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 Epidia ₪ je n'oublie et ne pardonne jamais



POMPEII, TERRA DEORUM ₪ :: Population recensée
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Plebe
Lun 24 Mar - 18:53
Epidia ₪ je n'oublie et ne pardonne jamais   




Epidia Tullia Ravilla
₪ Arrivée à Pompéi : 23/03/2014
₪ Ecrits : 529
₪ Sesterces : 57
₪ Âge : 23 ans
₪ Fonction & Métier : Plébéienne œuvrant pour le rêve ambitieux de son frère.

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation:
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Veuve au coeur froid.
Epidia Tullia Ravilla
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(c) copyright
Epidia Tullia Ravilla
incarnée par Eleanor Tomlinson
Ave, étranger! Je suis Epidia Tullia Ravilla, fille de Marmecus Epidius Crispus. Née à Pompéi, il y a 23 ans, je suis d'origine romaine. La déesse Fortune a fait de moi une plébéienne et j'ai pour famille mes parents et mes sœurs et frères dont Caeso Epidius Statius, mais surtout mon bien aimé fils Manilius Tullius.


Plus de 2000 ans plus tard, c'est Zoé qui m'incarne. Qui es-tu? oooh vous me connaissez toujours pas depuis le temps? Je reviens avec une plébéienne grâce au super scénario de Céline qui m'a donné envie de créer la sœur de Caeso... merci Please
Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [X] que mon personnage soit adapté en scenario et ce pour permettre à mes liens importants de ne pas être gênés. Mais ça n'arrivera pas. hem

(c) copyright
Pompéi & moi

→ Ce que je pense de Pompéi
Pardonnez-moi si je ne peux pas vous sourire et vous dire chaleureusement : « Pompéi est une ville charmante ». Les hommes y sont méprisants, avides et tellement ambitieux qu’ils pourraient vous écraser par leur seule ombre. L’ego voilà ce que représente pour moi Pompéi. Je n’aime pas vivre dans cette ville, je ne l’ai jamais aimé. Néanmoins, j’ai compris récemment qu'à l'instar de mon passé : mon avenir se fera ici... Alors je vais devoir œuvrer pour qu’elle me paraisse plus agréable…

→ Ce que je pense de la politique
La politique est le jeu des patriciens : je ne m’y intéresse pas du tout. Peut-être direz-vous que si j’étais née riche patricienne j’aurais vu les choses autrement… mais je ne crois pas. Les hommes dominent ce monde, pas les femmes. Je ne dis pas que je n’ai pas le goût de la manipulation, mais toutes les paroles de ces grands hommes résonnent indifféremment à mes oreilles. Il est certain qu’aucun d’entre eux n’a jamais eu à connaître les moqueries de ce bas monde. Ils ne connaissent que la gloire du sang qu’ils ont versé… Pourtant il n’y a aucune gloire à faire couler le sang… Je m’égare. La politique ne m’intéresse pas, veuillez noter cela.

→ Ce que je pense des jeux
Les jeux ? Voilà quelque chose que je chérie, vous auriez du commencer par cela ! Enfant, je me répétais que la vie était une illusion… pourtant il n'y a aucune illusion en ce monde si ce n'est les jeux... Mon père est un marchand d'esclave aussi réputé que l'on peut l'être dans cette profession, enfant, il m'emmenait souvent voir ses anciens biens jouer pour le ludus Lucretii. Dans cette foule en émois, je n’avais plus l’impression d’être la fille du marchand d’esclave j’étais juste Epidia et le monde ne semblait plus exister. Les jeux sont un réconfort, une distraction qui réunit tous les hommes pour une même ferveur et alors … la médiocrité du quotidien s’envole pour quelques heures.

→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions
La plupart des gens vous diront que je n'ai aucun souhaits ni aucunes réelles ambitions... Après-tout qu'elles pourraient être les ambitions d'une fille de mangon? Mais derrière cette sévérité que je me suis infligée au fil des années, mon cœur nourrit bien évidemment des rêves inassouvis... Mes grands yeux gris cherchent à s’élever vers une meilleure condition pour qu’à jamais s’effacent les rires sans visages de ceux qui se moquaient de la fille du marchand d'esclave… Oui, j’aimerais offrir à mon fils une enfance moins amère que la mienne. De plus, j'ai bien l'intention d'aider mon frère à devenir le prochain laniste, on murmure qu'il va se marier avec Ilythia.

Voyez points de rêves d'amour, de gloire ou de richesses... Mais n'y prenez garde, aucune ambition n'est à prendre à la légère...

→ Ma pire crainte
Que l'on m’arrache mon fils. La peur peut faire faire des choses terribles… et je ne le sais que trop bien.

→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi.
Je les crains et les respecte, mais je ne serai plus me reposer sur Eux. Enfant, j’ai eu beau faire des offrandes répétées, jamais ils n’ont changé mon quotidien. Ils ne m'ont jamais rendu plus légères les railleries des autres enfants... Je remercierais éternellement Juno Lucina de m’avoir accordé mon fils peut-être est-ce pour cette étincelle qu’elle m’a repris ma fille avant même que je n’ai pu entendre son souffle… Oui, Juno Suspita, elle, ne s’est jamais manifestée à mes côtés et pourtant ce n'est pas faute de lui avoir demandé miséricorde. Quant à Proserpine, parlons-en, elle m’a enveloppé d’une fièvre meurtrière… Les Dieux vont et viennent, finalement peut-être serait-il plus sage d'attendre simplement que la Fortune s'accomplisse...

Mon histoire


Une main posée contre la baie de la demeure paternelle, la tête endeuillée tombante lascivement sur le mur, elle regarde. Elle observe la vie pompéienne vivre de ses vas et viens incessants, ses grands yeux gris autrefois rieurs tentent de capter ce qui lui a manqué toute sa vie entière : la satisfaction. Elle perçoit les voix criardes des marchands, les licteurs qui demandent de faire place et les rires des jeunes filles. Leurs rires qui semblent prendre tout leur écho au second étage…

***

« Arrêtez ! Arrêtez ! ».

L’enfant rit aux éclats, ses joues rondes et rouges ne semblent crier à la rédition que par crainte d’éclater en mille morceaux… Ses frères la relâchent sous des moqueries affectives. La cadette fait tourner la tête de toute la famille, malicieuse elle ne peut s’empêcher de jouer des tours à ses aînés. Une matrone romaine, à l’âge avancé et à la taille opulente tape dans ses mains : il est l’heure. Ils vont tous être en retard. Elle passe ses enfants en revu comme un légat observe ses troupes avant la bataille, la victoire. Elle scrute de ses yeux maternels, connaisseurs, tentant de trouver la moindre petite imperfection. Elle s’arrête avec un sourire dissimulé elle est fière de ses enfants, plaçant une main sur son fils préféré, Caeso elle hoche la tête d’un air approbateur. La marmaille joyeuse composée d’adolescents et enfants se prend la main et s’éloigne vers les rues en fête de Pompéi, impatiente d’assister aux jeux civiques dont les favoris proviennent du commerce de leur père. Personne ne semble voir la frêle enfant rester sur place, prise de panique. Dans ce monde seul les plus persistants survivent, depuis longtemps déjà la matrone à perdu tout espoir de faire quelque chose de sa cadette, elle ne peut que l’aimer de loin. Cependant, une des sœurs se retourne et lui tend sa main :

« Ravilla tu ne peux continuer à avoir peur du monde extérieur !
- Mais les autres sont méchants avec nous Major… D’une voix hésitante elle ajoute, les enfants nobles me tirent les cheveux et me jettent parfois des cailloux en m’insultant de fille de magon.
- Mais c’est ce que tu es Ravilla : la fille du vendeur d’esclave.
- Je n’ai plus envie d’être sa fille. »

Un rire cristallin s’élève dans les airs, l’aîné des sœurs prend sa sœur dans ses bras, sans pour autant réellement comprendre les maux de sa cadette ; viens et ce soir nous irons dans le Palanquin des rêves ! lui chuchote-t-elle dans la confidence. Elle a gagné, encore une fois. Ravilla glisse sa main dans la sienne et se colle à elle dans l’espoir de devenir invisible afin que les rires sans visages des autres enfants ne l’atteignent pas. Ses joues fraîches et rosies ont perdu de leurs couleurs, aussi blanche que le marbre.

Elle s’avance l’angoisse à la gorge.

***

La jeune femme, perdue dans ses pensées, n’entend pas les pas feutrés des esclaves qui posent dans l’ombre ses malles revenues de Naples. Elle laisse son être choir un peu plus contre le mur. Les malles ne sont pas très nombreuses, des stola, du linge, quelques parures que son défunt époux lui avait offert aux jours heureux de leur mariage. En somme rien d’important. Ces malles ne contiennent pas de souvenirs sentimentaux. Elles n’ont pas de valeurs.

***

La jeune épouse se promène dans la villae, la demeure est bien plus spacieuse que celle où elle à grandit. De ses yeux vifs elle tente de percevoir tout, elle veut tout connaître de sa nouvelle maison pour satisfaire son nouvel époux. Son visage est paisible, mais à l’intérieur elle se sent déboussolée. Il n’y a plus le palanquin des rêves, il n’y a plus d’illusions sur la vie, plus de place pour des rêves joyeux et heureux, plus de rires partagés sous les fourrures avec Major quand la nuit vient. Il n’y plus qu’une couche où il faut se tenir droite et fermer les yeux tandis que l’époux s’agite comme un animal.

La jeune épousée, la jeune Gaïa pénètre ses mains dans l’eau d’un modeste bassin. Une fois trempées elle les laisse parcourir son visage. La chaleur à Naples est étouffante, bien plus qu’à Pompéi.

« Je dois aller à mon commerce… Je m’occuperais de toi ce soir. Elle sursaute. Les yeux baissés, soudain gênée de cette nouvelle proximité elle ajoute à mi-mots, souhaites-tu que je t’accompagne époux ? L’homme, reste dans l’embrasure de la porte, et regarde son épouse. Elle est jeune et trop maigre, il ne peut s’empêcher de penser qu’elle décédera dès son premier né, mais il n’a pas eu le choix. Il faut dire que l’aîné des Epidii qui s’est lancé dans un commerce honorable lui a vendu sa sœur tel un joyau, elle était un part de la transaction. Il lui avançait les fonds pour son commerce en échange de ce joli minois… Il marmonne enfin : non, ce n’est pas un endroit pour les femmes ». Il la salue respectueusement et referme la porte.

L’épouse se laisse tomber auprès du bassin, le cœur battant. Ses yeux rougissent avant de picoter pour enfin laissé couler des larmes d’impuissance. Ce monde est trop étouffant et il ne lui a pas offert ce qu’elle souhait. Elle regarde les colonnes qui l’entourent, une prison agréable. Son époux est un argentari. Elle a acquit en richesse, mais elle est toujours liée à une condition répugnante. Elle ne peut aider son époux dans son commerce, n’a pas d’amies à qui se confier : seule. Elle place une main sur son ventre, pourvu qu’un fils vienne égayer ses prochains jours.

***

Elle n’est plus la femme du banquier. Elle est à nouveau la fille du vendeur d’esclave. Une boule au goût amer se forme dans gorge comme quand elle était enfant. Attachée à jamais à des conditions répugnantes et sujettes aux moqueries populaires. Un garçon arrive en courant et attache ses mains potelées autour des jambes de sa mère. Elle pose une main sur sa chevelure fournie. Il noie ses larmes dans la robe maternelle. Il ne comprend toujours pas pourquoi il a du quitter sa ville, ses amis, son père… Il est apeuré par ces nouveaux visages, cette nouvelle vie et le comportement effacé de sa mère. Il serre un peu plus en sanglotant.

***

La mère du banquier pose sa main velue sur le ventre arrondi pour la seconde fois de sa belle-fille. Finalement la fille a survécu facilement à la première grossesse et l’enfant est en bonne santé. Elle pose un regard sur son petit-fils qui a laissé choir sa tête sur l’épaule de sa mère. L’enfant dort, elle porte un regard inquiet à sa bru, son œil droit porte une marque bleuté. Elle soupçonne son fils de s’être laissé aller à ses excès de violence, mais comme toujours elle ne peut pas compter sur Ravilla pour se confier cette dernière parle peu et la plupart du temps se montre assez froide. L’entente ne passe pas toujours entre les deux femmes, mais au fond elle affectionne cette jeune femme dont elle est certaine, renferme un grand cœur. Elle ose : « Mon fils a-t-il… mais elle est coupée dans on élan, ton fils est un époux attentionné ma mère, as-tu vu le dernier présent qu’il m’a offert ? Une parure tout droit venue du Pont-Euxin ! » La mère se retourne et fait mine d’observer l’ouvrage. La conversation est avortée. Elle repart chez elle. L’épouse dort mal cette nuit là, son visage la brûle et elle redoute la violence de son époux qui s’est fait croissante depuis de nombreux mois maintenant. Toujours dans les maisons de joies auprès des filles au sang chaud, passablement ivre quand il rentre le soir. Elle le soupçonne de souffrir de sa condition, comme elle le faisait quand elle était enfant. Elle s’applique à être une matrone modèle, elle aimerait pouvoir sourire plus souvent et partager plus de rire avec l’être bipolaire qu’est son époux.

Ils sont trop différents. Dans ses instants libres, Ravilla se laisse à rêver, elle continue de se dire que la vie n’est qu’une illusion et que si on sait où chercher on peut voir ses souhaits exaucés. Elle navigue encore dans sa chemise de lin sur le palanquin des rêves. Son époux lui est terre à terre, il veut des résultats, du profit dans le présent, pour lui la vie n’est pas une illusion : il n’y a pas de place pour les rêves et il ne supporte plus de voir les sourires solitaires de son épouse. Il ne supporte pas que son épouse se laisse aller à ses rêveries risibles, il aimerait savoir comment lui parler, la comprendre pour la posséder entièrement, mais elle reste sauvage, froide et distante : éternellement insatisfaite.

Un soir, il rentre puant les affres de la luxure et de la vinerie, son humeur est des plus noires, il a une mauvaise journée, les affaires sont au plus bas des fièvres d’orient ravages des navires entiers, les marchandises n’arrivent pas et les marchands ne sont pas en mesure de le rembourser. Il rentre d’un pas tangible, rouge, elle le soutient, pâle. « Arrête de fréquenter ces lieux insalubres Postumus, reviens ici. Ses yeux sont apeurés mais sa voix est bien trop ferme et un brin autoritaire. La présomptueuse ! Je ferais … ce n’est pas une fille du vil insecte qui me dira quoi faire ! Elle le lâche. Il titube. Son regard se fait violent et elle pose ses deux mains sur son ventre en reculant d’un pas. La gifle est violente et l’épouse tombe au sol. Le ventre craque sourdement et un cri déchire la pièce. Un cri de douleur et de colère.

***

Elle se penche vers son fils et le prend dans ses bras. Elle lui murmure des choses rassurantes. Non, ici il n'aura plus peur, ici ils auront une vie meilleure. Elle ne laissera plus personne leur faire de mal, plus personne se mettre au travers de ses rêves.

***

L’époux est fiévreux à force de remuer ciel et terre les navires infectés pour trouver son argent il a contracté lui aussi la fièvre. Tandis que les medicus se concertent, l’épouse regarde dans l’embrasure de la porte, ce n’est plus elle qui semble apeurée et écrasée par la pièce. Ils délibèrent, ils sont formels : Postumus ne pourrait vivre ses derniers jours. Ils partent, d’autres patients les attendent.

« Ravilla … »

Elle s’approche une bassine d’eau à la main. Elle va rester à son chevet toute la nuit. La main fiévreuse de son époux effleure la sienne, elle ne peut s’empêcher de frissonner et de détourner les yeux.

« Quand je me rétablirai … nous arrêterons cette union… tu retourneras à Pompéi seule et tu commenceras une nouvelle vie. De grands yeux gris se posent sur lui, elle ne veut pas partir sans son fils. Elle ne veut pas partir et laisser son unique enfant entre les mains de ce meurtrier… Il continue après une longue respiration, me pardonnes-tu pour … tout ? Elle plonge un linge la bassine et l’applique sur le front de son époux. Je vais te relever pour que tu puisses mieux dormir, dit-elle en ignorant ses paroles. Ignorer non, l’épouse n’ignore pas, elle mesure silencieusement derrière son masque de marbre les paroles du malade. »

De l’autre côté de la pièce elle touche le coussin de ses doigts fins, le caressant paisiblement. Retourner à Pompéi, redevenir la fille du marchand d’esclave après une répudiation … non. Depuis des années déjà elle supportait les aléas de son destin, son coussin lui donnait l’opportunité de le devenir. Elle pose une main dessus, le cœur battant étrangement. Elle se retourne avec un sourire serein. Un sourire nouveau. Elle s’assoit sur le bord du lit, remet une mèche de son époux en place. Le coussin glisse sur le visage du banquier. Elle appuit un peu plus quand il tente de pousser un cri. Son corps se débat doucement et alors elle murmure « je n’oublie et ne pardonne jamais. » Le corps s’affaisse sans un bruit. Elle place alors le coussin sous le défunt.

Elle est libre.

***

Les funérailles ont durées quinze jours, face aux pleurs de la veuve la belle mère redoubla d'intentions à son égard : elle savait qu’un cœur tendre se cachait sous le visage dur et impassible de sa bru. Mais la veuve ne pleurait pas de tristesse ou peu, elle pleurait pour un nouveau sentiment qui venait naître en son sein ... Epidia Tullia Ravilla n’avait plus peur.

fiche (c) Semper Eadem


Dernière édition par Epidia Tullia Ravilla le Jeu 3 Avr - 16:56, édité 6 fois
Lun 24 Mar - 19:01
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*saute avec la vigueur d'un kangourou, vole avec la grâce d'un écureuil et atterrit sur Epi de son adresse féline* Yaaa
Spoiler:

rebienvenue Epidia ₪ je n'oublie et ne pardonne jamais 3800885952Epidia ₪ je n'oublie et ne pardonne jamais 3800885952Epidia ₪ je n'oublie et ne pardonne jamais 3800885952Epidia ₪ je n'oublie et ne pardonne jamais 3800885952Epidia ₪ je n'oublie et ne pardonne jamais 3800885952
Empire
Lun 24 Mar - 19:46
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Ausonius Niger
₪ Arrivée à Pompéi : 18/10/2013
₪ Ecrits : 3207
₪ Sesterces : 407
₪ Âge : 21 ans
₪ Fonction & Métier : Au service de Kaeso Ausonius Faustus. Voleur à ses heures perdues, vacant entre une auberge et un lupanar.

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation:
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Plusieurs femmes l'habitent, mais une seule a su le kidnapper.
Ausonius Niger
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Re Re Bienvenue alors ♥️ Hâte de voir ce que cette plébéienne va donner Very Happy
Patricien
Lun 24 Mar - 20:41
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Helvia Claudia Scaevola
₪ Arrivée à Pompéi : 26/05/2013
₪ Ecrits : 2157
₪ Sesterces : 60
₪ Âge : 41 ans
₪ Fonction & Métier : Reine des Vipères et femme d'affaires

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Chaque miette de vie doit servir à conquérir la dignité.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Veuve et amante de Publicola
Helvia Claudia Scaevola
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Ma nièce nous fait une plébéienne... j'ai hâte de la voir en action ! Lunettes
Mar 25 Mar - 10:08
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Re-Bienvenue !
Mar 25 Mar - 13:21
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Bienvenue dans la confrérie des schizophrène  drunken 
Patricien
Mar 25 Mar - 16:48
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Licinia Domitia
₪ Arrivée à Pompéi : 17/03/2013
₪ Ecrits : 8618
₪ Sesterces : 223
₪ Âge : .
₪ Fonction & Métier : .

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: .
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ?
Licinia Domitia
http://torahana.tumblr.com/
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rebienvenue XD
Jai hâte de voir plus en détail ce troisième personnage que tu nous concoctes Please
Plebe
Mar 25 Mar - 19:28
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Epidia Tullia Ravilla
₪ Arrivée à Pompéi : 23/03/2014
₪ Ecrits : 529
₪ Sesterces : 57
₪ Âge : 23 ans
₪ Fonction & Métier : Plébéienne œuvrant pour le rêve ambitieux de son frère.

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation:
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Veuve au coeur froid.
Epidia Tullia Ravilla
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Merci à vous tous! Yaaa Coeur

J'espère que Epidia sera tempérer l'ambiance électrique entre Ulysse et Claudia : j'en ai marre qu'ils se fassent la guerre dans mon esprit... Arrow
Patricien
Mar 25 Mar - 21:06
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Lucius Pompeius Publicola
₪ Arrivée à Pompéi : 11/05/2013
₪ Ecrits : 2404
₪ Sesterces : 65
₪ Âge : 42 ans
₪ Fonction & Métier : Duumvir

Cogito ergo sum ₪
₪ Citation: Verba volant, scripta manent.
₪ Moi en quelques mots:
₪ Côté Coeur: Époux de la louve et amant de la vipère.
Lucius Pompeius Publicola
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Re-bienvenue pour ce TC ! cheers
Jeu 3 Avr - 21:11
Re: Epidia ₪ je n'oublie et ne pardonne jamais   




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Je te le redis, mais j'ai adoré ; une plébéienne qui s'impose dans l'univers de Pompéi, et ta plume est toujours aussi agréable à lire. Coeur Y paraît que j'ai l'droit, alors c'est un honneur de te pré-valider Please
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