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 Cornelius Maestus † Now we are free



POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Population recensée
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Empire
Mar 1 Oct - 14:14
Cornelius Maestus † Now we are free   




Cornelius Maestus
₪ Arrivée à Pompéi : 01/10/2013
₪ Ecrits : 244
₪ Sesterces : 2
₪ Âge : 39 ans
₪ Fonction & Métier : Dominus gregis
Cornelius Maestus
http://derouleurdepensees.tumblr.com/
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(c) insuline
Cornelius Maestus
incarné par Alexandre Astier
Ave, étranger ! Je suis Cornelius MaestusSenianix, fils de Gallus. Né à Naples, il y a 39 ans, je suis d'origine gauloise. La déesse Fortune a fait de moi un affranchi et j'ai pour esclaves tous ceux qui sont rattachés à ma troupe.


Plus de 2000 ans plus tard, c'est Athos qui m'incarne. Qui es-tu ? Personne  
Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte que mon personnage retourne à l'état de PV. Mais ça n'arrivera pas. hem

(c) insuline
Pompéi & moi

→ Ce que je pense de Pompéi
J'apprécie beaucoup Pompéi, ses riches villas et domus, ses habitants friands de théâtre, et qui parfois ont même assez d'argent pour s'offrir des représentations privées. Mais soyons clairs, dans mon esprit, Pompéi n'a jamais été qu'une halte obligatoire, qu'un arrêt que l'on doit faire. Mes espoirs se tournent depuis longtemps vers Rome.

→ Ce que je pense de la politique
Ce ne sont pas mes affaires, en tant que fils d'esclave et étranger. Si j'avais eu un enfant, qui serait devenu citoyen, peut-être m'y serais-je un peu plus intéressé. Mais ça n'a pas été le cas. Tout ce que je sais, c'est que ma loyauté ira toujours du côté de mon ancien maître et protecteur, qu'importe ses choix et actions.

→ Ce que je pense des jeux
Un spectacle intéressant sans nul doute. Mais que j'apprécie moins que celui dont j'ai fait mon art et ma vie.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
Je souhaite faire de ma troupe l'une des plus grandes, des plus renommées, des meilleures du pays. Avant toute chose.

→ Ma pire crainte
Finir seul. Devant moi s'ouvre de plus en plus l'abyme de ma solitude, moi qui n'ai ni enfant, ni femme, ni amante.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Je ne suis pas très pieux hélas. Mon père était gaulois, ma mère romaine, et tous deux ne priaient pas ensemble les même dieux. Je n'ai jamais vraiment choisi quelles divinités honorer, et les quelques prières que je prononce aujourd'hui relèvent presque de l'hérésie, mélangeant les dieux de mes ancêtres et ceux de ma terre natale.

Le monde est un théâtre, mais la distribution est mauvaise.

Une petite esclave, frêle et fragile, s’approche. Elle est blanche comme la neige, et dans ses grands yeux noirs on peut voir une grande peur. Pourtant, tu n’as pas l’air d’un mangeur d’enfants, non non. Mais tu l’effraies quand même. Tu es pâle, le visage mouillé, à genoux sur le sol, face à cette bassine d’eau – pourquoi est-elle là déjà, cette bassine ? Elle s’inquiète « Dominus ? » Tu la regardes, tes yeux se posent sur ce collier en métal, ce collier que tu sais froid et lourd, que tu sais désagréable, que tu sais gênant, parce que toi aussi, tu l’as porté. Il t’en reste aujourd’hui une cicatrice, un nouveau collier marron tout autour de ton cou, une vieille marque. Tu as envie de hurler. Tu plonges la tête dans la bassine, et tu craches tout l’air que contenaient tes poumons dans un cri sourd. Tu ouvres les yeux, et tu regardes la scène qui se joue sur le fond en bois de cette bassine glacée. Cela de rappelle quelque chose. Tu fronces les sourcils. Il y a un homme. Tu connais cet homme…

**

Gallus est droit, fier, et plein de colère. Face à lui, Ravilla, délicate et patiente, ne scille pas. Comment  ces deux-là peuvent-ils s’aimer ? Lui, le fougueux gaulois qui ne rêve que de retrouver la terre de ses ancêtres, elle l’esclave romaine, qui n’a rien connu d’autre que la servitude, et qui ne s’est jamais plainte. Comment ont-ils pu s’aimer assez pour t’avoir, petit garçon maigre et esclave, comme eux ? Pourquoi s’aimeront-ils ce soir, dans leur lit de paille, oubliant ce différent ? Ravilla te tend la main, mais tu n’oses pas la prendre. Ton père te regarde, et ses yeux sont trop sombres. Elle ne réagit pas, et reprend, claire. « C’est un honneur qu’ils lui font Gallus, et… » Il ne l’écoute pas, il répond déjà. « Non ! Même instruit, même savant ! Qu’ils destinent un autre à devenir l’intendant de leur fils ! Je veux que mon fils puisse un jour être libre ! Il ne le sera jamais s’ils l’instruisent… » Il se bat avec la force du désespoir. Il sait bien qu’il n’a pas son mot à dire, que sa vie, celle de sa femme, celle de son fils unique ne lui appartiennent pas. Qu’il doit mendier et mériter le droit d’aimer Ravilla, et que son Senianix sera ce que l’on voudra qu’il soit. Mais cette idée qu’il ne puisse jamais connaître la liberté le terrifie. Alors il se bat, il se bat comme il peut, pour tenir tête au moins à une personne. Cela le rassure. Il se retourne vers toi. « Et toi, qu’est-ce que tu en penses ? Tu n’as pas envie d’autre chose ? »
Tu pinces tes lèvres. Il te faut beaucoup de courage pour articuler la phrase que tu t’apprêtes à dire, tu sais qu’elle ne va pas lui plaire. « Je voudrais être acteur… »

**

« DOMINUS ! »
Tu sens les petits bras de l’esclave qui te tirent de l’eau. Tu es brûlant de fièvre. Tu délires. Tu te débats. Elle glisse en arrière. Tu replonges la tête dans l’eau glacée.

**

Combien de temps as-tu passé, après ton affranchissement, à vivre de menus travaux, à aider ici ou là, pour pouvoir subsister ? Tu travaillais de façon bien plus harassante que lorsque tu étais esclave et que l’on te destinait à être intendant. Etait-ce cela la liberté que ton père avait voulue pour toi ? Cinq ans. Jusqu’à ce que Titus Cornelius Servilius devienne à son tour pater familias, qu’il choisisse de ne plus être client des Cornelii qui avaient affranchis son grand père, qu’il se tourne vers les Pompéii, et qu’il vive de commerce. Et que, comme aussi passionné que toi, il t’offre de quoi devenir dominus gregis. Un fin politique, Servilius, qui savait déjà ce que ce serait d’avoir une troupe dans sa poche… Et voilà neuf ans, neuf ans à se battre pour cette troupe, neuf ans pour imposer tes comédiens, tes spectacles. Une véritable réussite. Tu es même plus riche que ton ancien maître. Maestus, le Triste…

**

« Senianix ! »
Cette fois, c’est un homme qui te tient. Titus Cornelius Servilius te maintient en arrière. Tu regardes un moment ce plébéien, ton ami d’enfance, ton presque frère – quoique tu ne t’autoriserais jamais à l’appeler comme cela. Votre amitié, qui remonte à quand vous avez fait vos premiers pas ensembles, est inavouée, mais su par vous deux. La preuve, lui le plébéien, est à présent à genoux sur le sol, il mouille sa toge à essayer de te sauver la vie. Ta tête te tourne. « Tu es là… » Il a un faible sourire en te tenant la tête. « Oui Senianix… »

**

Les noms, ce sont des choses étranges. Tu en as eu trois, à différentes époques de ta vie. Tu es né Senianix, esclave, et c’est encore par ce nom que Servilius t’appelle, comme pour te rappeler que tu es son client, et que tu le seras jusqu’à ta mort, ou alors peut-être parce que c’est le nom de son ami d’enfance, et que c’est celui qu’il veut retenir… A vingt-cinq ans, tu étais très proche de lui, et malgré le fait que l’on t’ait instruit, il a réussi à obtenir de son père ton affranchissement contre tout l’argent qu’avaient pu économiser tes parents. Pour devenir acteur, avait soufflé Servilius à ton oreille. Mais Gallus, avant de te remettre la somme, t’avait fait jurer que tu y renoncerais. Que tu resterais libre, pour que tes fils soient citoyens. Peut-être était-ce pour cela que tu avais fui Servilius jusqu’à ce qu’il devienne pater familias, et qu’il faille bien que tu le retrouves, que tu ailles le voir. Mais il avait compris, il avait fait mieux comprendre, il t’avait aidé à fonder une troupe, pour ne pas être acteur, mais être quand même dans le théâtre. Combien de dettes as-tu envers lui ? Quelque chose comme une infinité…

S’il n’a jamais cessé de t’appeler Senianix, tu es devenu Cornelius Gallus le jour de ton affranchissement. Point amusant sans doute, ton père avait renoncé à jamais à son nom gaulois quand il était devenu esclave, bien que ses maître lui aient laissé le choix, pour devenir Gallus, et toi, tu renonçais au nom que t’avait donné ton père, une fois libre, pour prendre ce nom qui chez lui était synonyme de servitude.

Cela avait duré à peu près cinq ans. Jusqu’à ce que tu fondes ta troupe. Jusqu’à ce que tu deviennes un modèle de réussite du système d’affranchissement. Que tu sois riche, que tu sois accepté parmi toutes les castes sociales. Car à ce moment-là, quelque chose de nouveau à commencer à sauter aux yeux. Tu avais tout pour toi, mais il te manquait le sourire, le bonheur, la joie. Maestus, le Triste, voilà comment on a commencé à t’appeler. Oh, tu étais quand même de bonne compagnie, mais seulement, un peu plus mélancolique.

Pourquoi ? Comment un homme qui part d’aussi bas, qui arrive aussi haut, qui vit du théâtre, une passion de toujours, peut-il être aussi triste que toi ?

**

Tu le repousses doucement. Tu essaies de te redresser. La tête te tourne violemment. Il t’a lâché, et s’est éloigné. Il fait signe à Clemens qui est là de t’attraper et de t’allonger. Tu te laisses faire. Cela a toujours été ainsi…

**

Lucius Cornelius Postumus, le pater familias de la famille des Cornelii quand tu leur appartenais encore, était un plébéien droit et juste. Sévère mais bon. Et généreux avec ses esclaves, peut-être parce que son père lui-même avait été esclave. Il avait laissé tes parents s’aimer, il les avait laissé avoir un enfant, et plus tard, il t’avait affranchi malgré ses plans premiers. Mais c’était à son fils que tu avais toujours été lié, la générosité, la gratitude, tu l’avais toujours reporté sur son fils aîné.

Avec seulement quelques mois de moins que lui, tu avais été un compagnon de jeu tout désigné pour Servilius. Il avait fait de toi son confident, son camarade, son complice dans tout. Tu étais très vite devenu admiratif de cette figure brillante et ambitieuse, de cet enfant qui déjà à 10 ans regardait l’horizon. Tu avais fait de lui un modèle, mettant tout ton être à son service. Tous ses secrets devenaient les tiens, son caractère influençait le tien, tu adorais déjà toutes ses passions.

Tu avais aimé ce chien galleux que Postumus voulait tuer, et que Servilius avait défendu avec toute la force de son âme d’enfant, offrant à cette pauvre bête quelques mois d’agonies supplémentaire ; tu avais aimé les histoires effrayantes que l’on se racontait tout bas, toi qui n’étais pas très courageux… Et surtout, tu avais aimé le théâtre. Dès l’instant où, le regard plein d’admiration, ce petit plébéien t’avait donné un coup de coude et murmurant « Regarde ! » tu avais adoré le théâtre.

Vous en aviez parlé des jours durant, vos aviez occupé vos nuits cachés à vous remémorer chaque geste des acteurs. Il avait fait grandir, fait pousser cette graine en toi. Il t’avait obsédé par son obsession. Et qu’importe que ni ton père, ni le sien n’approuvait vraiment cet amour que vous vous étiez découvert.

Cet amour vous avait préservé des filles. Il vous avait obnubilés jusqu’à tes 25 ans, jusqu’à ce que Servilius obtienne enfin ton affranchissement.

**

« Tu ne dois pas rester malade Senianix, les Licinii donnent bientôt une fête… »
A ces mots, tu poses tes mains sur tes oreilles, comme un enfant capricieux qui refuse d’entendre. C’est un peu cela d’ailleurs, tu refuses d’entendre. Tu n’as aucune envie de voir les Licinii. Tu n’as aucune envie de rencontrer la Murène, et d’incliner poliment la tête en bon chien. Tu ne peux pas trahir Servilius, mais cette trahison te désole. « Je ne veux pas y aller… » Il a un de ses sourires faussement charmant, et se redresse enfin, s’empoussiérant. « Tu n’as pas le choix. »

**

Il y a dans le regard de Publicola une sorte de colère qui t’étais encore inconnue. Tu voudrais partir, mais tu restes là, à lui faire face.

Maestus le Triste, n’a ni femme, ni enfant. Il n’a qu’un théâtre. Et quelques amis. Il fait partie de ces fous qui voudraient tout, et qui sont confrontés à la dure réalité. Et pourtant, quand tu regardes Pompéii qui te fait face, tu as l’impression que l’on peut tout avoir : réussite, amour, famille… Il n’y a peut-être que de ses amis que le duumvir doit se méfier.

En voilà deux qui lui tournent le dos. Oh, pas que Servilius ait été vraiment un ami, plutôt un client comme on peut en avoir, loyal et fidèle comme peut l’être Servilius, c’est-à-dire jusqu’à ce que le vent tourne – mais au moins jusque là fut-il très appliqué. Mais toi c’est autre chose. L’avantage du théâtre, c’est que l’on peut se mêler à toutes les castes sans que cela ne soit gênant. Comment t’étais-tu rapproché de ce patricien là, patron de ton propre patron ? Par la force des choses. Et puis, il y avait eu sa sœur, amoureuse du théâtre elle aussi, qui te demandait, ou à qui on t’offrait. Combien de pas Pavo avait-il fait dans la villa des Mystères, ton virtuose de la pantomime ? Beaucoup. Tu t’étais attaché à ces gens, et tu avais eu le sentiment – peut-être idiot, qu’ils s’étaient aussi attachés à toi.

Mais le retour des Licinii avait amorcé un changement en toi. Servilius avait cru en Murena, et il s’était empressé de trancher ses liens avec les Pompeii pour aller se proposer chez le militaire. Et toi l’affranchi, tu n’avais pas d’autre choix que suivre celui dont tu étais le client jusqu’à la mort. Ton frère, ton meilleur ami, qui pour la première fois de sa vie faisait un choix que tu n’appuyais pas. Sa trahison politique passait de ton côté pour une trahison personnelle. Mais tu n’avais pas le choix.

Tu soutenais ce regard avec cette expression triste qui t’avait valu ton surnom, cette mélancolie profonde.

« Je ne m’occupe pas de politique Publicola… »

**

Clemens tire doucement sur les mains, pour que tu les ramènes le long de ton corps. Servilius tourne déjà les talons, il te sait entre de bonnes mains, il a un nouveau patron à honorer. Pavo qui est arrivé, s'inquiète de savoir si l'on jouera à la fête, si tu restes malade, et reçoit comme toute réponse un regard noir de Clemens.

Servilius se retourne une dernière fois.

« Il aura guéri avant. »

C'est un ordre.

fiche (c) Semper Eadem


Dernière édition par Cornelius Maestus le Mar 12 Nov - 15:25, édité 12 fois
Mar 1 Oct - 14:20
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




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Invité
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Bienvenue à toi Cornelius Maestus
Bonne chance pour ta fichette, mais connaissant ta poésie je n'ai aucun souci.
Mar 1 Oct - 14:34
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




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Invité
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Tu as succombé ! :greeen:

Mis le perso est prometteur, j'ai hâte de lire ta fichounette ! Please
Mar 1 Oct - 14:43
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




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Invité
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Rebienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue!
(Mdr en voyant le "personne" dans le "Qui es-tu?", je croyais qu'on avait affaire à un associable xD, ouf!)
Bon courage pour cette nouvelle fiche, hâte de la lire en tout cas^^
Mar 1 Oct - 15:29
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




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Invité
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Rebienvenue ^^

J'ai hâte de lire ta fiche ^^
Mar 1 Oct - 16:28
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




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Invité
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Quoi ? Un Triple-compte ? Ouah la classe ! En plus avec Astier je kiffe déjà Calinchou 

Re-bienvenue et re-bonne chance pour ta fiche (même si tu connais la chanson) pompom 
Patricien
Mar 1 Oct - 16:57
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




Claudia Rufia
₪ Arrivée à Pompéi : 26/09/2013
₪ Ecrits : 761
₪ Sesterces : 59
₪ Âge : 19 ans
₪ Fonction & Métier : Patricienne de la maison Claudii, et future épouse de Marcus Pompeius

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Sic iutr ad astra
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Fiancée
Claudia Rufia
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Re-bienvenue chez toi Cornelius Maestus † Now we are free 1561385880
Patricien
Mar 1 Oct - 18:01
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




Helvia Claudia Scaevola
₪ Arrivée à Pompéi : 26/05/2013
₪ Ecrits : 2157
₪ Sesterces : 60
₪ Âge : 41 ans
₪ Fonction & Métier : Reine des Vipères et femme d'affaires

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Chaque miette de vie doit servir à conquérir la dignité.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Veuve et amante de Publicola
Helvia Claudia Scaevola
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Personnage original et prometteur ! Voilà qui fait toujours plaisir ! Very Happy 

Bienvenue très cher, hâte de te voir à l'oeuvre ! cheers 
Empire
Mar 1 Oct - 18:17
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




Cornelius Maestus
₪ Arrivée à Pompéi : 01/10/2013
₪ Ecrits : 244
₪ Sesterces : 2
₪ Âge : 39 ans
₪ Fonction & Métier : Dominus gregis
Cornelius Maestus
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Fortunato : Mais je suis associable Cornelius Maestus † Now we are free 2974657689

Merci à tous.
Patricien
Mar 1 Oct - 19:51
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




Lucius Pompeius Publicola
₪ Arrivée à Pompéi : 11/05/2013
₪ Ecrits : 2404
₪ Sesterces : 65
₪ Âge : 42 ans
₪ Fonction & Métier : Duumvir

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Verba volant, scripta manent.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Époux de la louve et amant de la vipère.
Lucius Pompeius Publicola
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Re-re bienvenue Wink

Un personnage ayant l'avatar d'Astier ne peut que recevoir ma chaleureuse bénédiction (et c'est ce que tu attendais, bien entendu, pour achever ta fiche dans la félicité PTDR ).
Patricien
Mar 1 Oct - 22:48
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




Claudia Cassia
₪ Arrivée à Pompéi : 29/03/2013
₪ Ecrits : 2744
₪ Sesterces : 136
₪ Âge : 17 ans
₪ Fonction & Métier : Vestale

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ?
Claudia Cassia
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Un TC ? Cornelius Maestus † Now we are free 2899194248

Est-ce que tu es au courant que jour après jour je me fais violence pour ne pas m'inscrire sous un nouveau visage et que si vous continuez sous cette voie ça va être de plus en plus dur ? Arrow


Non mais en fait ... je suis trop contente pompom Faut dire que tu nous fais toujours des personnages sublimes donc, j'ai hâte de pouvoir en lire plus Lèche

Empire
Mar 1 Oct - 23:43
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




Cornelius Maestus
₪ Arrivée à Pompéi : 01/10/2013
₪ Ecrits : 244
₪ Sesterces : 2
₪ Âge : 39 ans
₪ Fonction & Métier : Dominus gregis
Cornelius Maestus
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Merchi.

Mais oui, la bénédiction du duumvir m'était primordiale. Je peux aller en paix maintenant.
*Halleluyaaaa Halleluya Halleluya Halleeeeeeeeeeeeeeeluuuuuuuuuuuuyaaaaaa !*

Vous me foutez pas du tout la pression sinon pour ma fiche. hem
Mar 1 Oct - 23:48
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




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Invité
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Bonne rédac !! Very Happy
Mer 2 Oct - 11:22
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




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Invité
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Je te souhaite la bienvenue !
Empire
Mar 12 Nov - 20:28
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




Cornelius Maestus
₪ Arrivée à Pompéi : 01/10/2013
₪ Ecrits : 244
₪ Sesterces : 2
₪ Âge : 39 ans
₪ Fonction & Métier : Dominus gregis
Cornelius Maestus
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J'ai (j'entends déjà les mauvaises langues dire "enfin" Cornelius Maestus † Now we are free 3476203129) fini ma fiche.

PAR LES POUVOIRS DU @ QUI ME SONT CONFÉRÉS JE M'AUTO-VALIDE ! MOUHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA Twisted Evil
Re: Cornelius Maestus † Now we are free   




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