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 She digs her nails into her naked chest.



POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Population recensée
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Sam 28 Mar - 21:42
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Livia Ulpia Vopisca
incarnée par Alyssa Sutherland
Ave, étranger ! Je suis Livia Ulpia Vopisca, fille de Octavius Livius Brutus. Née à Naples, il y a 24 ans, je suis d'origine romaine. La déesse Fortune a fait de moi une plébéienne et la Flaminica de Junon et Minerve. J'ai pour famille les Livii de par mon père et les Ulpii de par mon époux. .


Plus de 2000 ans plus tard, c'est Scylla qui m'incarne. Qui es-tu ? une vilaine chipie qu'on a traîné dans le coin et qui n'a pas bien longtemps résisté à l'appel de la plèbe. 23 ans au compteur et trop de monde dans la tête.
Je me sens perdu et j'aimerais bien avoir un parrain ou une marraine : OUI [X] / NON [  ]

scylla © crédit gif

Pompéi & moi
mon opinion, mes croyances, mes ambitions
→ Ce que je pense de Pompéi
Cité de merveilles où l'encens et l'or se mêlent. Elle s'avance et s'échappe, s'évanouit dans un soupir d'extase. Vopisca, Vospica, convoite encore ces notes avant qu'elle ne décide de te mordre, avant l'horreur de la perdre. Puisqu'elle s'écarte, s'efface soudain, toujours, n'en fait qu'à sa tête. Éternelle enfant, femelle oubliée des hommes. Qui du soir la prennent et du matin l'abandonnent. Cette flamme vacille, avale les douleurs, se noie du silence. Un masque fermement accroché à sa face et l'ambition et la ferveur boursouflant en son sein, voilà la lionne qui traverse le nid aux serpents. Se faufile entre les corps, se hisse sur les marches qu'aucune plébéienne ne devrait fouler. Jamais, et pourtant. Furieuse et sauvage elle se cambre et s'installe, elle règne et dévisage. Vopisca est une femme prise au piège, une femme bien triste et présume-t-elle bien laide ; pour que depuis près de dix années son mari la dédaigne au profit de bustes sans formes. Solitude abjecte d'une môme balafrée par l'existence, au museau hypnotisant ses pairs. Aux mensonges et aux sourires, qu'elle esquisse de toute sa délicatesse.

→ Ce que je pense de la politique
Fille d'un centurion, épouse d'un riche marchand. À présent couronnée du sceau de Junon et Minerve. Vopisca fait partie de ces enjôleuses qui des jeux de duperies et de la violence des joutes se ravit et jouit dans l'absurdité de son ennui. Mutique créature aux colères redoutables, ses frustrations empoisonnent sa psyché et de perdue elle devient brutale et de brutale elle se fait bestiale et s'échoue sur des rives que seul Jupiter semble connaître. Là, figée dans l'étroitesse de ses pièces immenses, dans l’incongruité de son destin craquelé. C'est ainsi qu'elle observe les autres, qu'elle imagine les choses, qu'elle invente jusqu'à omettre cette tangibilité qui la blesse. Des liens qui se déchirent, qui se cousent, qui s'étirent ; fascinent le fauve aux yeux immenses duquel elle offre le reflet. Toile d’araignée gigantesque couvrant ce monde. Et pour peu, elle s'insufflerait un terrifique plaisir à en tisser elle-même les fils. Afin de découvrir et sentir les prochaines victimes de ses pièges. Omniprésence, camouflée dans l'obscurité, épiant ses loyaux alliés, ses redoutables adversaires.
 
→ Ce que je pense des jeux
D'un intérêt particulier. Ils sont un moyen de percevoir l’énergie d'une foule, d'un peuple. Une chaleur asphyxiante et destructrice, éblouissant ses sens. Le sang et les cris attisent ses passions. La contemplation des figures et des maux qui les cisaillent sont à défaut d'un passe-temps, une réelle traque pour elle. Elle, félin aux plus bas instincts, à l'appétit démultiplié par la faiblesse et l'envie. Plissements ou imperceptibles fêlures, les défauts se dévoilent à ses iris tandis qu'une mise à mort ou une décision doit être prise ; tandis que de nouvelles trognes apparaissent, que de serviles bestioles foulent la terre et la poussière de l'arène. Et elle regarde, imperturbable et vorace. Elle guigne les proies à ficher sous ses crocs blancs, à coincer entre ses pattes à la pâleur lunaire.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
Fiertés soufflées par l'ombre d'un mari omnipotent. Vopisca s'envole, glisse entre les strates des puissances et annihile les joies et paresses que son cœur lui murmure. Flaminica de Pompéi, et jusqu'à quand et pour aller où ? Car de cachotteries, elles se goinfrent et ses erreurs pourraient lui coûter si cher. Au milieu de son ventre trop rond grandit un garçon, Minerve le lui a dit. Fruit de l'adultère, plus que de ses insatiables passions. Les risques qu'elle s'osent à prendre en préservant l'être aimé signeront son trépas ; et d'amour pour ce petit bout d'elle, assurément elle en déborde. Elle en crève, chancelante de fatigue et d’idolâtrie. Supposément stérile, durant huit ans à tromper et se perdre. Il aura suffit d'une fois pour que l'ensemble chavire, que ses certitudes dégringolent. Mais elle s'en fout au point de danser sur le fil du rasoir, munie de son adorable rictus de menteuse chatoyante. Chatte rousse aux pulsions apprivoisées par quelques gestes qu'un homme articule. Entre le tumulte des organismes qui se cognent, entre ses gémissements de rage.

→ Ma pire crainte
De craintes véritables elle n'en a plus depuis longtemps, ses peurs de gosses balayées par l'insatisfaction d'une vie bâclée. Elle s'abîme, s'abîme si fort, contre les silhouettes et ses bobards ; à ne plus savoir comment s'y retrouver ni comment s'en évader. Et s'il se peut que son époux croit à ses flatteries et impostures, en sera-t-il de même pour l'enfant à venir ? Qui d'une coucherie réussie naîtra. Vopisca, c'est dans le noir de la nuit qu'elle implore les déités de lui accorder cette faveur obscène. Pour que de sécurité, elle le berce, et de pérennité elle se leurre. Jolis fantasmes d'une nymphe maudite ; qui de ses grâces ondule et resplendit mais jamais, non jamais, ne trouvera bonheur et persistance de l'esprit.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Dévouée à en couper le souffle, croyante éperdue. Elle sait que le voile des glorieux la couve, qu'il protègent et affectionnent cette carcasse qu'elle saccage. Garce à la beauté monstrueuse. Vénus pour mère, Artoria Livia Lepida pour simple réceptacle, bedaine capable d'accueillir un trésor. Vopisca ou la progéniture sacrée, celle que les divinités ont accordé au valeureux guerrier. Un fils mort né et au delà du drame, demeure cette petite fille rugissant ses premiers cris. Génitrice dépressive et des années de distance pour s'achever en d'ultimes expirations, le sang à la gorge et les rêves évanouis.
Son histoire est déjà toute tracée. Elle présage voir et entendre, ce que les dieux consentent à confier. Et de destiné, toutefois, ne reste qu'un brouillard opaque et désarmant. Un aveuglement cruel, une kyrielle de désillusions.


→ Ce que je pense du "Fils de l'Etna" et de sa révolte
Marmot de la rue, cendre sur les pavés et rires odieux aux coins des lippes. Vopisca ne le considère pas plus qu'un chien enragé. Un chien dont il faudrait vider les boyaux. Haine farouche donc, et dégoût flamboyant envers ses comparses et complices. Les désastres accomplis sur le sud de l'Empire la désolent ; et si elle ne le montre pas et n'en fait pas écho, il y a cette crainte de le remarquer au croisement d'une artère. Angoisse tenace de massacres à prévoir ; qui loin d'effrayer son esprit félin, se fait pleurs et plaies ouvertes dès que ses proches lui parviennent en songes. Des mises en garde de Ceux qui Regardent, elle en est convaincue.
© fiche par indi & born.to.die


Dernière édition par Livia Ulpia Vopisca le Jeu 2 Avr - 17:43, édité 43 fois
Sam 28 Mar - 21:43
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mon histoire

" Il y’a de l’orgueil à se mettre aussi bas,
un héroïsme dans la déchéance. "
Vopisca, tu seras.
Il y a des hurlements, des hurlements sous les astres et les anciens peuvent se gausser du spectacle, puisque cette femelle est et sera seule. Seule parmi son cauchemar interne, externe, tout à la fois, tout ça s'emmêle. Depuis le temps, qu'elle est en cloque. Un bide à faire rougir les pieuses et les éphémères. La douleur, la douleur insupportable infâme miraculeuse douleur du début à la fin. Sans compter le milieu – non, non, ça jamais, ils ne le comptent ce foutu milieu.
D'entre ses cuisses saccagées – lambeaux de rose et racines d'arbre mal-formées – s'extrait une tête d'enfant. Des cheveux blonds, parsèment son crâne énorme. Et le silence, immuable, interminable, horrible silence de la pièce à elle, d'elle à lui et elles, toutes ces sages et attentives femmes qui touchent auscultent et aident. Non, elles n'aident en rien. En rien, car la voilà qui se remet à gueuler. Arrachant ses cordes vocales au passage, son diaphragme, et ses chairs qui se lacèrent, se morcellent. Morceaux de barbaques ensanglantés, à ne plus savoir comment recoller.
Le bébé, il est un peu violacé, un peu livide, un peu mort aussi. De ces enfants, qui n'ouvriront point les yeux. Qui toujours reposeront en paix. Le monde ne les accidentera pas, le monde les laissera avec la douceur d'un ventre qui aura su les protéger.
Alors elle braille, forcément. D'horreur d'abord et de tristesse ensuite. De petit garçon elle n'engendrera pas. Trois fausses couches et l'espoir tant attendu qui ni ne bouge ni ne geint. Qui n'a peut-être jamais daigné l'aimer.
Le calvaire pourrait s'arrêter là. Le calvaire pourrait s'éloigner, ne plus l'accrochait à ses piques ardents. Sauf que la vieille devant, finit par expirer un couinement de surprise. Un couinement d'incohérence, de panique. Elle lui dit, « pousse, mia bella, pousse il le faut, encore. » encore, encore et encore mais elle ne peut plus ne sait plus. L'oxygène n'arrive nullement à ses poumons, et les forces s'en vont. Sûrement n'ont-elles d'ailleurs trouvé place en son sein. Privée de courage et d'envie dès le mariage, dès que le faciès de l'homme auquel on l'avait promise lui est apparu. Cet homme bourru aux cicatrices semées sur un corps musculeux et sec. Cet homme qui à défaut de la choyer avec les mots l'adore avec les gestes. Et d'amour il en a précisément trop, à lui taper dessus – parfois, quand quelque chose le blesse, quand quelque chose l'inquiète. Et fatalement il s'en va et revient et s'en va loin, si loin. Tellement loin sur des terres inconnues et elle glapit à nouveau. Vagit tout son soûl, à flétrir la raison.
Un double pille ses entrailles.
Piteuse créature attendant son tour, attendant le bon moment pour se faire connaître, pour apparaître. Une petite, si fragile créature aux prunelles immenses ; d'un bleu océanique à se perdre, à se pendre. Un océan sans rivages, accidenté de vagues et d'écumes qui jusqu'à la noyade fera fuir cette mère en miettes, cette mère éteinte, à la tendresse bousillée.
« C'est une fille. Une toute petite fille. » s'extasie la plus jeune, l'adolescente. Les globes attachés aux contours du nourrisson.
Il ouvre sa bouche cerise, bat des bras, ses doigts ridicules s'articulant dans l'atmosphère moite.
« Voilà ton précieux trésor, voilà le présent qu'enfin les dieux t'accordent Lepida. » suppute la vieille en tendant le bambin larmoyant, enveloppé d'une étoffe pour ne pas qu'il prenne froid.
Mais la mama n'en veut pas, n'en veut plus. Trop de peine et de tortures et d'abandons. Trop de jours et de nuits à se tordre les membres ; de progénitures, elle ne souhaite pas. Soumise aux idéaux et devoirs de lignées, elle a courbé l'échine. Prête à se faire engrosser, bourrer, sans protester. Maintenant, oui, maintenant, le droit lui revient de se disloquer. Plus d'interdit, aucun. Et ses névroses déjà la transcendent vivement, tragiquement. Le gracieux visage se détourne, et de la couche tâchée de rouge ne reste qu'une silhouette précipitamment inerte et distante. Une âme égarée qui n'attire pas la seconde – méfiante. Un époux ancré dans la réalité, un homme qui ne comprend et ne comprendra jamais cette concubine aliénante.
C'est d'une démarche malhabile que le pater s'approche de la petite chose aux fins cheveux d'or.
« Ceux de Vénus, lui murmure la vieille.
- Je le sais, Faustia, je le sais. J'ai prié les dieux pour cela. 
- Ainsi, cette enfant se nommera Vopisca.
- Survivante au chaos de sa mère plus que survivante à son frère. » décrète  le centurion à la langue vipérine ; penché au dessus du poupon.

L'aube pâle.
Papa dit : tu seras mariée
Papa dit : et aucune de tes paroles idiotes n'ira contre cette décision.
Il ajoute : tu es belle, belle comme l'aurore.
De la pommade qu'on applique, pour ne pas qu'elle griffe, qu'elle montre les dents et tente de lui bouffer la jugulaire. Puisque d'animal elle tient davantage que de femme. Et de femme, elle ne veut pas devenir.
Il esquisse un geste, futile et fugace, en direction du si joli museau qu'il a sous les iris.
Paix, paix mon enfant.
Elle qui n'entend rien, elle qui ne veut rien savoir.
Liberté sauvage à courir nue à l'ombre des rares nuages ; et que l'orage cogne et que l'orage grogne et lèche sa dépouille lactescente.
Elle se recule, Vopisca. Un dédain évident scarifiant son expression d'innocence bafouée. Odeur de souffre, fragrance de cadavres. Décomposition dans la cavité molle de sa cervelle qui fume, qui broie, qui se désintègre.
Tu avais dit, tu avais dit tu avais dit et promis ; se retient-elle d'éructer. Des bleus au palpitant, un rythme cardiaque dément.
Papa dit : il est riche, il saura prendre soin de toi.
Il précise : il t'aimera j'en suis sûr. C'est un homme bon.
Et elle éclate de rire, un rire cinglé. Un rire à fendre la roche tant il suinte les désirs brisés.
Il explique : il m'a sauvé la vie, alors je lui offre en retour mon bien le plus précieux.
Elle s'exprime, au bord du précipice : Moi ?
Il répond : toi.
De Naples à Rome de Rome à Pompéi.

Il ne fait que répéter parce qu'elle lui demande. Les versions ne changent jamais tout-à-fait de l'une à l'autre. Les mots ne sont plus que du gaspillage, de la salive sèche, des larmes d'encres et des joues rouges – ce rouge extravagant des coquelicots.
Lèvre fendue par une claque immédiate, à l'instant même où elle essaye de fuir, où elle essaye de s'échapper ; et pour aller où et pour faire quoi elle n'en sait pas plus que lui. Impulsive nymphette aux aspirations de fantôme. Pourquoi ne pas devenir un spectre, pourquoi ne pas hanter les corridors et les amants si de soumise et prisonnière à la Terre et à l'Homme elle se doit d'être. D'exister.
De richesse promise, le réconfort est imparfait. L'angoisse de quitter son port natal, l'angoisse de ne plus satisfaire les roucoulements de Faustia, les pas feutrés dans les longs couloirs.
Quatorze.
Quatorze souviens-toi, souviens-toi ne ploie pas, n'oublie pas.
Quatorze c'est un nombre important, c'est l'horloge qui tourne, la botteleuse qui s'amène. Fiche en l'air l'écrin sacrée de sa chasteté.
Quatorze ans et des graines et des jours et des monstres derrière les portes fermées. Juste des chimères à l'âme et des gloussements déraisonnables. La chaleur réconfortante du foyer et les étés qui brûlent. Des desseins en vrac, un avenir meilleur. Et ce souffle, ce souffle agité et insensé d'indépendance folle. Folle à lier elle l'est peut-être. L'indépendance souhaitée ou la fille acharnée. Elle suit ses instincts elle se ravie du monde. Des mirettes à la splendeur du saphir, au fond desquelles se cachent encore l'éclat de la jeunesse puis de l'envie. De l'impatience et des certitudes que rien n'y personne ne seraient en mesure d'ébranler. Tout est pardonné. Je le promets, je le promets faussement, hypocritement, je te tuerai, je le tuerai. Je vous tuerai.
C'est biscornu, informe, inconséquent, quand à quatorze ans l'obligation de se figer en femme irrite les tympans. Quand de dix hivers le promis, le charmant, se fait plus vieux et homme aux plaisirs définis par un sexe non-opposé. Appétence nulle et tentations répulsives. Le pouvoir obnubile. Car de puissance toujours l'homme en réclame et de castration on devrait le punir. Tous. Couper paquets, oreilles et nez. Enfoncer l'aiguille dans les plis, évider les caves, écraser du talon les rétines menteuses qui font pourrir l'espérance des juvéniles poitrines.

Vide au cœur.
Draps glacés et ténèbres suspicieuses.
Les gambettes se serrent et le buste se tord. Corps longiligne et bleuté. De l'absence de tout il se voit amoché des pieds à la tête ; crinière de feu et membres noueux. Interminables et malingres, les pattes se projettent à travers le néant. Animal blessé dès sa mise au monde, bestiole insaisissable qui d'une fin tragique de la figure maternelle se prive de féminité – dont elle déborde, dont elle envoûte à rendre malade et vicié. Qui par l'absence véritable d'un amour paternel prend l'homme pour objet. Des envies et de vilaines pensées semées au gré des saisons.
Si dangereuse créature – tyrannique, et les regards de l'époux enchaîné par serments l'indiffèrent, elle se joue de ses amertumes à force d'insolence. De suffisance et de mépris surtout, il l'étouffe, il la tue. Naïade sans affects. Dépourvue d'humanité il se peut, dépourvue de la grâce des soumises et des silencieuses.
Jouissance extravagante derrière les rideaux. Regarde-la entre les interstices.
Mouvance divine, silhouette découpée dans de la soie aux teintes de perles. Elle expire, inspire, expire et l'entrejambe fait souffrir, ne mens pas. Des torsades et un buste qui se voûte, qui s’électrise. La nuque s'incline et la lionne se venge d'un coup de griffe. L'arrière du crâne pendouille et les bras s'étirent. Guibolles en étaux. Il ne s'échappera pas, il ne s'éloignera pas d'elle. Pas tant qu'elle n'y aura pas consenti et de heurts il la comble et tourmente et la monstrueuse création s'exalte et s'esclaffe ; un écho d’éternité.
Lentement, elle défigure les promesses et s'en va, et s'abandonne. Déambulations macabres de maisons à logis, de pièces étriquées à monuments presque sacrés. Derrière un muret ou sur le froid de carreaux de riches mosaïques. Une entrée que les vents traversent et les tissus portés se froissent sur son derme, pourfendent ses excavations et monts cent fois explorés.
Vopisca, elle s'encastre dans le mensonge autant qu'aux hommes – la fureur accrochée à ses flancs. Elle en a besoin, en redemande. Affamée et assoiffée de la gloire des vivants. Et elle se souille de l'affront – affront envers quelques déités auxquelles elle est cependant dévouée, depuis sa plus tendre enfance. Depuis que son père,  articule-t-elle, l'a vendue. Et dans le mutisme de ses erreurs, elle s'excuse et prie, elle prie mieux, elle supplie, réclame, implore et baise non à la façon des individus rôdant dans les cloisons de cette civilisation ; mais à celle des bêtes sans âges. Car de bête elle a tout, mais de femme, elle n'en est plus certaine. Le creux des reins anéanti par la fatigue, fané par sa décadente avidité. Une faim excessive, démultipliée par ses exigeantes pulsions.
De descendance elle sait être distincte et disjointe. C'est ainsi fait, écrit, murmuré dans l'encolure de ses torpeurs les plus vivaces. Jamais tu ne seras mère, ignominieuse putain. Jamais tu ne seras femme, car de femme tu n'as que l'enveloppe prématurée ; contours inachevés d'une survivance aberrante. Esquisse ratée. Statuette décharnée et sourire évaporé.
Secrets cachés aux pupilles curieuses et l'esprit qui dramatiquement s’aliène, le sexe est et sera l'apaisement à son atroce férocité. Elle a besoin, besoin si fort de la sensation d'être aimée ou désirée ; la différence demeure infime, elle ne l'a pas comprise. Qu'on la conquiert, et que de la chaleur de l'opposé enfin la remplisse.
Solitude constante à l'aube d'une dégénérescence.
C'est dans l'obscurité qu'elle se recroqueville, la féline gamine. Pour que de la violence du rien, elle ne s'endommage. Que de la carence d'un autre, d'une simple compagnie, elle ne souffre plus. Elle rit et pleure et toujours le manque gonfle en son sein. À lui trancher la respiration et les veines,  assurément. Sa voix, elle la mange. Elle l’abrège. Elle l'enterre semblable à une défunte bessonne. Les faiblesses purulent et cette honte la macule.
Les ongles grattent une peau porcelaine à l'attente qui se prolonge et les dents grignotent le mince poignet déjà tellement atrophié ; par des mirages qui la déglinguent, par cette obsession d'entendre humer et soupirer à sa hanche. L'amant, l'amant l'amant du temps, des heures qui s'égrainent, sablier flingué. Et elle se donne, la belle Vopisca. Elle se gaspille à l'homme sans nom ni visage ; pénétrant son espace, l'invitation aux jambes ouvertes. Encore. Inconnu de ses jours aveugles de ses crépuscules infinis. Chuintements liquoreux d'une œuvre sale, d'une vestale incomprise aux ivresses saumâtres.

Supplique à ses lèvres.
Réception. Des convives qui badinent, le bruit du monde qui tourne tourne tourne à rendre nauséeux. Une main s'attache au bord d'un meuble de bois. Les ongles prêts à s'y planter, pour ne pas subitement chuter, se déglinguer de bas en haut et de haut en bas. En rythme, toujours en rythme, pour l'image. Le rendu. La musique pour fond sonore, les notes valdinguent dans l'atmosphère et les corps des hommes et des femmes aux services des plus riches se soumettent. Des doigts qui se perdent et des tissus si fins que rien ne peut être imaginé. La chaleur l'explique, traduiront les plus circonspects. Juste regarder regarder continuellement regarder de plus près.
Vopisca, elle ne s'en prive pas. Elle admire, les prunelles un brin écarquillées, les organismes sans s'attarder aux genres ; susceptibles de canaliser ses pulsions et troubles, de comprendre aussi les desseins engendrés par cette mascarade. Pièce de théâtre à ciel ouvert et épiez-les se prendre et se rejeter et se berner et ergoter ; vétille et cortège s'entrelacent. Du chaos et du vide et c'est merveilleux. Vision crasse et distordue, à faire vomir une mère sur ses enfants. Elle éclate de rire, subitement. Clôt les paupières pour ne plus les voir, une menotte suspendue à la face, le pouce et l'index enfoncés dans ses joues creuses. Profiter de l'engouement et du bonheur maquillé des uns et des autres. Parfaite épouse, magnifique épouse. On cajole, on caresse et à Publius Ulpius de se ravir des commentaires. Je sais, je le sais fort bien, merci. Et qu'en est-il de nos affaires ? Avez-vous réfléchi à ma proposition.
Trop d'alcool dans les veines et pas assez de bouffe dans le ventre, admet la jolie créature en se ravisant de justesse, évitant une bousculade inopportune. On la gracie de beaux compliments, on lui murmure les potins de dernière date et elle remue la tête. Et elle sourit en coin. Mais n'a pas la force de supplanter les chants et instruments de tortures à ses oreilles. Elle évite du mieux qu'elle le peut, qu'elle le veut, qu'elle l'implore, les yeux qui la mangent. Les yeux et la bouche et ce visage qui ne devraient pas tant la hanter, qui ne devraient pas tant la bouleverser. Et pourquoi cette enveloppe de rien lui aurait-elle été accordée si elle ne peut pas en jouir à sa guise. Des réponses que seuls les dieux absents seraient apte à entreprendre, des discours à perdre l'esprit. Et d'esprit, elle en a, quand on lui demande si un héritier bientôt accablera les deux époux. Et de malice elle se défait des situations qui la déchirent.
Des heures, des heures à ne plus pouvoir compter les invités ; foule s'enchevêtrant et exhalaisons excitant ses sens. Odeurs de fleurs ou d'alcools, d'épices singulièrement, de sueurs.
L'opulence étalée aux méditations de tous, et elle se rappelle qu'il lui a murmuré, j'espère qu'ils nous jalousent, j'espère qu'ils convoitent cette fortune que nous avons, que j'ai, que je partage, que je t'accorde mon amour. Mon amour, l'appelle-t-il, parce qu'en place publique la chose est agréable, elle sonne comme la plus douce des mélopées et incite à la faveur – qu'il veut, hurlant à l'appel du pouvoir, ce pouvoir qui ce soir lui ouvre les bras.
Flamine, qu'il devient. Et elle Flaminica, pour son bien, pour leur bien. Pour le bien de toute une population qui écoute et implore. N'est-ce pas ce que tu fais de mieux, n'est-ce pas vrai que tu les entends ? Qu'il demande lorsqu'elle enfile ses atours. Et Vopisca, elle incline la frimousse, ne répond que par les gestes car les mots l'épuisent. Il le sait, évidemment. Il la connaît cette foutue réponse. Elle les écoute plus qu'elle ne les entend, elle les perçoit plus qu'elle ne les sent, et ce charabia ne ressemble qu'aux béances qu'abrite son âme. Peintures aux couleurs criardes balancées sur quelques murs aux hasards, et de ces parois elle se croit immonde et miséreuse.
Les idées s'altèrent au sein de son esprit déconstruit ; le vin la rend fiévreuse. La paume de sa main sur ses propres cuisses la fait frissonner et elle jurerait qu'elle devient cinglée. Cinglée comme sa mère avant elle, cette mère qui au même âge décidait de disparaître ; ramener son corps et sa conscience à la création, aux grands, aux autres, à la poussière et ne vient pas gratter la pourriture que je serais, sous terre. Par les dieux que les années passent vite. Et elle sourit, toujours, indéfectiblement, elle sourit de ce rictus de fauve prêt à engloutir son prochain. Rangée de dents lactées et traits miraculeusement acérés. Elle n'a rien de tendre, elle n'a rien de convenable. Ce ne sont que des angles et des arêtes, des rasoirs enfoncés dans la chair. Et d'hypnotique elle a sans doute quelque chose, et d'inquiétant son aspect relève.
Elle se lève. Debout, un peu branlante. Elle enlace une amie, une convive. Vopisca, elle gazouille des sons plus que des sentences, des secrets aux concaves des tympans. Elle est brillante, c'est une charmeuse de serpents. Et elle s'évapore, sans que son mari n'en soit averti, sans qu'il n'en ait quelque chose à faire puisque du portrait d'un éphèbe il semble s'être épris, ce soir.
Elle traverse les allées et s'enfuit pour ne pas mourir à force de retenue, pour ne pas crever à force d'envie. Et c'est tout contre les frises d'un des longs couloirs qu'elle s'appuie d'abord. Une patte  blanche s'affairant à soulever ses vaporeuses étoffes, à lui laisser toucher plus efficacement les douleurs répandues entre ses jambes. Cette intarissable appétence de stupre. Mais il est trop tard, ou trop tôt, les songes éclatent et le contact de sa peau à la sienne la fait trembler. Elle se débat, tout juste, de quoi se retourner et le lorgner ; et le souffle brusquement ravagé elle écoute. Elle écoute, et le fixe à la manière d'une apparition, d'un messager venu panser ses plaies. Il parle, Sextus, il demande mais elle n'y entend rien, n'y comprend que la proximité qui d'elle à lui, de lui à elle devra, devait se créer. Alors elle chuchote ce qu'une Ménade aurait dit, elle expire ce que la bête aurait consenti. Continue. Et Vopisca guide ou agrippe, avant qu'il ne se dérobe, brûlante des poisons qui la composent.
C'était écrit, depuis des lunes, depuis qui ses pupilles se sont fondues aux siennes. Et sa main à lui lentement a pris la place de la sienne. Sinueuse décente sur ses courbes, dans ses crevasses. Et si ses iris se voilent d'une mince pellicule de larmes, ce n'est que par ravissements et besoins qu'il sature, enfin, de sa dextre cagneuse.

8 cycles plus tard.
Une silhouette affreuse.
Un mensonge avalé.
Un enfant à naître.
Une lutte perpétuelle par trop de pensées.
© fiche par indi & born.to.die


Dernière édition par Livia Ulpia Vopisca le Ven 3 Avr - 13:05, édité 103 fois
Patricien
Dim 29 Mar - 0:29
Re: She digs her nails into her naked chest.   




Licinia Domitia
₪ Arrivée à Pompéi : 17/03/2013
₪ Ecrits : 8618
₪ Sesterces : 223
₪ Âge : .
₪ Fonction & Métier : .

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: .
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ?
Licinia Domitia
http://torahana.tumblr.com/
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Rebienvenue avec ce nouveau personnage ma belle Calin Vospica est sans doute un de mes PVs préférés, du coup je suis vraiment contente de la voir incarnée, surtout avec la belle Alyssa jaime J'ai vraiment hâte de découvrir d'avantage sur ta vision du personnage Yaaa
Patricien
Dim 29 Mar - 0:47
Re: She digs her nails into her naked chest.   




Claudia Cassia
₪ Arrivée à Pompéi : 29/03/2013
₪ Ecrits : 2744
₪ Sesterces : 136
₪ Âge : 17 ans
₪ Fonction & Métier : Vestale

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ?
Claudia Cassia
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Bienvenue parmi nous sous cette nouvelle apparence ! :contente:

Alyssa est un super choix, et tu rendras son personnage sublime je n'en doute pas ! Please
Patricien
Dim 29 Mar - 1:08
Re: She digs her nails into her naked chest.   




Aulus Caelius Ahenobarbus
₪ Arrivée à Pompéi : 18/06/2014
₪ Ecrits : 590
₪ Sesterces : 100
₪ Âge : 25 ans
₪ Fonction & Métier : Patricien, en formation pour devenir Flamine

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation:
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur:
Aulus Caelius Ahenobarbus
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Ma flaminicaaaaa ♥️

Bon, après toutes ces péripéties, te voilà enfin parmi nous, belle Vopisca ♥️ Bon courage pour ta fiche Yaaa Trop trop trop hâte de lire ça **
Dim 29 Mar - 10:15
Re: She digs her nails into her naked chest.   




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Merci vous trois. Yeux roses
J'dois avouer que si vous n'aviez pas autant été à l'écoute, j'aurai absolument perdu la foi pour me trouver un perso. Alors, bah... merci encore. :l:
J'vais essayer de ne pas vous décevoir en optant pour cette demoiselle !
Dim 29 Mar - 12:13
Re: She digs her nails into her naked chest.   




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Re-bienvenue ! Yeux roses Contente que tu aies pu trouver chaussure à ton pied et hâte de voir ce que tu feras de ce PV ! Bon courage pour la fin de ta fiche !
Dim 29 Mar - 12:16
Re: She digs her nails into her naked chest.   




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Merci jolie demoiselle. She digs her nails into her naked chest. 3957115265
/range le courage dans une boîte ; pour la suite.
Patricien
Dim 29 Mar - 12:55
Re: She digs her nails into her naked chest.   




Helvia Claudia Scaevola
₪ Arrivée à Pompéi : 26/05/2013
₪ Ecrits : 2157
₪ Sesterces : 60
₪ Âge : 41 ans
₪ Fonction & Métier : Reine des Vipères et femme d'affaires

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Chaque miette de vie doit servir à conquérir la dignité.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Veuve et amante de Publicola
Helvia Claudia Scaevola
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Comme mes collègues au-dessus, je suis ravie de voir ce PV incarné parce qu'il a un potentiel extra ! Yaaa

Et je suis heureuse de voir que tu as trouvé ton bonheur ! Quant au choix d'Alyssa pour ton avatar, c'est juste un coup de génie ! Yaaa

J'ai vraiment hâte de voir ce que tu vas faire de ton personnage ! Bon courage pour la fin de ta fiche ! Bwa
Patricien
Dim 29 Mar - 14:24
Re: She digs her nails into her naked chest.   




Lucius Aquillius Maximus
₪ Arrivée à Pompéi : 15/03/2015
₪ Ecrits : 1045
₪ Sesterces : 145
₪ Âge : 28 ans
₪ Fonction & Métier : Tribunus laticlavius de la IV Légion, en charge du commandement d'une cohorte affectée à la défense des voies commerciales suite aux rumeurs de révolte servile.

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation:
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Marié à Atia Aquillia Pia
Lucius Aquillius Maximus
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Bienvenue avec cette nouvelle apparence non moins séduisante pervers
Patricien
Dim 29 Mar - 14:25
Re: She digs her nails into her naked chest.   




Atia Aquillia Pia
₪ Arrivée à Pompéi : 18/03/2015
₪ Ecrits : 421
₪ Sesterces : 92
₪ Âge : 24 ans
₪ Fonction & Métier : Patricienne

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Les Morts sont des Invisibles, non des Absents
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mariée à Lucius Aquillius Maximus
Atia Aquillia Pia
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OMG !!! Yaaa ce PV, cette tête... Bave Bave Bave c'est juste sublime tout ça ! j'ai hâte de te lire davantage et de te rencontrer en jeu ! Please

Lucius, à la niche. She digs her nails into her naked chest. 2281459394  navrée s'il a bavé sur ta stola Sourire
Esclave
Dim 29 Mar - 16:40
Re: She digs her nails into her naked chest.   




Themis
₪ Arrivée à Pompéi : 24/02/2015
₪ Ecrits : 409
₪ Sesterces : 170
₪ Âge : 20 ans
₪ Fonction & Métier : Favorite de Licinia Domitia

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: le loup dans la cité n'est qu'un loup, moi j'en suis le chasseur
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: le faible aime, le fort s'oriente et apprivoise sa proie
Themis
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Bienvenue à toi Yeux roses

Bon courage pour ta fiche pompom
Dim 29 Mar - 22:22
Re: She digs her nails into her naked chest.   




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Helvia ; merciiii beaucoup. Et sache que tu as une patience en or. =P
Je pense aussi avoir de quoi faire avec elle. ET C'EST TROP chouette.
Et oui, hein, pour l'ava... Alyssa quoi... Triste Le pire c'est qu'elle m'est vraiment venue par hasard quand je me suis refait l'historique des trucs que je matte. ^^

Lucis & Atia ; MDR. Bande de trolls XD
Merci beaucoup, beaucoup. Vous êtes vraiment adorables. Et yep Atia, tkt, on se trouvera un p'tit lien bien comme il faut pour mumuser dans les ruelles (sombres She digs her nails into her naked chest. 1920194729 ) de Pompéi.

Themis ; Merci beauté. Diable
Lun 30 Mar - 10:40
Re: She digs her nails into her naked chest.   




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Re-bienvenue !
Patricien
Dim 5 Avr - 12:14
Re: She digs her nails into her naked chest.   




Claudia Cassia
₪ Arrivée à Pompéi : 29/03/2013
₪ Ecrits : 2744
₪ Sesterces : 136
₪ Âge : 17 ans
₪ Fonction & Métier : Vestale

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ?
Claudia Cassia
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Comme les autres, désolée pour le temps qu'on a mis à se pencher sur ta fiche ! Flag

En tout cas ... je trouve que tu as su donner au PV une dimension nouvelle et j'ai hâte de la voir évoluer en rp! Yaaa Très belle fiche, je te prévalide sans plus attendre! Please En langage pompéien ça veut dire que tu peux recenser ton avatar, créer ta fiche de lien et venir flooder si le coeur t'en dis ! cheers

J'ai vu que tu cherchais une marraine / un parrain? N'hésite pas à venir faire ta demande ici pour que tous les potentiels parrains soient avertis ! Lèche
Dim 5 Avr - 14:49
Re: She digs her nails into her naked chest.   




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Invité
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Merciiii. Beaucoup beaucoup.
Oki pour tout le reste, je file faire ça dans la journée. a moi !

(et merci pour le sujet des parrains, j'y poserai mes papattes également)
Empire
Dim 5 Avr - 17:22
Re: She digs her nails into her naked chest.   




Cornelius Maestus
₪ Arrivée à Pompéi : 01/10/2013
₪ Ecrits : 244
₪ Sesterces : 2
₪ Âge : 39 ans
₪ Fonction & Métier : Dominus gregis
Cornelius Maestus
http://derouleurdepensees.tumblr.com/
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Et bien quelle fiche ! C'est un PV que je connaissais très mal, et j'aime beaucoup la façon dont tu l'incarnes dans ta fiche, j'ai hâte de te voir en jeu avec Vospica Please

Je te valide définitivement, bon jeu sur POMPEII ! She digs her nails into her naked chest. 1343103726
Dim 5 Avr - 22:43
Re: She digs her nails into her naked chest.   




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Oh je n'avais pas vu ton petit message.
Merci beaucoup (classe l'ava !! je ne l'ai jamais vu joué auparavant ^^)
En espérant ne pas te décevoir alors. Yeux roses Lèche
Re: She digs her nails into her naked chest.   




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