| Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Population recensée|
Dim 8 Fév - 16:59 Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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| Egon incarné par Richard Armitage Ave, étranger ! Je suis Egon, fils d' Elidyr. Né dans les montagnes des Alpes, il y a 43 ans, je suis d'origine gauloise. La déesse Fortune a fait de moi un esclave et j'ai n'ai plus dieu ni maître. Je n'ai désormais plus qu'un chef, Selurus, que les gens d'ici appellent le Fils de l'Etna. Plus de 2000 ans plus tard, c'est un anonyme qui m'incarne. Qui es-tu ? Vous aimeriez bien le savoir, hein ? J'accepte que le staff le fasse disparaître de Pompéi par mort douce ou sanglante car c'est un personnage éphémère. © the cruciblePompéi & moi mon opinion, mes croyances, mes ambitions → Ce que je pense de Pompéi Je ne connais pas cette ville. Je n'y vois qu'une cité romaine comme les autres, où des centaines esclaves œuvrent sous le fouet pour une gloire qui ne leur est pas destinée. Je n'y vois qu'un amas de villas sublimes bâties sur les os d'hommes et de femmes à qui, comme moi, on a tout pris. Je n'y vois que notre prochain objectif, à moi et à mes frères d'armes. Je ne souhaite sa destruction ni plus ni moins que toute autre ville romaine. Elle n'est qu'une marche vers notre objectif final, un passage obligatoire et rien de plus.
→ Ce que je pense de la politique Je n'ai jamais voulu m'en mêler. Toute ma vie, j'ai fui les hommes et leur politique d'accords, de règles et de lois. Mais, en me livrant à l'esclavage, les Romains m'y ont fait plonger. Aujourd'hui, quoi qu'en disent certains de mes frères, notre combat est politique. Les glaives n'empêchent pas les idées de s'échanger et de frapper fort les consciences. Même si certains ne le réalisent pas, notre lutte est faite pour marquer les esprits et pour s'inscrire avant tout dans ce monde obscur qu'est la politique. Alors, puisque je suis condamné à y jouer un rôle, je ferai en sorte de le faire avec le plus de d'application pour servir au mieux notre cause. → Ce que je pense des jeux Une abomination. La cruauté des puissants dans ses recoins les plus sombres. Toute la puissance de l'asservissement illustrée dans le combat de deux hommes forcés à tuer ou à mourir. Le sadisme d'hommes qui ont tellement tout, tellement trop, que seul le frisson de la mort parvient encore à les faire vibrer. Mon combat consiste également à faire cesser ces atrocités et à venger ces centaines, ces milliers d'hommes morts sur le sable des arènes pour divertir les grands de cet empire maudit.
→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions Que notre cause marquent les esprits, que notre combat bouleverse les populations, que notre lutte fasse trembler, ne serait-ce qu'un instant, la grande Rome. Je n'ai pas la prétention de dire que nous parviendrons à la faire chuter, ou même à l'affaiblir. Mais je rêve de voir les Romains prendre conscience de la légitimité de notre action, de l'ignominie des leurs, même pour un court instant. Je rêve de voir notre combat marquer l'histoire de Rome pour des siècles et des siècles, même s'il se solde par notre échec ; qu'au moins un jour, le colosse ait tremblé et que mes frères et moi ayons été à l'origine de ce vacillement, même éphémère.
→ Ma pire crainte Que le souvenir de notre combat meurt avec nous. Que notre sacrifice ne serve qu'à nourrir les vautours et les corbeaux. Que les Romains parviennent à étouffer nos cris jusqu'à faire oublier même notre existence. Je connais la force de la poigne romaine comme l'étendue de l'ombre de l'empire. Je sais à quel point notre ennemi est plus grand, plus puissant, et j'ai peur, oui, que malgré notre hargne et la fougue de nos plus jeunes frères, nous ne finissions qu'écrasés sous le talons de la grande Rome et que le sang versé ne soit que trop vite lavé par les pluies d'Italie.
→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi. Les dieux... Aucun dieu n'a jamais répondu à mes prières, qu'il soit romain ou gaulois. Je crache sur l'Olympe comme je crache sur l'aigle de Rome. Je ne dois ma vie qu'à moi seul et je sais que je la défendrai sans aucune aide céleste. Que l'on ne vienne pas me demander la moindre parole pieuse. Si les dieux existent, ils ne méritent que de disparaître avec le monde qu'ils ont créé.
→ Ce que je pense du "Fils de l'Etna" et de sa révolte J'ai connu Selurus il y a longtemps, lorsque son mouvement commençait à peine à prendre l'ampleur qu'on lui connait aujourd'hui. Alors que des Romains me traînaient jusqu'à la prochaine ville derrière une carriole, les mains enchaînées et le dos roué de coups, Selurus et ses compagnons ont fondu sur eux tels des fers de lance et les ont décimés. Depuis ce jour, j'ai juré de le suivre dans sa lutte, malgré l'avenir pessimiste que je lui prévoit. Oui, je ne crois pas en notre triomphe, Rome est trop puissante, trop inatteignable. Je sais que je ne combats pas pour mes frères et moi, mais pour ceux qui nous suivront, pour ces milliers d'enfants qui naissent chaque jour déjà enchaînés et condamnés à une vie de labeur et de misère. Je crois en ma mort prochaine, transpercé par un glaive ou cloué sur une croix. Je ne fuis pas pour autant, j'agis selon ma conscience, selon ce que je crois être juste et j'espère au fond de moi que notre sacrifice éveillera au sein de l'empire une révolte telle que plus jamais Rome n'oubliera que l'on ne peut jamais mettre à genoux les hommes impunément. Ainsi, je combattrai, je tuerai, je détruirai et je suivrai Selurus jusqu'à ce que l'empire me réduise au silence par le seul moyen qu'il aura jamais : en me transperçant d'une lance et en jetant mon corps au fond du Styx. © fiche par indi & born.to.die mon histoire " Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire " Peu d’êtres humains sur cette terre seraient capables d’affirmer qu’ils connaissent Egon. La plupart ne se souviendront jamais avoir croisé sa route. Egon ne se montre pas, parle peu. Mais Egon parle bien, parle juste, sait éveiller les consciences des hommes et gonfler leurs cœurs. Parce qu’il n’a jamais su lire, les élites l’ont toujours pris pour un idiot, un vulgaire paysan uniquement bon à racler la terre, et la terre des Romains, évidemment, une fois tombé dans la servitude. Pourtant, la sagesse d'un homme dépasse de loin les simples enseignements d'un précepteur.
Egon n’a pas toujours été esclave. « Egon », d’ailleurs, n’a pas toujours été son nom. Autrefois, il vivait dans les montagnes des Alpes, en retrait du village où il descendait vendre ses brebis et leur lait. Il possédait bien peu de choses mais n’en désirait pas davantage. Sa vie était faite de travail, de longues marches sur les sentiers alpins et de larges bouffées d’air montagnard. Il n’avait jamais désiré femme ni enfant, demeurait en retrait du reste des hommes, loin de leurs conflits et de leurs angoisses. Il nourrissait son âme du sentiment exaltant de se sentir à sa place en ce monde et de posséder absolument tout ce dont il avait besoin.
Mais l’ombre de Rome s’étend jusqu’aux monts les plus hauts et bientôt, Egon l’apprit à ses dépens l’année de ses trente-deux ans. Les bêtes entendirent les légionnaires avant leur gardien, comme si leur instinct leur murmurait déjà l’imminence d’un terrible danger. Les soldats n’avaient plus eu de batailles depuis trop longtemps et il n’était pas pire mélange que celui de l’ennui et de la fierté romaine. Leur chemin les avait menés jusqu’à la petite maison isolée du berger, par le plus cruel des hasards. Une proie facile, un crime qui demeurerait impuni, quelques pièces pour arrondir leur solde une fois cet homme vendu en tant qu’esclave… Ils n’avaient qu’à tendre la main et à se servir. Le berger était seul, sans famille et désarmé. Une distraction. Une aubaine. L’homme ne chercha pas à s’enfuir. Il refusa de se débattre. Comment se défendre seul face à leurs glaives ? Il demanda que l’on descende ses brebis au village pour ne pas les laisser sans protecteur. Les Romains eurent un rire gras, en égorgèrent six qu’ils chargèrent à l’arrière d’un chariot et laissèrent là les autres. Ils lièrent les mains du berger et le tirèrent à l’arrière d’un cheval. Ce jour-là, ils changèrent son nom, le privant de la dernière bribe de son identité. Ce jour-là, on l’appela Egon. Ce jour-là, il devint esclave.
Egon ne sut jamais combien de temps avait duré son voyage, combien de pas l’avaient éloigné de sa petite maison dans les montagnes. Ses sandales étaient rongées par la boue et le sable, sa peau couverte d’égratignures, son dos tuméfié par les coups et son regard vide comme son âme. Les premiers jours, il avait tenté de s’enfuir, il avait tenté de se défendre. Mais les légionnaires étaient toujours plus forts, toujours plus violents, toujours plus rapides. Avec le temps, il avait cessé de lutter. Il avait cessé de se battre. Il ne faisait plus qu’attendre, que marcher, en espérant rapidement apercevoir cette cité dont parlaient ses geôliers pour que son calvaire prenne fin.
Son périple le mena jusqu’à Arpinum où il fut vendu à un prix au-dessus de beaucoup d’esclaves présentés en même temps que lui par le magon. Il était jeune, il était fort, et on l’envoya sans tarder dans un latifundium au Sud de l’Italie. Il pensait avoir déjà vécu les pires souffrances, mais ce fut dans les champs qu’il découvrit les plus sombres facettes de l’Empire romain. Il y connu ses fatigues les plus grandes et ses douleurs les plus intolérables. Le travail était harassant, les nuits si courtes… Autour de lui, les autres esclaves tombaient en pleine journée, éreintés, et pleuraient la nuit tombée, pensant à leurs familles restées au loin ou envoyées dans la tombe par ceux-là mêmes qui leur imposaient leur titre de « dominus ». Egon, lui, ne pleurait pas. Il n’avait plus rien à regretter. Le berger était mort, il n’existait plus que l’esclave, le cultivateur amaigri et taciturne. Le temps lui avait fait oublier l’air frais des montagnes, les paysages grandioses des Alpes et le goût du lait de brebis. Il passa trois ans dans ce premier latifundium, jusqu’à ce que ses maîtres le revendent quand ils le trouvèrent trop lent. Il fut racheté pour bien moins cher à un autre propriétaire terrien. Puis à un autre. Puis à un autre encore. Il changea ainsi six fois de dominus et continua de faire pousser les blés pour la grande Rome pendant onze longues années entre Capoue, Naples et Bovianum. Son dernier propriétaire, lassé et déçu par cet esclave quasi muet et inefficace, brisé par tant d’années de travail, le revendit aux mines pendant une froide journée de fin d’hiver pour qu’il y termine sa vie. Egon fut attaché à l’arrière d’une carriole où cinq soldats romains trônaient fièrement. Les légionnaires passaient à côté des mines pour rejoindre le Nord de l’Italie depuis le Sud et reçurent quelques deniers en échange de la livraison de l’esclave à sa dernière demeure. Egon reprit la route pour ce qu’il considérait déjà comme son dernier voyage. Que pouvait-il attendre à quarante-trois ans ?
Il marcha ainsi pendant plusieurs jours, les mains liées derrière une carriole. Les Romains ne trainaient sans ménagement, sans même prêter attention à cette enveloppe humaine qui ne semblait pourtant plus rien contenir d’un homme. Les jours passaient, rythmés par le seul claquement des sabots sur les routes et Egon marchait, le regard vide, le dos rond et la tête basse, comme toutes ses années de servitude le lui avaient appris.
Pourtant, au matin du quatrième jour, toute sa vie bascula. Comme ce jour lointain dans cette contrée reculée des Alpes, cinq soldats s’abattirent sur le campement, prenant tous les hommes par surprise. Toujours attaché, Egon ne put qu’observer la scène derrière une roue de la carriole, ton cœur tambourinant à en sortir de sa poitrine. Les cris des Romains déchirèrent le silence avec le bruit froid des glaives qui transperçaient leurs maigres armures. Puis, un calme effrayant emplit l’atmosphère. Egon tremblait, toujours caché, immobile. Et soudain, un homme se dressa devant lui. Instinctivement, Egon leva ses mains devant son visage pour se protéger des coups, mais une main se posa avec douceur sur son avant-bras.
« - N’aie crainte, lui dit-on. Cette vie est terminée. »
Ce jour-là, Egon comprit qu’il n’aurait plus jamais à travailler sous les coups et les menaces, que plus jamais sa vie ne reposerait que sur la volonté d’un seul homme, que plus jamais on n’écrirait son avenir à sa place. Ce jour-là, sa vie d’esclave prenait fin et il n’aurait plus à retomber à genoux devant quiconque.
Egon rencontra Selurus, celui que ses compagnons surnommaient le « Fils de l’Etna », celui que tous ces anciens martyrs de l’Empire avaient choisi comme leur chef. L’ancien berger ne mit que peu de temps à embrasser sa cause, convaincu que sa vie avait été épargnée pour une raison et qu’il se devait d’utiliser tout le temps que Selurus lui offrait gracieusement sur cette terre à le servir, comme une dette qu’il ne pourrait jamais rembourser qu’en menant cette lutte aussi loin que le Fils de l’Etna le lui permettrait. Il choisit de conserver son nom donné par les Romains, pour que ces tyrans comprennent bien qui détruisait leurs vies sous sa colère : un homme brisé par leur empire, maintenu à genoux par les chaînes de Rome et qui aujourd’hui, venait réclamer vengeance. Aux côtés de ses nouveaux frères, il reprit à la grande Rome tout ce dont elle l’avait privé et lui infligea autant de blessures qu’il en avait lui-même reçu. Son tempérament réfléchi l’avait fait devenir un homme de confiance de Selurus et bientôt, il participa à toutes les discussions stratégiques du groupe qui ne cessait de grossir. Il approuva la direction des révoltés qui ne pouvaient plus se rendre qu’en Italie pour subvenir aux besoins de tous ces esclaves aux chaînes brisées. Il participa aux pillages de tous les villages qui se dressèrent sur son chemin, faisant de lui un combattant apprécié du reste de ses frères, bien que mystérieux et taciturne, comme perpétuellement perdu dans de sombres pensées.
Aujourd’hui, Egon ne se considère pas comme un chef. Il ne guide que de petits groupes d’anciens esclaves, toujours sous les ordres de Selurus qu’il ne fait que conseiller. Depuis quelques jours, son regard se tourne chaque matin vers Pompéi, la prochaine étape de leur combat. Cette ville est certainement la plus importante qu’ils n’aient jamais prévu d’assiéger. Egon sait la tâche difficile et la craint parfois inatteignable. Il ne recule pourtant pas, est convaincu de la justesse de leur cause et de la résonance qu’aurait une telle victoire sur Rome toute entière. Egon sait sa mort proche, il le sent au plus profond de ses tripes. Il n’aspire plus alors qu’à une mort utile, inoubliable, qui servira non pas les esclaves présents mais les milliers à venir. Sa loyauté envers Selurus demeurera infaillible, jusqu’à ce que la mort le prenne ou que son chef le renvoie et si sa vengeance doit passer par Pompéi, il ne restera alors plus que des murailles fumantes pour témoigner que cette ville ait jamais existé. © fiche par indi & born.to.die
Dernière édition par Egon le Dim 8 Mar - 16:58, édité 1 fois |
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Dim 8 Fév - 17:45 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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₪ Arrivée à Pompéi : 21/08/2012 ₪ Ecrits : 4319 ₪ Sesterces : 283 ₪ Âge : 29 ans ₪ Fonction & Métier : Gladiateur pour la maison Lucretius Cogito ergo sum ₪₪ Citation: The Gods have no mercy, that's why they're Gods₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Gauche... Priam | | |
| OMG! Après Mads c'est un vrai crime de prendre Riri pour un éphémère! Il me tarde de te lire et de te voir faire trembler Rome! |
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Dim 8 Fév - 17:52 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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Invité | | |
| Je t'avoue que j'ai hésité longtemps car j'ai pensé : "mon dieu, tu vas tuer Richard Armitage quand même".... Mais il est tellement parfait pour ce rôle ! |
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Dim 8 Fév - 18:25 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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₪ Arrivée à Pompéi : 18/10/2013 ₪ Ecrits : 3207 ₪ Sesterces : 407 ₪ Âge : 21 ans ₪ Fonction & Métier : Au service de Kaeso Ausonius Faustus. Voleur à ses heures perdues, vacant entre une auberge et un lupanar. Cogito ergo sum ₪₪ Citation: ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Plusieurs femmes l'habitent, mais une seule a su le kidnapper. Ausonius Niger | | |
| HIIII Tu nous as fait ton éphémère Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue encore une fois Trop hâte de te lire |
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Dim 8 Fév - 20:57 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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Invité | | |
| Bienvenue !! Bon courage pour la fifiche et tout et tout ! |
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Dim 8 Fév - 21:49 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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Invité | | |
| Nooooooooooooooooon mais t'as pas le droit de prendre Richard Armitage pour le tuer ensuite c'est un crime ! un crime ! |
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Lun 9 Fév - 17:50 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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Invité | | |
| Bienvenue avec ce perso !!
Super choix de vava quand même ! |
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Lun 9 Fév - 23:28 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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₪ Arrivée à Pompéi : 01/10/2013 ₪ Ecrits : 1544 ₪ Sesterces : 183 ₪ Âge : 22 ₪ Fonction & Métier : Décurion Cogito ergo sum ₪₪ Citation: ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Numerius Petronius Vop. | | |
| Ca promet des rps grandioses ce nouveau perso Dommage qu'il ne soit qu'éphémère mais ne t'inquiète pas, on te promet une mort trèèèès lente |
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Mer 11 Fév - 22:51 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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₪ Arrivée à Pompéi : 11/05/2013 ₪ Ecrits : 2404 ₪ Sesterces : 65 ₪ Âge : 42 ans ₪ Fonction & Métier : Duumvir Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Verba volant, scripta manent.₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Époux de la louve et amant de la vipère. Lucius Pompeius Publicola | | |
| Très douloureuse aussi (owwww nan pas Richaaaaard T_T). Sois... absolument bienvenu dans les geôles de ma cité. |
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Mer 11 Fév - 23:22 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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₪ Arrivée à Pompéi : 03/02/2015 ₪ Ecrits : 113 ₪ Sesterces : 157 ₪ Âge : 21 ans ₪ Fonction & Métier : Masseuse Cogito ergo sum ₪₪ Citation: ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Oppia Musca | | |
| Bordel, Richard. Il est tellement beau ce gars, c'est vrai que c'est dommage de le tuer, c'est une offense, même. |
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Mer 18 Fév - 11:21 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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₪ Arrivée à Pompéi : 17/03/2013 ₪ Ecrits : 8618 ₪ Sesterces : 223 ₪ Âge : . ₪ Fonction & Métier : . Cogito ergo sum ₪₪ Citation: .₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ? Licinia Domitia | | |
| toi, tu veux vraiment me déprimer Tuer mon riri Comme si la longue série de mes personnages préférés qui meurent sur grand écran ne suffisait pas en ce moment, il faut même qu'ils meurent sur un rpg Bon, trêve de plaisanterie, j'ai hâte de découvrir Egon |
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Dim 8 Mar - 17:00 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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Invité | | |
| Ayé ! Terminée mes pauvres Pompéiens. Tremblez... J'arrive ! |
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Dim 8 Mar - 20:46 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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₪ Arrivée à Pompéi : 17/03/2013 ₪ Ecrits : 8618 ₪ Sesterces : 223 ₪ Âge : . ₪ Fonction & Métier : . Cogito ergo sum ₪₪ Citation: .₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ? Licinia Domitia | | |
| Mon Richard en personnage éphémère... tu veux vraiment voir la princesse des vipères pleurer la mort d'un esclave ? Plus sincèrement, ta fiche est superbe (on ne s'attendait pas à moins avec toi, hein ? ), du coup, j'ai l'immense honneur de prévalider ce bel esclave |
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Mar 10 Mar - 23:18 Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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₪ Arrivée à Pompéi : 29/03/2013 ₪ Ecrits : 2744 ₪ Sesterces : 136 ₪ Âge : 17 ans ₪ Fonction & Métier : Vestale Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui.₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ? Claudia Cassia | | |
| Quelle fiche superbe, sublime! J'ai hâte de voir ton éphémère en action ! Bon eh bien ... je te valide officiellement, je scelle la mort de centaines de personne à Pompéi et dire que je devrais représenter toutes les vertus |
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Re: Egon ₪ Que nos cris résonnent jusqu'aux confins de l'Empire
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