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 Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.



POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Exilés
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Jeu 3 Juil - 23:25
Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




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Flavia Albina
incarné(e) par Viva Bianca
Ave, étranger! Je suis Flavia Albina , fils/fille de Numerius Flavius . Né(e) à Pompéi , il y a 28 ans, je suis d'origine romaine . La déesse Fortune a fait de moi une(e) Patricienne et j'ai pour famille/maître(sse) Flavia Pompéia, Lucius Pompeius Publicola ainsi que leurs enfants Marcus, Virginia, Auréa, et Flavius  


Plus de 2000 ans plus tard, c'est isis qui m'incarne. Qui es-tu?
Bonjour les amis! J'ai actuellement 19 ans et je suis étudiante en deuxième année d'histoire! Vous pouvez le deviner il s'agit de ma plus grande passion. D'ailleurs j'espère un jour pouvoir l'enseigner! Sinon j'aime le théâtre, le cinéma, les séries. Je pense être une personne assez joyeuse alors j 'espère bien m'amuser en votre compagnie  Sourire 
Coucou tout le monde ! Je me sens perdu et j'aimerais bien avoir un parrain ou une marraine : OUI [ ] / NON [ x ] (cochez la réponse souhaitée). Pour plus d'infos sur le parrainage, c'est ici.
Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [] que mon personnage soit adapté en scenario / [] que le staff le fasse disparaître de Pompéi par mort ou départ (cochez selon vos préférences), et ce pour permettre à mes liens importants de ne pas être gênés. Mais ça n'arrivera pas. hem

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Pompéi & moi

→ Ce que je pense de Pompéi
Pompéi cette ville que j'aime et déteste tant à la fois.Plus qu'une mère pour moi autre fois,cette douce citée est devenue ma prison. Enfant, j'aimais en arpenter les ruelles.C'était avec joie, que je regardais les murs aux couleurs ocres de la ville,tout en humant un doux parfum d'olive.J'observais avec curiosité,les affiches électorales présentent sur les façades des commerces. Je me revois encore courir au grand dam de mes parents pour me rendre dans l'arène sentir le sable, se mélangeant au sang. Pompéi était pour moi, une sorte de lieu parfait. Il m'était inconcevable de vouloir la quitter pour Rome par exemple ou un lieu sauvage. Je ne rêvais pas d'aventure. Non, simplement de marcher fièrement sur ses dalles. Maintenant ,tout me répugne.Je déteste ce lieu qui est la cause de tous mes soucis. Je me meurs  dans cette ville.Chaque habitant semble se moquer de moi. Pourtant, je ne peux m'envoler vers d'autres horizons. Pire,au fond de moi, je ne le veux pas. Les habitants d'ici ne savent pas,que Pompéi est mon écrin. Un jour viendra, j'y brillerai de nouveau.
→ Ce que je pense de la politique
La politique. Voilà un mot que les hommes ne cessent d'avoir à la bouche et les femmes trop peu. Il y a des années que j'aurais dû m'y intéresser. C'est de sa faute, si l'on m'a fait espérer que je pourrais convoler selon mon choix.La politique m'a laissé en paix jusqu'à mon dix-huitième anniversaire.Depuis, elle ne m'apporta que la ruine, contrairement au reste de ma famille. En raison , de la politique, les femmes sont données en mariage à étranger. Je ne suis pas une exception à la règle.Prendre un époux,afin d'aider sa famille est le devoir du sexe faible.C'est ainsi, pour satisfaire ses chères ambitions politiques, que mon beau-frère, Lucius me donna comme épouse Spurius Cassius pour l'unique raison qu'il était un membre influent de la politique locale. Trop futile, j'ai préféré plonger dans les mondanités sans voir que la politique pouvait me rendre quelque chose que l'on m'a retiré jadis : ma liberté l'heure actuelle, je tatillonne.J'essaye de comprendre les règles, pour moi aussi rentrer dans le jeu prochainement.
Quant à la politique locale, j’hésite entre deux attitudes. D’un côté soutenir comme je peux Lucius, peut se révéler être bénéfique. J’aide ma famille, comme n’importe quelle femme de l’empire se doit de le faire. De l’autre, en aidant ses adversaires, il se pourrait bien que je tienne ma revanche sur le destin.  
→ Ce que je pense des jeux
Les jeux, sont l'un de mes plaisirs favoris. J'aime depuis toujours me rendre à l'arène. J'avoue ressentir une certaine excitation lorsque les chevaux prennent place lors des courses.Mais mon spectacle préféré est bien évidemment celui des gladiateurs. L'odeur du sang mélangé au sable est m'est devenue familière au fil des années. Les combats ou la violence qui en émanent, me permette de ne plus penser à ma triste vie.De plus, en tant que femme de haut rang, je peux parfois décider de l’issu du combat! Du temps de mon ancien mari, je pouvais me rendre dans les ludus de Pompei. Ces hommes sont telles que des bêtes sauvages : brutes. Depuis peu, j'espère pouvoir un jour avoir mon propre gladiateur, afin qu'il honore sa domina de part ses victoires dans l'arène.Alors,oui on vous dira peut-être que plusieurs d'entre eux ont fréquenter ma couche. Mais croyez-moi, seuls leurs qualités sportives m'intéressent !
→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
J'aimerais pouvoir un jour quitter la maison de ma chère soeur. Ce n'est pas que je me sente mal avec les Pompeii. Non au contraire, même si Lucius me considère comme le mouton noir de la famille, je fais partie de cette famille. Seulement être la maitresse de ma propre maisonnée est quelque chose qui me manque. J’aime commander, diriger ou créer moi-même mes propres réceptions. Chaque jour passé, en plus dans cette maison me rappelle mon infortune. Ma sœur ainé réussit tout ce qu'elle entreprend alors que je rate tout. Seulement, cette première inspiration va de paire avec la seconde : prendre un nouvel époux. Tout est de la faute de Lucius. Si j'étais restée avec mon époux, Flavius aurait pû passer pour son fils. Ainsi, je serais une femme bénie des dieux. Maintenant, je dois chercher un homme qui voudra bien faire de moi son épouse. Néanmoins je ne veux pas n'importe qui. Seul un homme riche pourrait être un potentiel parti. Dés lors, vous l'aurez compris, j'espère pouvoir retrouver mon ancienne situation. Sur le plan familial, je souhaite que ma chère nièce Aurea trouve la paix. Sa situation me fait tellement penser à la mienne. Cependant, je ferais tout pour l'empêcher de prendre le même chemin que moi.
→ Ma pire crainte
Si un jour la vérité venait à se savoir pour Flavius, je ne mériterai même plus d'être sur terre. Je n'ai rien à offrir à cet enfant. Ma soeur sera pour lui une merveilleuse mère, je le sais d'avance. Quant à Lucius, il l'élèvra dans le droit chemin. Grâce au nom des Pompeii, mon enfant à un avenir tout tracé devant lui. Quand je le vois déambuler dans la villa, mon coeur se serre à chaque fois. Un jour j'aurais d'autres enfants je le sais, mais il me faut faire une croix sur mon ainé. Cette pensée me fait souffrir. Né loin de notre mère à tous Pompéi, je prie pour qu'un avenir radieux s'ouvre à lui. Je me soucis beaucoup du cas d'Aurea aussi. Marié à un homme aussi vieux n'est guère un destin enviable. Je cherche une solution pour l'aider. J'aime ma nièce presque comme une petite sœur. La voir sombrer dans le chagrin me blesse.
Quant à moi, je crains de ne jamais me marier à nouveau. Je resterai une tante,sans enfant à la charge de ma famille. Non ce n'est pas possible. Les parques doivent avoir une autre idée de ce que va être ma vie.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Vu mon mode de vie, plusieurs personnes doivent penser que je méprise les dieux. Cela est bien faux. J'aime accomplir bons nombres de sacrifices. Je crois que les dieux nous protègent, me protège en quelque sorte. La naissance de Flavius est une épreuve qu'ils m'ont envoyé pour me mettre au défi. Souvent le soir, je vais prier grâce à un hôtel installé dans ma chambre. J'espère que de là où ils sont, ils m'écoutent. J'ai tant besoin de leurs lumières pour me guider. J'ai l'intime conviction que les divinités ont choisis ma famille. Virginia ma nièce est devenue une vestale. C'est un signe qu'il ne faut pas prendre à la légère. Pendant longtemps, je ne vénérai presque que Venus La déesse de la beauté était une sorte de modèle pour moi. Je m'imaginais être une sorte de nymphe Aujourd'hui les choses changent. En effet, il ne faut pas croire que Eris ou ses filles sont les seules à remplir mon cœur. Je veux croire qu'un jour la sagesse des dieux me touchera.

Mon histoire

Le soleil se lève sur les plaines de Pompei.L'air chaud de l'été emplit déjà la pièce. Doucement la lumière parvint à se frayer un chemin au-dessus de ma couche.J'avoue n'avoir aucune envie de me lever aujourd'hui.Lorsque je revêts ma robe,je ressemble à un acteur qui porte un masque.Toute ma vie n'est qu'une mascarade.Je me dois pourtant d'y participer.

Péniblement, je me dirige donc face à mon psyché.Mon esclave personnelle est déjà là. De dos, je remarque ma marque sur son épaule, celle de sa domina. Sa vie est t-elle plus enviable que la mienne?J'en doute pourtant. Caressant ma longue chevelure blonde,je scrute intensément mon visage. Ma jeunesse semble se dérober sous mes pas. Je me demande ce qu'il reste encore de la petite Albina que j'étais : la fille cadette d'une riche maisonnée.Ma position de seconde me convient parfaitement.
En effet, je pouvais ainsi jouir d'une plus grande liberté que mon ainée.Tous les espoirs de notre famille reposaient sur elle et non sur moi.Mère s'étant révélé incapable de donner un fils aux Flavius, c'est par ma chère sœur que notre nom continuerai.

D'ailleurs,je n'ai jamais doutée de ses qualités.De dix ans plus âgée, elle fut une véritable mère.Une amie,une conseillère,je sais tout ce que je lui dois. Belle, distinguée, intelligente, ma sœur était le joyau de notre famille. Elle était pour moi une sorte de divinité en chair et en os.J'évoluais dans ses pas. J'étais son ombre.J'appréciais de ne pas être sur le devant de la scène.Plus les ans passés, plus je savais au fond qu'elle ferait une bien meilleure domina que notre mère. Celle-ci préférait participer aux diverses mondanités plutôt que de s'occuper de nous.Je crains avoir hérité son caractère frivole

Fort heureusement Flavia était là pour essayer de me guider vers le droit chemin.C'est-à-dire qu'en plus d'une mère inexistante, je possédais également un père absent. La politique était son seul amour. Je ne faisais pas partie de ses plans. De cette façon, je pouvais conserver une certaine innocence en dépit de mon éducation. Il était hors de question qu'on ne me forme pas à tenir un jour, une maison. J'ai pu profiter des enseignements des meilleurs percepteurs de ma ville.
Cela ne changea pas avec le décès de mon père. Les dieux le rappelèrent à lui alors que je n'étais qu'une enfant. Je ne sais même pas,si j'en ai ressenti une certaine tristesse. Père était pour moi plus du domaine du fantasme que de la réalité. Je ne le voyais jamais. En fait sa mort n'eu que peu d'incidence sur ma vie.

Néanmoins, il me fallait quitter ma chère villa.Ce lieu si cher à mon cœur. J'allais rejoindre ma sœur dans sa propre demeure.Oui, Flavia était mariée!La mort de père fut si brutale, que le laps de temps écoulé sans elle me semblait dérisoire.En se mariant selon la politique, mon ainée accomplissait son devoir. Son mari Lucius était le fils d'une des plus grandes familles de notre ville:les Pompeii.
Il devint une sorte de grand-frère. Beau,charismatique, il était l'homme parfait pour elle. L'avenir lui tendait les bras. De plus, il me laissait vivre avec elle. Je m'estimais bénie des dieux. Je n'avais cure de cette question de tutelle. A l'époque je ne savais même pas ce que cela voulait dire. Pour mon plus grand malheur.

Je devins rapidement la chef de la fratrie Pompeii. D’abord un neveu, puis deux nièces virent se joindre à la tribut que nous formions Servillia, Praedita et moi.A peine plus âgée, je les ai souvent considéré comme mes frères et sœurs. En même temps, quelle tante grotesque je faisais. J'étais souvent, celle qui était la plus réprimandé par ma sœur. Cette période fut l'une des plus joyeuses de ma vie.. Je ne manquais de rien. Le mot malheur ne faisait même pas partie de mon vocabulaire. Je pensais que tout continuerai de la sorte.

En fermant les yeux, je peux encore voir les courbes de mon corps d'adolescente. Il faut dire qu'à partir de mes douze ans, je cessais d'être une enfant pour toujours.Le regard des hommes changeaient sans que je m'en préoccupe. Ma vie me paraissait si douce. Je n'étais pas pressé de devoir me marier!Certes parfois je ressentais un peu d'émoi en regardant un jeune patricien. Toutefois, le mariage n'était pas une priorité.Je préférerais choisir mes tenues pour une prochaine réception, que de devoir jeter mon dévolu sur un prétendant.Mes amies me quittaient les unes après les autres afin de devenir des épouses.Moi non.

Je dois admettre que durant un certain temps,j'étais terrifiée à l'idée de devoir quitter ma sœur.Cependant, je grandissais sans que le mot d'union ne se soit présentée à moi. Ma naïveté était grande.Je me croyais libre de mes choix.J'allais avoir dix-huit ans et en mon fort intérieur j'avais envie d'indépendance.Je fus stupide d'espérer que je pourrais trouver un romain de bonne famille qui me plairait.De cette façon, je n'attirais pas le déshonneur sur ma famille.

A dix-huit  ans,on croit que la vie nous tend les bras. Le mariage n'effleurait guère mon esprit d. Avoir des enfants n'était pas dans mes priorités puisque j'en étais encore moi-même une.Non, j'adorais ma vie dans la villa des Pompeii

J'étais toujours aussi proche de ma chère sœur Flavia.Je me souviens de ses nombreuses soirées où nous parlions elle, moi et Aurea. Il faut dire que depuis longtemps celle-ci est ma nièce préférée. J'ambitionnais de jouer, le même rôle que la « Lupida » avait eu auprès de moi.Le reste de la maisonnée m'enchantait.
Je flattais sans cesse les ambitions de conquête du petit Marcus.J'aimais rêver avec lui de ses nombreuses victoires J’étais également proche des belles sœurs de Flavia. Je considérais par extension Servilla et Praedita comme des membres de ma propre famille. D'ailleurs nous étions toutes les trois si proches en âge ! Cela était naturel

Cependant, il y avait un Pompeii, que j'affectionnais plus que tout :Lucius. Depuis mon arrivée dans cette maison, il était un protecteur pour moi. Patriarche de la famille, il nous permettait de mener une vie paisible. Je regrettais de ne pas le voir assez dans notre domus Il était fort amusant de le voir discuter à table.

Avec ses sœurs,ils formaient tous un trio exceptionnel. Il émanait d'eux un charisme impressionnant. Ma propre sœur était l'une des rares à pouvoir rivaliser. Je me rappelle avoir été envieuse de leur aptitude à discuter.J'étais trop timide à l'époque pour qu'un son ose sortir de ma bouche. De plus, en tant que femme, il était inconcevable pour moi de parler. Cela eu était contraire à nos valeurs. Je résidais ici selon le bon vouloir de Lucius, je ne voulais point lui déplaire.

C'est pour cela, que je suis restée indifférente lorsqu'on m'appris qu'on avait donné ma main à un certain décurion. Ma première réaction fut d'en blâmer ma sœur ! Ma chère sœur, si belle, joyeuse devait vouloir que je reste cantonner dans son ombre !Elle me donnait à un homme,sans ambition afin que je ne prenne pas sa place à Pompéi. Ma destinée me semblait si triste par rapport à la sienne ! Sa vie était quasiment parfaite. Je ressentais un profond sentiment d'injustice.En fait, il n'en était rien.Flavia n'avait aucun droit sur moi.Une femme est à son époux.

Elle appartenait à Lucius.Or celui-ci était mon tuteur depuis la mort de mon père. J'ignorais cette chose. Ainsi, il conservait des partis plus avantageux pour ses sœurs. Moi, j'avais droit à un homme mélancolique.Je n'avais pas la force de lui en vouloir. D'ailleurs je n'en avais pas le droit. Une romaine se doit d'être une épouse fidèle, soumise voire aimante envers mon mari.Dès lors, il me parut nécessaire, de luter contre mes propres sentiments et envies de libertés. Un futur digne se présentait à moi. Je devais le suivre.

J'avais déjà vu mon époux au cours de certaines soirées organisées dans la ville. Il ne m'avait guère ébloui de part son intelligence.Fade était le mot qui le décrivait le mieux.Nous ne nous sommes parlé que deux fois avant le grand jour. Ma sœur avait très bien organisé l'évènement, même si sa propre union était plus grandiose dans mes souvenirs.J'étais sois disant, la plus jolie jeune mariée de Pompei. A partir de ce jour, j'apprenais à jouer la comédie. Sourire alors que l'on a envie de pleurer était un acte coutumier. La jeune fille joyeuse que j'étais mourût ce soir-là

Au final, je ne voyais que peu le fantôme qui me servait de mari. Spurius Cassius était fort étrange. Il parlait seul. On le voyait souvent pleurer, refuser de se laver ou d'uriner. Cet homme possédait tout grâce à sa naissance, non son mérite. Le souvenir de mon beau-frère si ambitieux rendait encore plus cruel le constat.J’étais persuadé qu'il n'était pas bien dans sa tête. Les dieux devaient le punir. Je le détestais de me priver de la grandeur qui m'était dû.Aucun amour ne naissait entre nous. La jeune épouse que j'étais, passais beaucoup de temps à pleurer sur sa situation. Je jalousais encore plus ma sœur qu'avant. J'en voulais à Lucius de m'avoir attaché à vie à un fainéant.

Nous ne nous parlions presque pas. Sa mère s’inquiétait de ne pas voir mon ventre rond s'arrondir. Elle craignait que je tombe dans un état similaire à celui de son fils. De cette façon, elle eu l'idée judicieuse de me permettre d'organiser moult soirées. Dans un certain sens, elle me sauva la vie.
Je trouvais du réconfort à dépenser des sommes folles.Mes esclaves passaient la plupart de leurs temps à me montrer de nouveaux bijoux.Je voulais faire de ma villa, le lieu le plus en vue de ma ville.Faire mieux que ma sœur était l'une de mes raisons de vivre.Artistes, peintres, sculpteurs, politiques, étrangers, charlatan tous pouvaient venir me visiter.Je m'étais décidé à ne pas me reposer une minute. Cela m'occupait l'esprit.Je me sentais moins vide. Mon existence avait en quelque sorte un sens.

Mais, je ne pouvais me décider à ne jamais ressentir de l'affection , du désir pour un homme. J'étais seule. Trop seule. Ma fastueuse vie sociale ne me contentait plus. J'avais l'impression de ressembler à ma mère.C'est au cours d'une de ses soirées en compagnie de l'élite de Pompéi, que je sautais le pas:j'avais trompé mon mari.
Je risquais de jeter la honte sur ma famille. Pourtant, je continuais.A chaque fois, j'éprouvais du remord. Un jour, je dû même me confier à ma sœur. Je m'attendais à la pire réprimande. Il n'en fut rien. Mon ainée voyait que mon malheur grandissait chaque jours.Je ne devais pas créer de scandale. Voilà.
N'importe quel homme  pouvait devenir mon amant( sénateur, esclaves, soldats, gladiateurs ..)Je ne me préoccupais même pas de vraiment le connaître. J'avais soif d'amour. J'avais l'impression de poignarder mon époux lorsqu'un homme me touchait.Je m'étais habituée à cette vie pleines de risques.Avec le temps, j'obtins le droit d'aller visiter les ludus de Pompei.J'aimais voir ses bêtes combattre sur le sable.Pire, j'y allais pour choisir qui allait rejoindre ma couche, le soir venu.Vêtu d'un masque, je goûtais au peu de plaisirs que me donnait la vie.

Mes journées se ressemblaient presque toutes. Ma vie était parfaitement rythmé. Trop bien rythmé. Je me montrais souvent aigrie avec mes esclaves. Je ne voyais quasiment jamais mon époux. Ma nièce Aurea était l'une de mes compagnes favorites. Ensemble nous passions beaucoup de temps à bavarder.Ce n'est plus une enfant. Je la voyais chaque jour devenir de plus en plus belle. Une déesse vivant parmi les mortels tel que le fut sa propre mère.

C'est un homme qui vint troubler ce fragile équilibre. Non pas un amant. Le seul en qui j'avais confiance : Lucius. Avec les années, j'avais oubliée ma rage envers lui.Mes espoirs d'adolescente réduits  à néant, je me forçais à croire qu'il avait cherché à me rendre heureuse. En effet, je n'avais pas à me plaindre. J'étais l'une des femmes les plus riches de la ville. Seul mon coeur souffrait. Néanmoins, mon existence me convenait. J'adorais diriger ma maison. Je faisais presque ce que je voulais.

Aucune délicatesse. Aucune tendresse dans la voix de Lucius. Je devais donc divorcer pour convenir aux désirs d'une veille ennemie:la politique.J'avais dû mal à croire que mon époux, si nonchalant, ai réussis à se mettre dans le camp des opposés de mon beau-frère. Quelle déception
J'étais donc obligée de divorcer sans explication.C'était la pire humiliation possible pour une romaine. D'autant plus lorsqu'on est une patricienne.J'étais devenue inutile à mon clan.Une rage immense m'envahit. Pourtant,une fois encore, je ne pouvais pas hausser la voix devant l'époux de ma sœur. Seuls mes esclaves furent victimes de ma fureur. J'étais sommée de quitter cette maison, ma maison ! Je redevenais une cadette  encombrante. Pire tout Pompéi ne parlerait plus que de cela!Humiliée j'étais.Mon orgueil était à terre.

Mon époux ne protesta pas.Moi qui était  arrivée ici en grande pompe, je partais presque comme une vulgaire esclave.On me ramenait à la demeure de ma sœur. J'avais l'impression d'être infantilisé.On voulait que je me taise.Retourner dans l'ombre de Flavia m'était insupportable. Je la jalousais encore plus qu'avant.

A nouveau, j'étais une statut capable de sourire.Je ne pouvais plus prendre part à aucune décision.Je détestais Lucius autant que je l'aimais. J'avais cru à un moment éprouver un certain sentiment interdit pour lui.Comme je m'étais bien trompée. Cet homme ne pense qu'à lui.Sa propre ambition l'étouffera.. Il interdit à Marcus d'aller là où les Dieux ont envie qu'il soit : sur un champ de bataille.

Encore plus malheureux, il vendit l'innocence de ma chère Aurea comme il fit avec moi. Seulement, la situation de ma nièce est encore plus délicate.
Certes, elle est la femme la plus puissante de Pompeii. Encore plus que sa mère. J'en suis fort aise. J'essaye d'abréger son malheur.Je la guide comme je peux. Je ne pourrais pas la voir s'étioler au bras d'un vieillard C’est pour cette raison, qu'il y a peu, je lui ai donné le nom d'un herboriste. Devenir veuve est une situation bien plus enviable, que celle d'épouse divorcée. La mort est son unique échappatoire. Pas le divorce.Aurea s'éloigne de plus en plus de ses parents.Moi seule peut la comprendre dans cette famille.Des liens plus forts que ceux du sang nous unissent. Je souhaite que ma sœur puis son époux souffre comme moi j'ai souffert.En effet, une fois revenue dans cette maison maudite, d'autres tourments m'ont atteint.

Le retour dans la villa des mystères, ne changea pas mon mode de vie. Je voulais reléguer Flavia dans l'ombre. Je ne faisais qu'aller de banquet en banquet afin d'être vue. Je multipliais les amants avec encore plus de hargne qu'avant. Je perdais la tête. Mon esprit me jouait des tours. Je devenais imprudente.Si bien que je tombais enceinte.

A l'heure actuelle, je ne peux même pas dire qui en est le père.Je m'en moquais. Je ne parvenais pas à accepter que la vie pousse en moi. Démunie, je courrais me réfugier dans les bras de ma soeur, seule personne à qui je pouvais me confier. La décision fut prise de partir loin de Pompéi. Ma grossesse était trop avancée pour que l'on puisse rester dans cette ville ou y mettre fin.
Oui, je ne voulais pas de cet enfant. L'abandonner à sa naissance était la seule solution pour lui et moi. J'étais persuadée qu'il mènerait une vie meilleure loin de nous tous. Avec quelques esclaves de confiance nous trouvâmes refuges dans les hauteurs.

Vivre en dehors de ce gouffre qu'est Pompei me fit le plus grand bien. Je rêvais d'un avenir meilleur. Jour après jour, je sentais que je m'attachais à cet enfant sans pouvoir me l'autoriser.Dès sa naissance, il me quitterait. J'aurais d'autres enfants à aimer. Pas celui-ci.

Pourtant, lorsque l'on me le mit dans les bras, je ne pouvais plus accepter qu'il parte. J'étais sa mère après tout. Mais sans mari, sa naissance couvrirait ma famille, notre nom d'une honte indélébile. C'était un petit garçon. Blond comme les blés. Le portrait vivant d'Aurea au même âge. Un garçon ! Une bénédiction des dieux! Par amour pour moi, ma sœur me fit le plus grand des cadeaux. Il était convenu que Flavius serait reconnu en tant que Pompeii. Fils d'un Dumvir, il serait promis à un grand avenir. Je devenais de fait, la tante de ce petit chérubin. J'étais au fond d'un gouffre.

Depuis, je couvre l'enfant de présents.. Tous me croient être une tante aimante. En vérité, je ne sais pas  comment agir. J'oscille entre amour et indifférence à son encontre.Je ne peux pas concevoir ma vie sans le voir grandir. Seulement, c'est une déchirure de l'observer. Je ressens une brûlure, tel un long couteau que l'on me rentrerait dans la gorge.

Ma haine pour Lucius ne peut  m'empêcher de lui en être reconnaissante.J'essaye à présent de regagner son estime. Cela est difficile. J'ai commis la pire des fautes. Toutefois, je ne regrette rien. Les dieux en ont décidé ainsi. D'ailleurs, je ne peux me résoudre à ne plus en vouloir à mon beau-frère. Il est la cause de mes maux!
J'aime le défier. C'est une distraction. Voilà pourquoi, je continue de fréquenter Licinia Cornelia malgré son avis. Une Licinii, quel scandale ! Les ennemis de notre famille.Suis je une Pompeii?Cornelia m'amuse. Elle ne me juge pas. Cette femme, est la seule à pouvoir m'alléger le cœur.
De plus, j'aime à croire qu'un jour nos deux clans seront à nouveau en bon terme. En attendant, cette amitié cause des soucis à Lucius. Je m'en réjouis!

Les fêtes ne me rendent plus joyeuse. J'y assiste, mais le coeur n'y est pas. En dépit de mon départ durant ma grossesse, j'ai gardée contact avec toute la ville. Je continue de cultiver mes relations.

Il me faut à tout prix sortir de l'influence de Lucius. Sinon je mourrais.Je dois avoir un mari. Rapidement.Fonder une puissante famille, apte de rivaliser avec les Pompeii.Tel est mon objectif.La stupide Albina à disparue. Plus aucun homme ne me dictera ma conduite. Je refuse d'être triste.Je suis faite pour le bonheur.Après des années dans l'ombre, il est temps pour moi de briller.


fiche (c) Semper Eadem


Dernière édition par Flavia Albina le Sam 12 Juil - 21:06, édité 33 fois
Patricien
Jeu 3 Juil - 23:26
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




Lucius Pompeius Publicola
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Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Verba volant, scripta manent.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Époux de la louve et amant de la vipère.
Lucius Pompeius Publicola
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Please Une Albina, at last !
Bienvenue ma belle-soeur Wink J'espère que tu nous réserves une Albina haute en couleurs Razz

Bon courage pour ta fichette.
Jeu 3 Juil - 23:30
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




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Lucius Pompeius Publicola a écrit:
Please  J'espère que tu nous réserves une Albina haute en couleurs Razz

Oh que oui. Je compte bien de te donner quelques cheveux blancs de plus  I love you

En tout cas merci !
Patricien
Jeu 3 Juil - 23:49
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




Claudia Cassia
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₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ?
Claudia Cassia
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Youhou! Ca c'est une belle surprise! love

Bienvenue à Pompéi! cheers

A la moindre question n'hésite pas venir à trouver un des membres du staff! J'ai hâte de pouvoir lire ta fiche! Please
Plebe
Ven 4 Juil - 0:07
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




Numerius Petronius Vop.
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₪ Moi en quelques mots:
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Numerius Petronius Vop.
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Bienvenue à Pompei! cheers
Ven 4 Juil - 0:34
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




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Invité
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Merci beaucoup à vous deux!

D'accord Claudia, au moindre petit soucis, compte sur moi, pour encombrer de question ta boite à Mp =)
Ven 4 Juil - 9:45
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




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Invité
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Bienvenue parmi nous !!

Vivaaaaaaa *o*
Patricien
Ven 4 Juil - 12:05
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




Pompeia Praedita
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₪ Âge : 26 ans
₪ Fonction & Métier : Auteur anonyme de pièce de théâtre - membre d’un cercle littéraire secret

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: C’est si rare maintenant quand une femme a du tempérament, que quand une femme en a, on dit que c’est de l’hystérie.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Fiancée
Pompeia Praedita
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Albiiinnnnnaaaaa ♥
Ven 4 Juil - 14:00
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




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Bienvenue !!! Flavia Albina : The  snake arrives, walking as if human. 3941520945 

On va pouvoir se taper avec tact entre patricienne de familles que tout oppose.  Flavia Albina : The  snake arrives, walking as if human. 2297739612 
Patricien
Ven 4 Juil - 14:12
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




Helvia Claudia Scaevola
₪ Arrivée à Pompéi : 26/05/2013
₪ Ecrits : 2157
₪ Sesterces : 60
₪ Âge : 41 ans
₪ Fonction & Métier : Reine des Vipères et femme d'affaires

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Chaque miette de vie doit servir à conquérir la dignité.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Veuve et amante de Publicola
Helvia Claudia Scaevola
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Alors ça c'est une excellente surprise ! Please

Bienvenue parmi nous Albina ! C'est une joie de voir ce personnage incarné, d'autant plus avec un choix d'avatar aussi démentiel !

J'ai hâte de te voir passer dans les ruelles pompéiennes ! cheers
Ven 4 Juil - 14:17
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




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Aie aie il fait soudainement très chaud à Pompéi je sens que tu vas rendre la vie de mon ami infernal !!!!
Bienvenue à toi
Ven 4 Juil - 14:31
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




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Merci à vous tous Very Happy
Oui Helvia, c'est en lisant le pv , que l'image de Viva s'est imposée à moi  Lunettes 

Marcus Vinicius a écrit:
Aie aie il fait soudainement très chaud à Pompéi je sens que tu vas rendre la vie de mon ami infernal !!!!
Mais non voyons, je suis aussi sage qu'une image  Coeur Yeux roses 
Ven 4 Juil - 14:47
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




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Bienvenue Dame Blonde et Pale
Empire
Ven 4 Juil - 14:59
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




Ausonius Niger
₪ Arrivée à Pompéi : 18/10/2013
₪ Ecrits : 3207
₪ Sesterces : 407
₪ Âge : 21 ans
₪ Fonction & Métier : Au service de Kaeso Ausonius Faustus. Voleur à ses heures perdues, vacant entre une auberge et un lupanar.

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation:
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Plusieurs femmes l'habitent, mais une seule a su le kidnapper.
Ausonius Niger
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Et voilà le clan des Pompeii qui s'agrandit encore ! Envahi, moi j'vous l'dit !

Anyways, bienvenue ange
Ven 4 Juil - 15:02
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




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Ausonius Niger a écrit:
Et voilà le clan des Pompeii qui s'agrandit encore ! Envahi, moi j'vous l'dit !

C'est parce que nous sommes les meilleurs  Flavia Albina : The  snake arrives, walking as if human. 150037135 
Arene
Ven 4 Juil - 19:20
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




Priam
₪ Arrivée à Pompéi : 21/08/2012
₪ Ecrits : 4319
₪ Sesterces : 283
₪ Âge : 29 ans
₪ Fonction & Métier : Gladiateur pour la maison Lucretius

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: The Gods have no mercy, that's why they're Gods
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Gauche...
Priam
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Oh ouiiiiii une Albina! Please J'aime tellement ce perso, je suis super heureuse de la voir enfin incarnée et je dois avouer qu'en créant le PV j'avais vraiment la tête de Viva à l'esprit, même si aucun avatar n'est imposé! ^^

Bref, j'ai hâte de te lire pleinement et de tisser des liens avec tous mes persos, je le veux!!! Yaaa
Lun 7 Juil - 23:30
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




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Priam a écrit:
je dois avouer qu'en créant le PV j'avais vraiment la tête de Viva à l'esprit, même si aucun avatar n'est imposé! ^^

Oh moi aussi ! Plus je lisais le pv, plus c'était son image qui s'imposait à moi! J'étais tellement heureuse qu'elle était dans les avatars suggéré!
Pardonne moi, grand gladiateur  Lunettes de ne pas avoir répondu plutôt. J'étais plongée dans la rédaction de mon histoire



EDIT:
Voià le premier jet de mon histoire !  Very Happy Je pense la modifier encore un peu, mais j'aimerais l'avis de membres et des admins. cheers 

J'ai rajouté des choses ou des sentiments au pv, afin de prendre possession, de ma petite Albina ! Coeur 

J'ai volontairement choisi d'inclure ce qu'elle ressentait vis-à-vis des membres de sa famille. Outre, Aurea et Flavia Lupida qui sont ses liens prédefs, j'ai mentionné un peu Marcus ,mais surtout Lucius. De plus, j'ai rajouté certaines aspirations comme son envie de remariage. J'espère que cela ne pose pas problème. Boite 

En tout cas, j'ai pris beaucoup de plaisir à rédiger cette histoire. Please  Maintenant, j'attends votre jugement (musique tragique) ! En tout cas, je souhaite ne pas vous décevoir. Albina est un très beau pv, pour qui j'ai eu un coup de coeur immédiat. Ballon coeur 

Merci jaime 
Arene
Sam 12 Juil - 21:57
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




Priam
₪ Arrivée à Pompéi : 21/08/2012
₪ Ecrits : 4319
₪ Sesterces : 283
₪ Âge : 29 ans
₪ Fonction & Métier : Gladiateur pour la maison Lucretius

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: The Gods have no mercy, that's why they're Gods
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Gauche...
Priam
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Me voilààà! cheers

J'ai pris grand plaisir à lire ta fiche, je trouve que dans l'ensemble tu as très bien su cerner Albina avec les hauts et les bas de sa vie, ses ressentiments et son amertume mais aussi son caractère flamboyant... Wink
Attention aux fautes toutefois... J'en ai relevé pas mal, je pense que c'est de l'inattention, mais c'est tellement dommage... Wink De plus, essaye autant que possible de respecter les conventions d'écriture dactylographiée: c'est pareil, c'est pas dramatique certes, mais ça gâche un peu le plaisir de la lecture! Smile

Quelques petits points ensuite que j'aurais voulu revoir avec toi:

  • Je n'ais pas compris cette phrase...

    Citation :
    Mère s'étant révélé incapable de donner un fils aux Flavius, c'est par ma chère sœur que notre nom continuerai.

    Si les enfants ne sont pas adoptés, le nom se perpétue par les garçons, non par les filles... Wink

  • Le père d'Albina et de Lupida n'a pas pu décéder avant que Lupida soit mariée avec Lucius, c'est bien lui qui a voulu cette union. Wink

  • Ensuite, attention: tu évoques son mariage à 18 ans:

    Citation :
    A dix-huit ans,on croit que la vie nous tend les bras. Le mariage n'effleurait guère mon esprit d. Avoir des enfants n'était pas dans mes priorités puisque j'en étais encore moi-même une.Non, j'adorais ma vie dans la villa des Pompeii

    A cet âge-là, une fille romaine n'est plus une enfant depuis longtemps, les moeurs étaient assez différentes des nôtres et si aujourd'hui on entre à peine dans l'âge adulte à 18 ans, pour les filles romaines, on est déjà adulte -et la mentalité qui va avec- à 13-14 ans... ^^ D'ailleurs se marier pour la 1ère fois à 18 ans, c'est même jugé "tardif"... Wink Et c'est le sort de toute Romaine, Albina devait forcément savoir que ça finirait par lui arriver un jour! ^^


Que des détails tu vois, ça ne remet pas en cause ni ta vision du personnage, ni la qualité de ton écriture! Wink
Sam 12 Juil - 22:02
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




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Invité
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Ah merci de m’avoir répondu aussi vite ! D’accord, je prends tout ça en compte !
Merci beaucoup !
Patricien
Lun 21 Juil - 17:13
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




Claudia Cassia
₪ Arrivée à Pompéi : 29/03/2013
₪ Ecrits : 2744
₪ Sesterces : 136
₪ Âge : 17 ans
₪ Fonction & Métier : Vestale

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ?
Claudia Cassia
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Coucou belle Flavia, pourrions-nous avoir des nouvelles de ta fiche? Yeux roses
Dans le cas, contraire nous serions obligés de l'archiver..
Patricien
Mer 6 Aoû - 20:05
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




Claudia Cassia
₪ Arrivée à Pompéi : 29/03/2013
₪ Ecrits : 2744
₪ Sesterces : 136
₪ Âge : 17 ans
₪ Fonction & Métier : Vestale

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ?
Claudia Cassia
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Ta fiche a été archivé et ton compte supprimé!

Si l'envie de prenais de revenir parmi nous, elle te sera rendue I love you
Re: Flavia Albina : The snake arrives, walking as if human.   




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