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 Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.



POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Exilés
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Sam 21 Sep - 5:53
Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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(c)sulki-bazzart.org
Caria
incarné(e) par Miranda Kerr
Ave, étranger! Je suis Caria, fille de Carius Decimus. Né(e) à Merida, Hispanie romaine, il y a 23 ans ans, je suis d'origine Hispanique. La déesse Fortune a fait de moi une(e) population servile et j'ai pour famille/maître(sse) Famille Pompeii


Plus de 2000 ans plus tard, c'est Padme qui m'incarne. Qui es-tu? Vous commencez à me connaître. J'aime tellement ce forum que j'ai décidée de le hanter en triple !

Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [X] que mon personnage soit adapté en scenario / [] que le staff le fasse disparaître de Pompéi par mort ou départ (cochez selon vos préférences), et ce pour permettre à mes liens importants de ne pas être gênés. Mais ça n'arrivera pas. hem

(c)sulki-bazzart.org
Pompéi & moi

→ Ce que je pense de Pompéi
Je garde peu de souvenirs de ma terre natale. Je suis arrivée à Pompéi lorsque j’avais sept ans et depuis je ne l’ai jamais quittée. Cette ville est donc la mienne. J’en connais tous les coins et recoins. J’aime ses odeurs et ses chaleurs. J’aime ses belles villas et ses marchés. J’aime ses jardins et sa proximité sur la mer.

→ Ce que je pense de la politique
J’appartiens à la maison Pompeii depuis plus de seize ans. Cette maison est l’une des plus anciennes et des plus nobles de Pompéi. Le nom même de cette cité est un don des ancêtres de mon maître, c’est dire à quel point ces gens sont importants. De génération en génération, les hommes de cette maison ont fait carrière dans la politique. Que ce soit au sénat local et même à Rome. Bien que je ne m’intéresse pas particulièrement à la politique, j’ai souvent entendu des discussions entre mon maître et ses invités. Comme je sais lire et écrire, je suis capable de comprendre les lois de ce pays.

Curieuse, j’ai compris très jeune qu’aucune loi ne nous protège nous les esclaves. Les lois romaines stipulent que les esclaves sont une propriété comme une autre; il peut être donné en usufruit ou en propriété, en gage, en louage, en échange, vendu, acquis par prescription (upsu capto), saisi pour dettes. En tant que personnes nous n’avons aucun droit sur cette terre et encore moins de liberté. Dans un tel état de choses, je ne vois pas pourquoi je m’intéresserais à une politique qui renie les bases mêmes de mon existence.

→ Ce que je pense des jeux
Je n’en pense rien de bon et je suis très heureuse de ne pas être obligée d’y assister. À mes yeux, ce sont des démonstrations honteuses du pouvoir de Rome sur nous pauvre esclave. On dit que ce sont des spectacles, des divertissements pour la plèbe. Personnellement, j’ai beaucoup de difficulté à comprendre ce qui peut être amusant ou distrayant de voir se faire tuer de pauvres innocents sous nos yeux.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
Mes rêves sont faits d’une seule chose. Une toute petite chose qui ne tient qu’en un mot, mais qui pourtant est inaccessible : la liberté. Ce mot je ne dois pas le prononcer puisqu’il pourrait être retenu contre moi. Le seul fait d’y penser pourrait me causer de sérieux ennuis. Je reste donc silencieuse et j’attends mon heure. Un jour qui sait peut-être qu’un miracle arrivera. J’y crois très fort. J’y croirai jusqu’à mon dernier souffle ou je serai enfin libre…

→ Ma pire crainte
Ma pire crainte serait de décevoir mes maîtres. Et que ces derniers décident de me vendre. Si je quittais cette maison, je serais séparée de ma mère. Elle est la seule famille qu’il me reste. Mon seul point d’ancrage, sans elle je serais perdue. Et puis, j’ai tant entendu de récits d’horreur provenant d’esclaves d’autres maisons que je suis effrayer à l’idée de me retrouver dans un foyer où règne la terreur, la violence et les privations.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Je ne crois qu’en un seul et unique Dieu. Le Dieu unique. Celui qui n’a pas de nom. Celui qui a guidé les pas de mon père et celui de mes ancêtres. Bien que nous ne soyons pas nées en Judée, ma famille a depuis longtemps adopté les préceptes de la religion juive.

En apparence, je pratique tous les cultes domestiques et les rites exigés par mes maîtres, mais je n’y mets aucun cœur ni foi. J’ai peu de confiance en leurs dieux et déesses qui n’écoutent pas les prières de ceux qui sont vus comme des exclus.

Mon histoire


~ Merida, Hispanie romaine -  702 AUC ~

J’ai vu le jour à Merida, une ville située au centre de la région d'Estrémadure, au sud-ouest de l'Hispanie romaine. Déjà à ma naissance, je n’étais pas totalement libre et je ne savais pas encore que mes jours d’insouciance étaient comptés.

Dans notre petit village, mon père louait une ferme et nous cultivions des fruits et des légumes. Nous étions heureux. Enfin, c’est le souvenir que j’en ai conservé. Et puis et jour tous c’est arrêté. Après plusieurs mauvaises récoltes, mon père avait dû contracter des emprunts pour pouvoir conserver ses terres et pouvoir semer. Endetté et incapable de rembourses à échéance on nous a tout pris, notre ferme, notre maison et nos animaux. Nous avons été faits prisonnier et on a fait de nous des esclaves. Je me souviendrai toujours du regard de mon père le jour où ils sont venus nous chercher. J’ai senti dans son regard un vide immense comme si on venait de lui retirer tout ce qui faisait de lui un homme, sa fierté et son amour propre. À partir, de ce jour, il n’a jamais plus été le même homme.

Nous avons été vendus dans un premier temps dans une famille riche de la région et puis pour différentes raisons nous sommes passés de maison en maison jusqu’aux jours ou nous avons fait le chemin jusqu’à Rome. Je n’avais alors que quatre ans. Je tâchais de me montrer forte parce que je savais que papa et maman étaient à la fois terrifiés et anéantis par la honte. En quelques mois, nous étions devenus l’ombre de nous-mêmes. Nous étions maigres et notre apparence ressemblait plus à celle d’un fantôme qu’à celle d’humain.    

Sur la route, nous n’avions rien pour nous protégé des intempéries ni des cailloux sur la route. Nous marchions enchaînées les uns aux autres pieds nus sur de longues distances. Je me souviens combien la route avait été longue. Je croyais ne jamais y arriver et puis un jour finalement nous sommes arrivés à Rome. Cette cité qui était alors le centre du monde.

~ Rome,  707 AUC  ~

Je me souviens du jour où nous sommes entrés dans la cité éternelle. Il pleuvait. Le ciel était noir comme l’était mon cœur. J’avais froid et je frissonnais dans les vêtements beaucoup trop grands que le marchand m’avait donnés. La tunique était si sale que j’avais l’impression qu’elle tenait par elle-même autour de mon pauvre corps amaigri par les privations.

Je me souviens que malgré le mauvais temps, il y avait foule à Rome ce jour-là. Dans une langue que je comprenais à peine. On nous expliqua que c’était jour de marché et que notre marchand avait l’intention de faire de bonne affaire. On nous amena à la grande place du marché ou on nous fit défiler devant une foule de personnes. Ces derniers nous regardaient et nous examinaient comme mon père le faisait jadis quand il voulait acheter du bétail. Nous avions perdu toute dignité et bien que j’avais la peur au ventre, je me refusai à laisser voir ma peine et ma rage.

Ensuite, on poussa mes compagnons d’infortunes à monter sur une petite estrade de bois ou le marchand vantait leur mérite afin d’en obtenir le meilleur prix. Nous étions si sales et si laids, personne n’avait pris le soin de nous nettoyer, de nous bosser les cheveux ou même de nous nourrir pour nous donner l’apparence d’être toujours vivants. Malgré tout, mes compagnons étaient achetés à gros prix. Et puis ce fut notre tour. On nous fit monter sur une tribune et le marchand expliqua que nous étions une famille. Que nous étions vendus les trois ensemble. Du haut de ce perchoir odieux, je pouvais voir la foule. Toutes ces personnes qui nous regardaient comme si nous n’étions qu’une marchandise me donnèrent le vertige et un dégoût total de la race humaine. À partir de ce jour, mon cœur se mit à durcir comme une pierre.

A Rome nous fut acheté par une famille de patriciens fort riche qui nous amena chez eux. Depuis notre départ de Merida mon père ne cessait de dépérir. Il était malade, il toussait énormément et avait du mal à faire le moindre effort physique. Lui qui jadis, était une force de la nature, il ne pouvait plus travailler comme avant aussi notre nouveau maître se mit à déplorer notre achat et au bout de deux ans, il nous revendit à une autre famille.

~ Pompéi,  709 AUC ~

Je suis arrivée à Pompéi alors que je venais d’avoir mes sept premiers printemps. Nous venions d’être vendus à une famille de la région qui se prénommait Pompeii. On nous expliqua que le nom de la ville que nous allions maintenant vivre avait été nommé ainsi en l’honneur de nos nouveaux maîtres. Pour nous, ce n’était qu’une autre prison de plus. Dès notre arrivée dans cette nouvelle demeure, mon père fut affecté une fois de plus aux travaux manuels et ma mère fut affectée au service de la domina. Quant à moi étant donné mon âge on m’envoya une fois de plus aux cuisines.

Au fil des années, j’avais acquis plusieurs connaissances en cuisine, mais comme je n’étais alors qu’une enfant on me donna une fois de plus les tâches les plus ingrates à faire : couper et nettoyer les légumes, déplumés les volailles ou nettoyer des tonnes de vaisselles. J’ai tellement nettoyé de vaisselles dans mes premières années que j’ai finies par en perdre le compte, mais mes mains eux en gardent le souvenir tant ma peau se mit à durcir et gercer. Je travaillais du lever du matin jusqu’à ce que le soleil se couche.

Bien que nous soyons dans une autre prison, nos maîtres étaient beaucoup plus généreux envers nous que ceux que nous avions connus jusqu’à maintenant. Les autres esclaves m’avaient expliqué que la famille Pompeii était non seulement fort riche, mais aussi très importante. Notre maître était en politique et il était fort respecté par ses concitoyens. Par sa position, il devait montrer l’exemple aussi sous son toit nous étions fort bien traités. On nous donna dès notre arrivée des vêtements propres et chauds. On nous donna l’ordre de prendre des bains régulièrement et on nous servit trois repas par jour. Ce que j’aimais le plus de cette nouvelle maison, c’est qu’ayant pitié de nous, le maître nous donna une pièce pour moi et mes parents. Une pièce rien que pour nous trois. Une pièce où l’on pouvait se retrouver le soir venu. C’était notre univers. Le soir venu je me glissais entre mes parents pour dormir. Pendant quelques heures, nous avions l’impression d’être à nouveau une famille.

Le temps passait et mon père était toujours aussi malade. Il passait plus de temps à l’infirmerie que dans les champs. J’étais très inquiète pour lui et j’avais peur qu’il ne retrouve jamais la santé. Un soir que je retournais à notre petite pièce pour dormir je trouvai ma mère en larmes. Je sus immédiatement que mon père nous avait quittés. Bien que sa perte me fût douloureuse, je ne pus m’empêcher de me dire qu’il serait enfin en paix. Il pourrait enfin se reposer. J’aimais mon père de tout mon cœur et sa perte fut mon premier pas dans le début de mon apprentissage vers l’âge adulte. Je n’avais pourtant que sept ans et je n’avais jusqu’alors trouvé si peu de réconfort et de joie dans ma vie.

***

Dans cette nouvelle maison, les choses étaient non seulement différente au niveau du traitement donné aux esclaves, mais aussi parce que cette maison était non seulement habité par des adultes, mais également par des enfants. En effet, notre dominus avait un fils âgé de huit et notre domina venait de mettre au monde une petite fille.

Je me souviens très bien du jour où j’ai croisé pour la première fois mon jeune dominus. J’étais dans le jardin et je tentais en vain d’apprendre mes lettres pour savoir mieux lire et écrire la langue de mes nouveaux maîtres. Lorsqu’un grand freluquet au cheveu blond et des yeux bleus comme la mer est venu s’asseoir près de moi avec une tablette de cire. Il m’a alors parlé d’une voix très douce et m’a complimentée sur mon orthographe. Je me souviens combien, il se montrait poli et courtois avec moi alors que je n’étais qu’une esclave. Gêné, je ne savais pas quoi lui dire aussi je me souviens avoir gardé le silence.  

Ensuite, ce fut plus régulièrement que nos chemins se mirent à se croiser. À chaque fois, il avait une délicate attention pour moi. Parfois, c’était une fleur, un livre ou des gâteaux. Souvent le soir, il me retrouvait dans le jardin pour m’aider avec mes lettres. Grâce à sa patience et sa gentillesse, j’appris rapidement à lire et à écrire. Fasciner par tout ce qui m’entourait je le bombardais de questions. Rapidement, nous devinrent inséparables. Avec lui, je ne me sentais plus seulement comme une esclave, mais j’avais l’impression d’être son égale. Ce furent sans doute les meilleurs moments de ma vie. Pour la première fois de ma vie, j’avais un ami. Un ami qui se souciait de moi. Un ami qui, je crois, m’aimait et que j’aimais en retour. J’étais heureuse.    

~ Pompéi, 710-724 AUC. ~

Les années ont passé. Nous n’étions plus des enfants. Nous avions bien grandi et pourtant nous étions toujours aussi proches. Aussi complice. Nos regards sur l’autre avaient pourtant commencé à changer tout comme ceux des gens qui nous entouraient.

Ma mère fut la première à me mettre en garde contre lui. Elle me répétait toujours de ne pas m’attacher a Marcus. Que ce dernier finirait par partir et m’oublier. Que j’étais une esclave. Que je n’étais rien. Bien que je fusse consciente de ma position, je ne pouvais m’empêcher de rêver.

En grandissant, Marcus avait commencé à s’absenter de plus en plus souvent de la villa. Ce fut d’abord pour ses études et ensuite, il s’engagea dans l’armée. Il partait parfois pour de longs mois à l’étranger. De mon côté, ma vie à la Villa des Mystères changea également. De simple fille de cuisine, je fus promue comme sous-chef. Mes connaissances en cuisine et ma curiosité avait enfin porté fruit. Maintenant, j’étais responsable d’une bonne partie des repas de la maisonnée. Chaque jour, je me rendais au marché pour m’approvisionner de produits frais. Les petites visites étaient de courts moments de liberté dont je profitais au maximum. Avec le temps, je m’étais fait plusieurs amis parmi les autres esclaves de la maison, mais aussi de celles de nos voisins.

Naturellement, avec les années mon corps se mit également à changer. Doucement, je me transformais en femme. Consciente que mes nouvelles formes attiraient le regard des hommes, je me mis à me couvrir davantage. Naïve et innocente de ces choses, je ne comprenais pas pourquoi leur regard sur moi avait changé.

~ Pompéi, 724 AUC. ~

Un an s’était écoulé depuis la dernière fois ou je m’étais retrouvée avec mon ami. À l’annonce de son retour, je me fis une nouvelle robe avec le tissu offert par Dominus. J’étais si impatiente de le revoir. De pouvoir lui parler de nouveau. J’avais envie de l’entendre me raconter tout ce qu’il avait vu et vécus durant tout ce temps. Je me souviens encore du moment où il est arrivé sur son cheval blanc dans la cour de la villa. Lorsqu’il était parti, il avait encore l’allure d’un enfant, mais aujourd’hui, il était un homme. Il avait tellement changé et pourtant son regard était le même. Dans son uniforme, il dégageait une telle prestance et un tel charisme qu’on ne pouvait que l’admirer.

Ses parents et le reste de sa famille furent si heureux de son retour que je ne pus le voir qu’à la tombée de la nuit.

***

Il fait nuit. La maison est silencieuse. À cette heure les festivités en l’honneur de l’enfant prodigue sont enfin terminées. Toute la journée, j’avais été retenue dans les cuisines pour préparer un énorme festin en l’honneur du retour de Marcus. Heureuse de le retrouver, j’y avais mis tout mon cœur et préparer les meilleurs plats que je connaissais. Toute la journée, j’avais espéré sa visite. Espérez un signe de sa part, mais il avait été retenu par les siens. Le cœur gros, je pensais que comme ma mère me l’avait répétée si souvent il avait fini par m’oublier. Je promenais dans le jardin quand je l’aperçus enfin. Comme jadis, il m’attendait. Il était là. Il n’avait pas oublié. À ce moment précis, je me souviens n’avoir pensé à rien sinon au bonheur de me jeter dans ses bras. Instinctivement, nos regards se croisèrent et je compris. Il n’eut pas besoin de mot pour me le dire. Nos cœurs battaient alors au même rythme tant et si bien que nos lèvres se joignirent pour la toute première fois en un doux et long baisé. Tout de lui m’avait manqué et il semblait que je lui avais manqué également. Nos paroles se bousculaient dans nos bouches tant nous avions à nous dire. Nous étions à la fois souriants et pourtant nos yeux étaient remplis de larmes. Et puis, il m’embrassa de nouveau. Je sentis alors son corps devenir de plus en plus pressant contre le mien. Je sentis également ses mains parcourir mon corps comme s’il cherchait à en découvrir chaque parcelle. Au départ, je fus surprise, mais c’était agréable alors je le laissai faire ne sachant pas si ce que je faisais était mal ou non. Cette nuit-là fut la plus belle de ma vie. Je n’avais alors qu’un seul désir : ne plus jamais le quitter.    

Que s’était-il passé entre nous pour que soudainement, il reconnaisse dans mes gestes et dans mes paroles ce que je ressentais pour lui. Moi-même j’avais du mal à le comprendre et pourtant mon amitié pour lui s’était muer en un amour profond et sincère. Avec les années, Marcus était devenu ma seule source de réconfort, la seule étincelle de bonheur dans cette vie triste et sans avenir. Dès le premier jour, il s’était montré doux et généreux avec moi. Jamais je n’avais senti qu’il me traitait différemment parce que je lui appartenais. Entre nous, il n’y avait ni maître ni esclave, nous étions simplement Marcus et Caria. On se disait tout et tout était simple. Malgré les années, notre complicité avait survécu jusqu’à cette nuit.

Avec du recul, il me semblait tout naturel que je sois amoureuse de lui. Or, je savais fort bien qu’être amoureux du fils de mon maître était sans doute la chose la plus stupide qui soit. Un tel amour ne conduirait jamais nulle part. Jamais on ne nous laisserait nous aimer librement. J’entendais constamment les reproches et les paroles de ma mère dans ma tête, mais c’était plus fort que tout. Chaque nuit, j’allais le retrouver même si j’avais constamment peur que nous soyons surpris ou dénoncés à mon maître. Cette nuit-là et celle qui suivit, je ne vis pas que ce jouait mon destin. Je ne vis pas non plus dans l’obscurité le regard outrancier de mon maître.

***

La pièce était froide. L’endroit vaste et décoré sobrement. Je n’allais pratiquement jamais dans le bureau de mon dominus. J’agissais toujours conformément aux ordres et quand j’avais des ennuis, c’était toujours Cicero qui intervenait. Ce jour-là, mon maître m’avait sommée de me présenter à lui. J’étais nerveuse. J’espérais ne pas lui avoir déplu. Qu’il était toujours satisfait de mon travail en cuisine. J’étais alors loin de me douter de la raison pour laquelle il voulait me voir.

Pourtant lorsque je croisai son regard je sus immédiatement de quoi il serait question. Il savait pour moi et Marcus. Non seulement il savait, mais il allait y mettre un terme. Je sentis alors mon cœur se fendre morceau par morceau et tomber en lambeau sous les tuiles du tablinium.

Pendant toute notre enfance, il avait toléré nos rapports qui n’étaient alors que des jeux entre deux enfants, mais aujourd’hui son fils était un homme. Un homme qui portait son nom. C’était son héritier. Celui qui allait devoir le succéder en toute chose, il n’était donc pas question qu’il le laisse fréquenter une esclave. Encore moins sachant que son fils avait des sentiments pour moi. Il ne pouvait risquer que je mette au monde un bâtard qui pourrait entacher la réputation de sa famille et salir le nom de son précieux fils. Il devait mettre un terme à ce qui était pour moi la plus belle chose qui soit.

Seule devant mon maître je tremblais de peur. Je savais que je n’avais pas véritablement le choix. J’étais sa possession et il pouvait disposer de moi comme il le voulait. Magnanime, il me posa un ultimatum. Soit il me vendait à une autre maison pour m’envoyer le plus loin possible de son fils soit j’acceptais de prendre un homme comme conjoint pour vivre avec lui en concubinage. Partir signifiait que j’allais perdre pour toujours ma mère. Cette dernière était âgée et n’avait plus que moi. Je ne pouvais la laisser seule et puis qui sait sur quel genre de maître je pourrais tomber. Seulement la seule idée de me donner à un autre homme m’était insupportable.

Voyant que j’hésitais à accepter la seconde alternative, il me remit une forte somme d’argent qui me permettrait de libérer ma mère de ses chaînes, mais en échange j’allais devoir promettre de ne jamais rien dire sur notre entente à Marcus. J’allais également devoir couper court à ses sentiments pour moi. J’allais devoir renoncer à lui pour toujours et l’encourager à accepter le mariage que son père avait négocié pour lui.
En quelques minutes, ma vie bascula. J’avais l’impression de vivre un terrible cauchemar. Et pourtant c’était la cruelle vérité. Cette nuit-là je versai plus de larmes qu’il pouvait contenir d’eau dans le Tibre. Toute la nuit durant, la tristesse demeura, sourde et profonde. Quelques jours plus tard, mon maître officialisa mon union avec un autre de ses esclaves. Désormais, ma mère et moi nous allions vivre sous le toit de cet homme. Ce dernier possédait une petite cabane dans la vallée à quelques pas de la villa. À partir de ce jour, ma vie devint un véritable enfer.

Parce que j’avais prêté serment à mon maître de garder le silence, je dus repousser les assauts de Marcus. Je dus taire mes larmes, taire ce qui restait de mon cœur en charpie pour le forcer à se détacher de moi. Le voir malheureux était un véritable supplice. J’appartenais maintenant à un autre homme. À ses yeux, je l’avais trahi, je lui avais brisé le cœur. Obliger au silence, je ne pouvais lui dire que ce n’était pas mon choix. Que j’avais été obligée! Chaque fois que je croisais son regard était pour moi un supplice.

Je n’étais désormais plus l’ombre de moi-même. J’errais dans cette vie sans cœur et sans âme.

~ Pompéi, 725 AUC. ~

Une année s’est écoulée depuis ce terrible jour ou ma vie avant basculée. Les jours se succédaient sans que je n’y trouve de joie ou de plaisir. Chaque jour, j’étais non seulement une esclave, mais aussi la prisonnière d’une vie qui me faisait horreur. Chaque nuit, je devais endurer les assauts d’un homme que je haïssais. Chaque nuit, je priais pour que ma vie s’achève.  

Par les autres esclaves, j’avais appris que Marcus avait été envoyé à l’étranger pour se battre contre les Parthes. J’avais également appris que notre maître avait négocié pour lui un mariage avec une femme de la prestigieuse maison des Claudii. Cette nouvelle me précipita encore plus dans une profonde mélancolie. Avec une autre femme dans sa vie, il m’oublierait complètement et il ne resterait de nous que des souvenirs lointains. Je ne l’avais plus revu depuis cette journée ou je l’avais chassé contre mon cœur de ma vie. J’étais sans nouvelles de lui et je tâchais d’apprendre à vivre sans cette partie de moi.

₪ ₪ ₪ ₪

LIENS DU SCÉNARIO

Lucius Pompeius Publicola ₪ Dominus.

J’ai beaucoup de respect pour mon maître. C’est un homme exigeant, taciturne et sévère, mais c’est également un homme juste et bon. Je sais que dans plusieurs autres maisons les esclaves sont souvent maltraités. Certains sont victimes de violences de toutes sortes et son mal nourrit, mais à la Villa des Mystères, j’ai toujours été bien traitée. J’y suis depuis maintenant seize ans. Seize longues années de servitudes.

Avec les années, ma situation s’est plus ou moins améliorée et j’ai gagné quelques libertés. Aujourd’hui, je suis la chef des cuisines de la villa. C’est moi qui prépare et planifie tous les repas qui sont faits dans la villa. C’est à moi que revient le soin de planifier tous les banquets et les réceptions que donne mon maître. Homme connu et important de la cité, il reçoit énormément et il a toujours un souci d’offrir le meilleur à ses invités.

La passion pour mon travail c’est tout ce qui arrive à me donner la force de vivre.  Depuis un an, chaque fois que je croise le regard de mon maître, je me rappelle ce à quoi j’ai dû renoncer pour pouvoir rester dans cette maison. Chaque jour, le serment que j’ai prêté envers mon maître est plus lourd que n’importe quelle chaîne a mes pieds.

Marcus Pompeius Fortunato ₪  Celui que j'aime en silence.

Lorsque je pense à lui, mon cœur ne peut que s’attendrir. Certaines choses ne s’expliquent pas. Il n’existe aucun mot pour le définir et pourtant cela ne veut pas dire qu’il n’existe pas.

Parce que j’ai peur de ton père, que j’ai peur qu’il me sépare pour toujours de ma mère, qu’il me vende à une autre maison loin de toi, j’ai accepté l’inacceptable. J’ai accepté de me taire. J’ai accepté de ne pouvoir désormais que te regarder de loin.

Désormais, je me dois de repousser tes avances. Je dois refuser tes gentillesses. Je dois être froide et te faire croire que je n’ai plus aucun sentiment pour toi alors que mon cœur se meurt depuis ce terrible jour. Chaque nuit, je rêve de toi en espérant qu’un jour mon cauchemar ne prenne fin et que je puisse me réveiller à nouveau dans tes bras. Si seulement, tu savais…

Atticus ₪ Conjoint.

Atticus est un esclave de la maison Pompeii. Il est âgé de 39 ans. Il travaille dans les écuries de la Villa des Mystères. Il a connu plusieurs autres maisons avant d’être acheté par Publicola. Il a connu les mauvais traitements, la violence et les privations. C’est un homme dur. Je ne sais pas pourquoi c’est lui que j’ai choisi. À vraie dire peu m’importait. Je sais qu’il me désirait depuis longtemps alors je l’ai choisi croyant qu’il serait bon avec moi.

Suite au marché que j’ai passé avec mon maître, j’ai accepté de vivre en concubinage avec Atticus. Étant tous deux esclaves, le mariage nous est défendu, mais il nous est permis de vivre avec la bénédiction de notre maître comme un véritable couple marié. Désormais, je suis sa femme. Sa possession. Je suis donc doublement esclave. Je me suis donnée à lui sans amour. Mon cœur n’a jamais traversé le pas de sa demeure. Mon cœur appartient et appartiendra toujours à Marcus.
Dès le premier jour de ma vie avec Atticus, j’ai su que ma vie serait un terrible cauchemar. Dès le premier soir de cette union, il a voulu effacer les traces de mon amoureux sur mon corps. Cette expérience fut pour moi des plus traumatisantes. Par la suite, chaque fois qu’il revint vers moi pour assouvir ses plus bas instincts, je fermai les yeux et priait en silence que ce calvaire se termine. Comme je ne prends jamais de plaisir ni le lui rend ses caresses, mon attitude a pour effet de mettre Atticus en rage contre moi. Jaloux, il a donc commencé à me battre, et ce de plus en plus fort comme s’il essayait de m’arracher de force Marcus du cœur et de la peau.

fiche (c) Semper Eadem


Dernière édition par Caria le Dim 6 Avr - 19:35, édité 34 fois
Sam 21 Sep - 11:05
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Ca ne te suffisait pas avec Tirzah en terme d'amour impossible ? Razz

Re-re-bienvenue *o* au plaisir de lire cette nouvelle fiche !




[*donne de l'argent à Lici*
J'ai perdu finalement, c'est pas une des admins qui se triples en premier xD ]
Patricien
Sam 21 Sep - 11:40
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




Licinia Domitia
₪ Arrivée à Pompéi : 17/03/2013
₪ Ecrits : 8618
₪ Sesterces : 223
₪ Âge : .
₪ Fonction & Métier : .

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: .
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ?
Licinia Domitia
http://torahana.tumblr.com/
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re-re-bienvenue cheers

*attrape l'argent de Lurco : quoi, c'est de la triche si on savait d'avance le résultat du pari ? Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.  2899194248 *
Sam 21 Sep - 11:51
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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T'as de la chance, je suis bon joueur What a Face
Sinon je t'aurai probablement coupé la tête !
Sam 21 Sep - 12:31
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Lurco a écrit:
Ca ne te suffisait pas avec Tirzah en terme d'amour impossible ? Razz

Re-re-bienvenue *o* au plaisir de lire cette nouvelle fiche !




[*donne de l'argent à Lici*
J'ai perdu finalement, c'est pas une des admins qui se triples en premier xD ]
He oui c'est moi !
Qui est assez fou pour se mettre encore plus de pression. Fou Fou 
Sam 21 Sep - 12:38
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Bienvenue dans le monde ingrat des esclaves en tout cas What a Face
*tapote une place à côté d'elle sur le banc* vient là, je serai sage, petite Pompéi servile, pro-mis Diable
Patricien
Sam 21 Sep - 14:41
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




Lucius Pompeius Publicola
₪ Arrivée à Pompéi : 11/05/2013
₪ Ecrits : 2404
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₪ Âge : 42 ans
₪ Fonction & Métier : Duumvir

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Verba volant, scripta manent.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Époux de la louve et amant de la vipère.
Lucius Pompeius Publicola
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Yaaa Mon frère en femme ( hem...) !

Eheh, ravie que tu rempiles pour une troisième fois. C'est mignon que vos rôles s'entrecroisent Razz
Sam 21 Sep - 14:43
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Invité
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Et oui une toute première depuis fort longtemps pour moi !
On verra ce que ça va donner. On devra d'ailleurs discuter de mon rôle exacte dans ta maison.
Patricien
Sam 21 Sep - 14:45
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




Lucius Pompeius Publicola
₪ Arrivée à Pompéi : 11/05/2013
₪ Ecrits : 2404
₪ Sesterces : 65
₪ Âge : 42 ans
₪ Fonction & Métier : Duumvir

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Verba volant, scripta manent.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Époux de la louve et amant de la vipère.
Lucius Pompeius Publicola
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Sans problème, ma boite à MP t'es ouverte, comme d'hab Wink
Sam 21 Sep - 16:03
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Invité
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HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN ma douce Coeur Please Yaaa 
Ravie de voir que le scénario te plait au point d'en faire ton TC ♥️
En tout cas, je suis contente que ce soit toi qui le tente, je suis sûre que tu vas bien t'en sortir. Et de toute façon, si tu as la moindre question, n'hésite pas à me mpotter. Je serais plus qu'heureuse de t'aider Please On va pouvoir recroiser nos chemins Yaaa 
Sam 21 Sep - 16:06
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Invité
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Ce sera des chassés croisés mon bel adonis !
Sam 21 Sep - 21:41
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Invité
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Bienvenue !!!

Haaaa l'ignore de charlize il est de moi !!
Dim 22 Sep - 12:54
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Sérieux ... Wow et bien merci chère Ausonia Rufia
Arene
Dim 22 Sep - 20:48
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




Ulysse
₪ Arrivée à Pompéi : 02/05/2013
₪ Ecrits : 787
₪ Sesterces : 1
₪ Âge : 25 ans
₪ Fonction & Métier : Rétiaire chez Lucretius

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: La dignité une fois perdue ne se récupère jamais.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Tout va bien, merci.
Ulysse
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Re bienvenue parmi nous Bave

Ne t'approche pas trop du ludus, tu ne risquerais pas faire long feu avec moi pervers

Vettia pardonne moi Stp

Bon courage pour la fin de ta fiche cheers
Lun 23 Sep - 10:25
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Invité
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Ulysse... C'est toi qui risque de ne pas faire long feu... Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.  110384536 

Sinon, je te l'ai déjà dis mais j'aime beaucoup ta première partie. J'ai hâte de lire le reste ♥️
Lun 23 Sep - 13:37
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Invité
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Merci Marcus. J'espère que le reste sera à la hauteur Embarassed 
Patricien
Lun 23 Sep - 21:45
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




Helvia Claudia Scaevola
₪ Arrivée à Pompéi : 26/05/2013
₪ Ecrits : 2157
₪ Sesterces : 60
₪ Âge : 41 ans
₪ Fonction & Métier : Reine des Vipères et femme d'affaires

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Chaque miette de vie doit servir à conquérir la dignité.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Veuve et amante de Publicola
Helvia Claudia Scaevola
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Bienvenue ma belle ! La température chauffe à Pompéi ! pervers 
Lun 23 Sep - 21:49
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Invité
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Merci Madame ... Smile

**********************


Edit : Je termine ma fiche samedi sans faute. Désolé pour le délai Yeux doux 
Arene
Sam 28 Sep - 21:14
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




Ulysse
₪ Arrivée à Pompéi : 02/05/2013
₪ Ecrits : 787
₪ Sesterces : 1
₪ Âge : 25 ans
₪ Fonction & Métier : Rétiaire chez Lucretius

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: La dignité une fois perdue ne se récupère jamais.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Tout va bien, merci.
Ulysse
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Un TC qui envoie du pâté ! Yaaa

J'ai bien aimé la façon dont au début tu écris, avec un regard enfantin qui comprend ce qui se passe mais qui continue a être un brin optimiste, c'était superbement rendu Wink

Pour moi, il n'y a aucun problème je te pré-valide Coeur

Tu connais la maison, tu peux donc recenser ton avatar, créer ta fiche de liens et venir flooder avec nous cheers
Sam 28 Sep - 22:29
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Invité
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Merci Ulysse Smile
Dim 29 Sep - 1:15
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Invité
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Félicitations pour cette pré-validation! Mais tu vas faire l'amoureuse de mon frère! Il va falloir qu'on y réfléchisse ^^
Dim 29 Sep - 1:46
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Invité
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Oui il nous faudra un lien puisque je suis dans la maison de ton père depuis bien des années et que j'ai vue venir au monde.
Patricien
Dim 29 Sep - 11:29
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




Licinia Domitia
₪ Arrivée à Pompéi : 17/03/2013
₪ Ecrits : 8618
₪ Sesterces : 223
₪ Âge : .
₪ Fonction & Métier : .

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: .
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ?
Licinia Domitia
http://torahana.tumblr.com/
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J'aime beaucoup ton nouveau personnage et la manière dont tu nous le présentes, mais comme c'est le scénario de Marcus, j'aimerais attendre son avis avant de te valider définitivement I love you d'ailleurs n'oublies pas d'aller recenser ton avatar Wink
Dim 29 Sep - 12:40
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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Invité
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C'est tout bon pour moi Yaaa 
Je vous donne mon feu vert Please 
Patricien
Dim 29 Sep - 13:41
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




Licinia Domitia
₪ Arrivée à Pompéi : 17/03/2013
₪ Ecrits : 8618
₪ Sesterces : 223
₪ Âge : .
₪ Fonction & Métier : .

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: .
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ?
Licinia Domitia
http://torahana.tumblr.com/
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parfait, du coup je te valide Smile
Re: Caria ₪ Tout ce qui ne me tue pas me rend plus forte.    




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