loreia + i don't forgive and i don't forget

(c) heisenberg.

Loreia Minor incarné(e) par isolda dychauk Ave, étranger! Je suis Loreia Minor, fils/fille de Lucius Loreius Blaesus. Né(e) à Pompéi, il y a 20 ans, je suis d'origine romaine. La déesse Fortune a fait de moi une(e) patricienne et j'ai pour famille/maître(sse) mon père Lucius Loreius Blaesus - du moins c'est ce qu'on a pensé jusqu'au jour où ma différence physique avec lui, mais si proche d'un autre a prouvé le contraire -, mon tendre et aimé frère Cnaeus Loreius Tacitus, ma détestable et haïssable belle-sœur Nemetoria Loreia Ovidia et mon demi-frère -que je ne connais que trop peu pour les liens qui nous unissent, mais bien assez pour ne pas le fréquenter - dont je ne souhaite pas donner le nom.   Plus de 2000 ans plus tard, c'est Eris qui m'incarne. Qui es-tu? bon ben mon petit nom c'est Eris, j'ai seize ans, je suis en première L, j'adore l'histoire, lire des romans d'amour bien dégoulinants et écrire (sinon je ne serais pas là ) et je vis en Bretagne     Je me sens perdu et j'aimerais bien avoir un parrain ou une marraine : NON. Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [*]que mon personnage soit adapté en scenario (même si s'en est déjà un ). Mais ça n'arrivera pas. [*]

(c) heisenberg.

→ Ce que je pense de Pompéi
Cette ville est, à mes yeux une pure merveille. Un paradis terrestre. Elle m'a vu naître, grandir, souffrir et aimer. Elle fait autant partie de moi que moi d'elle. Il m'est totalement impossible d'imaginer une vie où je ne serais pas venue au monde à Pompéi. Je ne connais que ses rues, bien que le monde soit beaucoup plus vaste. Cependant, les habitants ne font pas la ville et les dieux savent à quel point je hais les pompéiens. Qu'ils soient tous maudits. Que leurs mots injurieux les étouffent. Qu'ils rejoignent Pluton au fin fond des enfers.  Je les réduirai tous au silence pour leurs murmures calomnieux sur ma personne et sur ma famille. La vengeance est un plat qui se mange froid … mais que l'on peut très bien déguster.

→ Ce que je pense de la politique
La politique n'est qu'un jeu où tout le monde peu participer, il suffit juste de connaître les règles. Un échiquier géant où chacun n'est qu'un pion que la Fortune déplace à sa guise. Tous les hommes d'états ne sont que des hypocrites, menteurs et tricheurs. Leur intégrité est compromise. Mais, si je dois faire moi aussi partie de ce jeu immoral pour me venger de qui de droit, alors je m'évertuerai à apprendre toutes les failles et les faiblesses de mes adversaires afin de remporter la victoire. Et pour ce fait, je compte sur Cnaeus pour me guider.

→ Ce que je pense des jeux
J'apprécie les jeux malgré le dégoût qu'ils m'inspirent. J'admire les gladiateurs et leur agilité féline face à leurs comparses ou bien devant ces créatures exotiques. Cependant la cruauté de ce divertissement me rappelle la violence dont me gratifiait mon père. Comment je ne pouvais rien faire contre cette autorité parentale si haïssable. Alors, lorsque j'assiste à ces combats, je ne peux m'empêcher d'être tiraillée par la fascination qu'ils exercent sur moi et sur l'aversion profonde qu'ils m'insufflent.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
Ce que je désire le plus au monde, c'est par dessus-tout la réussite de mon frère. Il aspire si ardemment à rehausser le nom ternit de notre famille que son souhait est devenu mien. Je ferais tout pour regagner la gloire d’antan, celle d'avant la politique minable de mon père. Ce père que je hais tant pour une multitude de raison. Me voilà à moitié ravie de le voir agonisant sur son lit de mort. Mon seul regret ? Ne pas l'avoir achevé sur l'instant avec ce poison si discrètement mis dans son verre. Sentir l'odeur de pourriture envahir le palais tandis qu'il aspire de plus en plus à mourir pour taire les souffrances qui le tiraillent me dégoûte. Heureusement, par un étrange coup du sort, il croit ma si merveilleuse et haïssable belle-sœur coupable. Si seulement les dieux pouvaient pencher en ma faveur et la faire passer de vie à trépas. Ainsi, je serais définitivement débarrassée d'elle et récupérerais mon frère.

→ Ma pire crainte
Dans cette vie qui m'a été si cruellement donnée, je ne crains que peu de choses. La peur et l'appréhension sont des sentiments que j'ai si souvent ressentis qu''à présent, ils me sont totalement indifférents. Je ne ressens plus que de la détermination à ne jamais apparaître comme la bâtarde que je suis et que je  refuse cependant de devenir. Ce secret est sûrement l'un des mieux gardé de notre famille. Après tout, qui voudrait posséder une telle honte au sein de son foyer ? Alors, à chaque minute de la journée, je prie pour que jamais je ne sois considérée comme telle. Car à partir de ce moment, mon frère devra faire une croix sur moi ou sur le but qu'il n'a cessé de poursuivre toute son existence. Et je suis prête à tout pour qu'il vive la vie qu'il a tant désirée. Même si cela signifie m'éloigner de lui, de mon frère, de mon sang, de ma vie.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Lorsque je vois tous ces gens se précipiter dans les temples pour vénérer des dieux qui ne sont que cruauté, je ne peux m'empêcher de ressentir une certaine jalousie et de l'incompréhension. Je me demande pour quelle raison mon destin a différé du leur. Ma naissance, certainement et mon geste parricide sans doute. Pourtant, je ne comprends pas ces êtres divins. Je demeure coite devant tant d'indifférence. Leur jugement face à la simple humaine que je suis me mène à les haïr peu à peu. Comment ont-ils pu faire sombrer dans une si affreuse tourmente leur propre création ? Non, décidément je ne comprends pas. Cependant, je ne veux point attiser leur colère et pour cela vénère prudemment Trivia, tantôt bonne avec les humains, tantôt créatrice de leur pire cauchemar. Par certains côtés, je me retrouve dans ses dons et contrairement au reste de la populace je la crains peu. Après tout, je n'ai plus rien à perdre.

Je suis née un jour de deuil. Tandis que l'on pleurait la mort prématurée de ma mère, les gens se penchaient sur mon berceau pour apercevoir le nourrisson qui avait si cruellement atteint à la vie de sa génitrice. Je n'avais que quelques heures et déjà, on me dédaignait. Je n'étais qu'un bébé et pourtant, je venais de commettre un matricide. Une terrible action qui allait me condamner aux yeux des dieux en plus de ma naissance illégitime. Une innocente petite créature vouée aux enfers pour le crime odieux de sa mère. Sa mort, finalement, était peut-être le résultat de son péché.
Or, je ne le savais pas à ce moment précis, mais cet événement allait chambouler ma vie pour la transformer en enfer. Je m'interroge parfois sur ce qu'aurait été mon existence, si ma mère avait vécu. Mon père m'aurait-il traité de la même manière ? Cnaeus aurait-il eu cette ardente envie de reconquérir la place qui nous était due ? Nul ne le sait. On ne change pas son destin et Fortune finit tous par nous écraser un jour ou l'autre.
Ce qui est sûr, c'est que je n'aurais pas été la même personne. Mon frère non plus d'ailleurs. Et lorsque je pense à ceci, je me dis que pour rien au monde je n'échangerais les épreuves que j'ai traversées pour une vie dénuée de l'amour aussi fort qui m'unit à Cnaeus. Seul lui a été présent pour moi durant toutes les années où je subissais l'indifférence des autres. C'est grâce à lui que je garde en partie la raison. Il est mon confident, mon pilier, le soutient indéfectible qui maintient hors de l'eau. Sans lui, je serais déjà morte depuis longtemps. Je lui dois tout et pourtant, j'ai toujours du mal à accepter les décisions qu'il prend. Une vraie petite ingrate.



« Pitié! Pitié ! Faites qu'il meurt ! Faites qu'il disparaisse ! »Je prie depuis plusieurs semaines pour que mon dessein se réalise. Pour que mon père Lucius Loreius Blaesus passe de vie à trépas. Pour qu'enfin je n'ai plus à supporter ses rudes coups à mon encontre. Je me revois, face à lui, les yeux humides, mais ne pleurant point cependant. Je revois son regard froid et cruel me fixer d'une manière si violente que je sens mes entrailles se tordre. Il se prépare à me battre comme à son habitude. À ses yeux, je ne suis qu'une bâtarde. Le résultat du déshonneur que sa femme lui a causé. Et cela, il compte bien me le faire payer. S'il ne m'a pas encore renié, c'est parce qu'il aimait la femme qui m'a donné la vie. Ma mère.
Je me recroqueville contre le mur en marbre. Mes poils se hérissent sous la froideur de la pierre. Mon cœur bat en accéléré. Mes bras se lèvent pour me protéger tandis que les siens s'apprêtent à me frapper. Tout mon corps tremble de peur. Perdue, désœuvrée, déchirée par cette haine qu'il met un tel plaisir à me faire comprendre. Je suis comme un oiseaux pris au piège. Les rires de mon enfance s'évanouir lorsque l'on comprit que je n'étais pas la fille de mon père, mais celle d'un plébéien aimé de ma défunte mère. Pourtant, au fond de moi, je sais que je n'ai rien de la bâtarde qu'ils prétendent que je suis. Oui, je suis la fille légitime de Lucius Loreius Blaesus, déchet de la famille Loreii. Qu'il s’acharne à me faire souffrir ne me fera pas changer d'avis. Or, même si je le considère comme mon véritable géniteur, cela ne m'empêche pas de vouloir le voir se tordre de douleur à mes pieds. Qu'il aille griller en enfer me ferait un bien incommensurable.
Ces pensées me soulagent. Elles me permettent de m'évader tandis que ces points avides s'abattent sur mon corps frêle d'adolescente. J'essaye de me débattre, mais en vain. Je sens le liquide chaud devenu si familier couler sur ma joue. Ma vue se trouble. J'entends la voix confuse de Cnaeus résonner à mes oreilles. Je souris, heureuse de le voir ou du moins de sentir sa présence à mes côtés.

***

Je sursaute et mon souffle résonne dans le temple de la déesse Trivia. Je n'ose pas repenser à ce qui se passe par la suite. Songer à la douleur que doit endurer Cnaeus par ma faute me brise le cœur. Je ne suis qu'un poids dans la vie qu'il mène, même s'il s’évertue à me dire le contraire. Lui qui veut reconquérir Pompéi, ma présence ne peut que lui nuire autant que le souvenir persistant de la défaite sanglante de notre patriarche. Pourtant, il persiste et c'est pour cela que je l'admire autant. Je sais que notre relation va bien au-delà du simple amour familial. Or, ce sentiment ne m’effraie pas. Au contraire, je le sens ronronner dans en moi comme la promesse de jours meilleurs.
Je passe ma main sur ma joue. Ce geste m'arrache un soupir plaintif. Ma peau est recouverte d'ecchymoses et le seul moyen de cacher ce désastre est de porter un voile. Soudain, un bruissement de tissu parcourt la salle. Je n'ai pas besoin de me retourner. Je sais que c'est lui. Il est aussi mon frère, fils de mon «véritable » père. Cependant, je n'ai aucune envie de le connaître car cela voudrait dire que j'accepte d'être une enfant illégitime, ce qui jamais n'arrivera. Il me suite comme mon ombre depuis qu'il connaît mon existence. Causa latet, vis est notissima.



Je bous de rage. Lèvres pincées, je fixe sans cligner les paupières le fuit mûre en face de moi. J'ai envie de le prendre et de l'écraser entre mes doigts. De le réduire en miettes. Au lieu de cela, je ne bouge pas et continue à le regarder d'en ciller. Dans quelques heures, Cnaeus va se marier avec la fille la plus fade que je n'ai jamais vue. Elle a deux an de moins que moi et avec ses beaux yeux, elle croit qu'elle va pouvoir conquérir le cœur de mon frère. J'espère qu'elle se trompe bien. J'espère que jamais Cnaeus ne me remplacera par un amour faux et passable. Le voir épouser cette beauté insipide me désespère. Je sais qu'il m'aime sincèrement et plus qu'un frère ne le devrait et il en va de même pour moi. Cependant, je n'ai aucune envie de le partager avec une autre qui malgré ses airs fragiles n'hésitera pas à tout faire pour le posséder corps et âme. J'enrage de les voir ensemble, même si pour l'instant Cnaeus ne semble pas vraiment très attaché à cette Nemetoria Loreia Ovidia. Elle possède un charme certain qui le fera tomber un jour ou l'autre et à ce moment, je me retrouverai seule avec seulement mes yeux pour pleurer cette perte affreuse et les mots dédaigneux de mon cher et tendre père pour me réconforter. Cette union me contrarie. Malgré mes remarques piquantes et plaintives, Cnaeus n'avait pas cédé. Ni lui, ni père.
En pensant à cet homme que je haïs tant, toutes sortes de choses viennent m’effleurer l'esprit. J'ai beau prier pour sa mort imminente, les dieux s'acharnent à me laisser dans la tourmente. Tout cela, c'est à cause de lui. Il veut m'éloigner de Cnaeus. Après tout, je ne suis qu'un obstacle sur la route qu'il a choisie pour son fils adoré. Ah, que je le maudis ! Si seulement je pouvais faire en sorte que sa fin advienne prématurément ! Ainsi, je serai enfin débarrassée de ces remarques aigries à mon égard. Je continue de fixer le fruit et puis une idée me traverse l'esprit. Je vais moi-même attenter à ses jours. Le seul problème est de savoir comment … Ni armes, ni accidents hasardeux en ce jour festif. Non, il me faut quelque chose de plus subtil, de plus discret. Je réfléchis, réfléchis jusqu'à ne plus voir le fruit, mais une petite poudre blanche, de la farine. La solution m'apparaît presque instantanément.

***

Une esclave vient me réveiller en pleine nuit, une tirade paniquée aux lèvres Je me lève assez facilement, le sommeil troublé par toutes les pensées qui traversent mon esprit embrumé. Je sors de ma chambre, mes pieds effleurant le sol glacé de la villa. On me conduit à la chambre de mon père. Mon visage fermé ne laisse paraître aucune émotion alors qu'à l'intérieur je trépigne de joie. Ainsi, mon plan a fonctionné. Le poison discrètement distillé dans le verre de vin de mon père a fonctionné. Le monstre que je nomme si communément « Père » allait enfin mourir après plus de quinze années d'attente. Impatience de voir son corps se vider de la vie qui l'anime, je dépasse la servante et me mets à courir. J'arrive à la chambre et sans plus tarder ouvre la porte. Or, ce n'est pas un homme sans vie que j'aperçois, mais plutôt un malade au teint cadavérique et aux lèvres teintées de rouge. Les poings serrés je m'approche du bourreau. Il a du mal à respirer et ne cesse de cracher du sang. Ses yeux sont parcourus de minuscules petites veines. Ce portrait m'effraie et me délecte à la fois. Je sens dans mon ventre comme un soulagement, la certitude d'avoir gagné une bataille après plusieurs années de guerre sanglante.
Cnaeus arrive peu après, des cernes sous ses yeux et la voix rauque. Il vient de passer la première nuit avec sa femme. La jalousie me consume. Je ne croise pas le regard lourd de sens qu'il me porte. Il se poste près du lit, inquiet pour celui qui a su lui montrer le chemin à suivre. Je ne ressens aucune pitié pour cet être infâme. Je rejoins Cnaeus et pose ma main sur son épaule. Il me l'effleure du bout des doigts avant de reporter son attention sur Lucius Loreius Blaesus. Sans aucun mot, je devine qu'il sait mon acte parricide. J'ai perçu son regard inquisiteur et pourtant compréhensif au mariage. Et à présent le voilà déchiré entre son père et moi, sa sœur comme il le fut tout le reste de sa vie. Je ne peux être compatissante. J'ai accompli ce que je devais accomplir. Ou du moins, la première moitié de mon sombre dessein, car, Lucius n'est toujours pas six pieds sous terre. J'attends l'avis du médecin qui est en train de l'examiner. Son verdict est clair : mon père ne va pas s'en sortir, néanmoins, le décès n'est pas pour tout de suite.



Les dieux savent que même si j'ai failli à la mission que je me suis insufflée, je ne cesse de chercher le bon moment afin de la terminer. Or, Cnaeus demeure jour et nuit dans la chambre de notre père ce qui ne fait que renforcer ma frustration. Pourquoi ne me le laisse-t-il pas l'achever ? Mon impatience croît de minutes en minutes. Et comme à mon habitude depuis la fameuse nuit, je pénètre encore une fois dans la pièce aux senteurs morbides. Contrairement aux autres femmes qui sont présentes, je ne porte pas de tissu à mon nez. Sentir que la mort est tout près pour mon père me rassure. Je me poste auprès de Cnaeus et lui chuchote à l'oreille, irritée par le don qu'il a pour repousser l'inévitable. « Quand vas-tu donc me laisser terminer ce que j'ai commencé ? ». Il me sourit tristement avant de caresser tendrement ma joue. J'apprécie ce geste affectif. Cette tendresse me manque horriblement depuis qu'il veille inlassablement sur notre père. Je profite de ce court instant pour le serrer contre moi, ma tête appuyée sur son torse. Je sens que quelque chose ne va pas ou du moins que quelque chose le perturbe. Il me repousse gentiment, son regard un peu vague se pose sur mon minois enfantin. « Loreia, j'ai quelque chose d'important à t'annoncer ». Les battements de mon cœur s’accélèrent. À son ton, je sais que la nouvelle ne va pas me plaire. Je me recule, croisant le sourire fourbe et satisfait quoique faible de Lucius. J'ai la soudaine envie de me jeter sur lui, de l'étrangler avec mes propres mains pour que la dernière image qu'il est de ce monde soit la mienne. Cependant, la poigne ferme de Cnaeus me retient. « Loreia écoutes-moi ! Je pense, avec père, qu'il serait de bonne augure d'envisager une alliance avec une famille alliée, pourquoi pas les Licinii ? Après tout, Nemetoria est de deux ans ta cadette et est déjà ma femme. » Je sens mes jambes se dérober à l'entente de cette nouvelle. Ai-je bien entendu ? Compte-t-il me vendre aux Licinii comme on vend une vache ? Je le fixe, incrédule. Je sais que tout cela est l’œuvre de Lucius qui n'aspire qu'à nous éloigner et pourtant j'en veux à Cnaeus d'avoir si aisément accepté. Est-il seulement conscient que cela ne nous séparera que davantage physiquement l'un de l'autre. Furieuse et désemparée, je le repousse violemment avant de m'enfuir à toutes jambes, hors de cette demeure aux relents pestilentiels, loin du cruel destin que m'ont infligé les dieux et les hommes. Res impura omnia impura.