée m'avait permis de commencer mon ascension. Le légat m'avais nommé Centurion Primipile, j'avais pris la place de mon défunt père, un honneur que je n'aurai pas penser possible de suite et pourtant il m'avais fait des éloges devant tout le monde. La légion m'accueillait donc comme le nouveau centurion Primipile de la IVème légion.

Chapitre V: L'ascension

A l'age de 29 ans, j'avais déjà quelques victoires à mon actif, mon nom était sur la bouche de nombreuses personnes à Rome. Certains le murmurait par crainte d'avoir dit un mot désobligeant sans faire exprès. J'étais craint par la plupart et respecté par d'autres. Je n'en demandais pas moins, j'aimai ma condition et en abuser n'était pas quelque chose que j'allais mette de coté. J'en profitai je l'admet. Mais bon, autant agir comme tel. J'étais le portrait craché de mon père et personne ne pouvait le nier. Je passai du bon temps avec des femmes de haut-rang, les manipulant pour certaines et jouant sur la sincérité avec d'autres. Il fallait s'adapter à n'importe quelle situation et c'était ce que je faisais. Le légat connaissait mes ambitions et nous étions devenus vraiment amis, de grands amis, je lui avais donc demandé une faveur: m'envoyer à Pompéi. Les récits concernant cette cité parvenait aux oreilles de ceux qui voulaient l'entendre comme un écho lointain. Il y avait de nombreuses possibilités dans cette cité et je le savais, le légat le savait. Malgré qu'au départ il était réticent de me laisser rejoindre Pompéi, finalement il avait accepté, mais en posant une condition. Le jour où il aurait besoin de moi, je devrais le rejoindre. J'acceptai bien sur sa condition, ce qui était tout à fait normal. Il m'a assigné quelques gardes pour m'accompagner au cas où. Je partais donc vers Pompéi avec un seul but en tête, accroitre mon pouvoir et grimper au sommet de la chaine. C'était peut-être trop demandé, mais le mot "impossible" n'existait pas chez moi.
Une fois arrivé, je m'étais installé là-haut, dans une villa à mon nom. J'avais les gardes à mes cotés, je continuai de m'entrainer bien évidemment pour ne pas perdre la main tout en prenant en compte plusieurs informations concernant la cité et les personnes qu'elle abrite. Rien ne m'échappai, aucun détail, je faisais jouer de mon influence auprès de certaines personnes pour avoir des informations capitales. J'ai du passé par le châtiment et la torture pour réussir à soutirer certaines choses de certaines personnes, mais quand je veux quelque chose, je l'ai quoi qu'il arrive. Désormais, il me restais plus qu'une étape....agir.