| Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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Mar 7 Jan - 22:37 Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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₪ Arrivée à Pompéi : 07/01/2014 ₪ Ecrits : 89 ₪ Sesterces : 0 ₪ Âge : 34 ans ₪ Fonction & Métier : Commerçant, intrigant et mécène Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Trahit sua quemque voluptas.₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Marié à Lucilla Cornelia Secunda Titus Cornelius Servilius | | |
| | Titus Cornelius Servilius incarné par John Simm Ave, étranger ! Je suis Titus Cornelius Servilius, fils de Lucius Cornelius Postumus. Né à Pompéi, il y a 34 ans, je suis d'origine latine. La déesse Fortune a fait de moi un plébéien et j'ai pour famille les Cornelii, mais ceux issus de la branche plébéienne. J'ai un frère cadet qui se nomme Tiberius et une épouse, Lucilla Cornelia Secunda.Plus de 2000 ans plus tard, c'est Briséis qui m'incarne. Qui es-tu ? Je suis votre Duumvir adoré que vous déifirez plus tard (si si si ). Si je venais malheureusement à quitter le forum, j'accepte [X] que mon personnage soit adapté en scenario, et ce pour permettre à mes liens importants de ne pas être gênés. Mais ça n'arrivera pas. | |
Pompéi & moi → Ce que je pense de Pompéi Je connais tes recoins, je connais tes secrets. Tu es le théâtre de ma vie, ce grand terrain de jeu où je m'ébats tout en n'essayant pas de rayer le marbre de mes dents longues. Parfois, je te trouve trop décadente à mon goût, trop patricienne, trop dédaigneuse et si je te dédaigne en pensées justement, c'est pour mieux me préparer à te quitter lorsque les portes de la grande Rome me seront ouvertes. Je t'abandonnerai alors sans me retourner, car je n'ai de pays que celui qui puisse contenir mon ambition.
→ Ce que je pense de la politique Mon rang ne me permet pas d'en être un acteur à part entière et à faire le beau au milieu de la curie. Mais j'en admire ses coulisses et je manie la langue de bois aussi bien que ceux qui nous dirigent. Je flatte les politiciens, car ils sont nécessaires à mon ascension. Je m'avère visiblement doué vu que je suis toujours là. La politique ne peut être ignorée lorsqu'on souhaite des faveurs et puis elle nourrit si bien les intrigues qui se jouent sur scène qu'il me semble la côtoyer tout le temps, en privé comme en public.
→ Ce que je pense des jeux Ils m'inspirent beaucoup. Si j'ai bien entendu une préférence pour tout ce qui concerne le théâtre, je ne peux nier l'attrait que peut parfois déclencher un combat de gladiateurs bien mené. Si les adversaires sont doués, il se déroule une véritable fresque épique dans l'arène, si proche parfois des dénouements de quelque tragédie. J'avoue préférer lorsque le brave guerrier meure, quitte à avoir du spectacle, autant en être repu.
→ Mes souhaits, mes rêves, mes ambitions Si je devais avoir une bannière, ce serait certainement celle de l'arrivisme, même si je préfère grandement le qualificatif d'ambition. Depuis que je suis jeune, je souhaite me démarquer à tout crin de ma famille médiocre afin de me tracer un chemin vers les sphères les plus hautes. Rome est pour le moment l'objet de mes convoitises, ainsi que le pouvoir qui y siège et je compte bien mener la troupe de Maestus jusque dans la cité éternelle.
→ Ma pire crainte Tomber dans la médiocrité et que mon nom puisse être oublié ou négligé bien entendu, cette crainte fondamentale de n'être que le reflet de ce que fut mon paternel. J'ai également une crainte plus intime, celle de voir un jour Senianix me tourner le dos. Oh certes, le pourrait-il vraiment sachant qu'il m'est attaché en tant que client ? Mais perdre l'admiration qu'il a pour moi serait une blessure mortelle.
→ Heureusement, les Dieux veillent sur moi. En tous cas, certains d'entre eux semblent le faire car tout ce que j'entreprends me réussit. Ils ont arraché mon père à la vie afin que je puisse enfin trouver ma juste place, il ont mis Maestus sur ma route, ils m'ont donné le théâtre et un but. Mais mon cynisme m'empêche d'être un dévot accompli même si je me laisse parfois aller à une certaine superstition.
Mon histoire Il pose son regard froid sur ce petit garçon braillard qui gigote parce qu'il s'est écorché le genou, tandis qu'une esclave tente en vain de le soigner. C'est le second fils dont Postumus semble si fier, un futur médiocre certainement pense l'aîné. Lui n'attire pas la fierté de son père, car il renâcle à se passionner au commerce du vin. Il préfère ses livres d'histoire, la grande la vraie, aux histoires sans cesse remâchées du pater. Alors forcément, Postumus regarde Tiberius en se disant que le second saura peut-être l'aimer, lui au moins, alors qu'il n'a jamais su réduire la distance qui se creuse chaque jour d'avantage entre lui et Servilius. Ça n'a pas d'importance, il tourne la tête et retourne à ses livres, cherchant l'endroit le plus isolé de la domus pour ne plus entendre son frère pleurer. Lui ne pleure pas, il n'a jamais pleuré, il est même certain qu'il n'a pas pleuré alors qu'il était tout petit, impossible. Lui il est en colère, alors peut-être a-t-il hurlé quelques fois sa rage, mais jamais pleurniché ainsi. Il trouve ça pathétique et tellement banal. Tout comme sa famille en réalité : des petits plébéiens, trop contents d'avoir été choisis par les patriciens, ceux qui portent le même nom qu'eux mais n'ont pourtant pas la même vie, pour vendre la production viticole de leur villa. Tout ce que Postumus vise, ce sont des profits à courte vue, rien d'original, juste de quoi faire vivre sa maisonnée. N'être mu que par cela, est une pensée qui écoeure Titus au point de le faire détester son père. Lui cherche à suivre des objectifs plus vastes, plus grands, plus intenses aussi. Jamais il ne sera médiocre comme son père, il se l'est juré. Postumus a beau être né libre, il agit encore en esclave.
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Ils ont dit qu'il serait son intendant, ce petit garçon malingre, avec ses grands yeux noirs, qui le regarde fixement. Comme si à son âge, il avait besoin de quelqu'un pour gérer ses affaires. Oui mais plus tard, tu en auras avait objecté son père. Et de plus importantes que les tiennes, avait répondu Servilius, avec hargne, mais silencieusement. Alors le voilà obligé de côtoyer un autre être, au quotidien, mais il y a quelque chose qui lui plaît chez ce jeune esclave, peut-être est-ce cet air de doux rêveur qu'il arbore, ou ce ton toujours en retenue. Lui n'a pas de rêve défini, il rêve l'ambition elle-même, l'accomplissement de quelque chose qui le mènera loin, mais il ne sait pas quoi encore, et pour l'intendant, c'est pareil, mais lui semble être habité par quelque chose de plus, quelque chose que Servilius n'a pas. Aussitôt, il se dit qu'il lui faudra le découvrir, cela l'intrigue, cela l'attire. Lui aussi veut un jour avoir les yeux rêveurs. Mais Titus est de cette race de pragmatiques, s'il rêvera en effet un jour, cela ne sera pas le même genre de rêve. Senianix, c'est son nom et c'est comme cela que son jeune maître l'appelle, même s'il le considère surtout comme son ami, depuis le temps qu'ils jouent ensemble, qu'ils se racontent tout, qu'ils vivent presque chaque heure côte à côte. Il l'a tout de suite bien aimé, parce que c'est un calme, tout comme lui. Alors que son frère, Tiberius est un nerveux, un bagarreur du haut de ses jeunes années. Il démontre déjà qu'il n'a que peu d'esprit. Tout comme le pater. Aujourd'hui, Servilius ne se donne même plus la peine de haïr son père, c'est pire encore, il le méprise. Mère est gentille, mais malheureusement, elle n'a que sa gentillesse à offrir. C'est pourtant elle qui emmènera Servilius et Senianix, quelques semaines plus tard, voir une pièce de théâtre. Les deux jeunes gens en sont enchantés, ils vivent l'action qui semble se dérouler sous leurs yeux. Ceux de Servilius brillent d'une intensité rare, c'est son rêve qu'il touche de ses prunelles, et ceux de Senianix brillent tout autant, et c'est si bon de le voir ainsi heureux, c'est si rare. Alors le soir même, ils refont le monde, ils évoquent l'avenir et pour la première fois, l'ambition de Servilius a quelque chose à quoi se raccrocher. Il rêve enfin, il comprend que le théâtre sera sa porte d'entrée, alors il pousse son ami à rêver aussi, lui qui a toujours eu la propension à le faire. Ils partageront dès lors le même rêve.
***
Tiberius les appelle de sa voix braillarde, qu'il n'a toujours pas perdue, mais Servilius hausse les épaules, alors Senianix le tire par la manche. Viens, viens voir, alors il se laisse faire et il voit alors le pauvre chien de la domus que son frère est en train de pousser du bout du pied alors que la pauvre bête ne peut plus se mouvoir. Pater est accouru, car il court toujours quand Tiberius appelle, si jamais le pauvre s'était fait mal. Alors il secoue la tête, il a l'air triste, Postumus, ce n'est pas un méchant homme après tout, même si cela simplifierait tout. Il dit qu'il va falloir abattre le chien. Tiberius semble d'accord, il l'appelle "vieille carne" et Servilius a envie de fracasser la tête de son frère par terre à cet instant, mais il ne le fait pas, il se contente de sentir la rage poindre son nez tandis qu'il s'interpose entre le chien et son frère et qu'il lui dit de dégager. Le père semble surpris, il essaie souvent d'oublier que son aîné a un feu dévorant couvant sous la glace, car ce feu lui fait peur, il ne le comprend pas. Servilius n'en démord pas, le chien ne mourra pas aujourd'hui, il l'a décidé, car lorsqu'il prend une décision, on ploie devant sa volonté, c'est ainsi. Et Senianix s'interpose à son tour, ce qui fait que Titus ressent une force rare l'habiter, il se sent invincible et c'est enivrant à un point jamais atteint. Le chien est épargné, pour les quitter définitivement quelques temps après, la mort n'ayant consenti de ployer le genou qu'un bref instant. Mais Servilius ressent encore les échos de cette force : avec Senianix à ses côtés, il ne peut être vaincu.
***
Ils ont fomenté ce coup là depuis des années, ils en ont ri, ils en ont même pleuré, même si Servilius ne pleure pas vraiment, il ressent à travers Senianix. On ne l'appellera plus ainsi, il n'est pas encore pater familias, mais il veut que son ami soit affranchi, enfin, que le rêve puisse s'accomplir. Titus sait que c'est un combat gagné d'avance, son père est sensible à la cause des esclaves, les chaînes ne semblent jamais bien loin, même à lui le plébéien. Servilius les nie, les chaînes, jamais il ne veut les sentir, et il ne veut pas que Senianix continue à en porter. Alors ils achètent son affranchissement, ils sont libres tous les deux. Cela fait quelques semaines que Servilius murmure à l'oreille de son ami : il lui faut fonder une troupe, rester le maître, il ne peut pas devenir juste acteur, ce n'est pas assez bien pour lui. En vérité, ce n'est pas assez bien pour eux, dans l'esprit de Servilius où s'agite toujours cette ambition qui n'a guère de limites. Mais l'impensable pour lui se produit, Senianix, devenu Cornelius Gallus s'éloigne de son ami, l'affranchissement semble les séparer. Titus fait mine de comprendre mais c'est la première fois qu'il connaît la souffrance, il se sent dédaigné et il lui semble outrageant qu'on ose le faire, surtout son presque frère. C'est là que l'épouse entre dans le tableau, il le faut bien, il est plus que temps et il a vingt cinq ans. Il la regarde à peine le jour des noces, est-elle blonde, brune, qu'importe, Senianix n'est pas là pour le voir dire les paroles rituelles, alors que voilà pourtant une véritable pièce de théâtre. Cinq années, il se morfond, il est irascible, il se place auprès des Pompeii un peu par hasard, parce que Publicola a croisé son chemin et qu'il a besoin de soutien. Mais Titus ne peut pas encore lui en apporter, il n'est même pas pater familias. Pas encore. Jusqu'au jour où Postumus a enfin le bon goût de décéder, de sa belle mort. Un sourire se dessine sur le visage de son aîné ce jour-là, un véritable sourire, qu'il réserve à son miroir lorsqu'il revêt sa toge de deuil. Enfin son ambition va pouvoir s'exprimer comme il le souhaite. Son épouse semble presque transparente, elle est plus maigre de jours en jours et Servilius se demande ce qu'elle a, mais ne s'y attarde guère, car au fond, il ne s'est jamais lié à elle, elle ne lui a pas donné d'enfant.
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Le rêve a repris son envol le jour où Senianix est réapparu dans sa vie. Il a fait mine de comprendre mais la blessure est là, Servilius est devenu plus froid, plus calculateur. Il a tourné le dos aux Cornelii, il a préféré le jeune lion, qui a une production viticole beaucoup plus importante. Il a su l'amadouer, il a su lui rappeler lorsqu'ils s'étaient croisés, il est devenu son client. Mais surtout, Publicola aime le théâtre, il patronne les arts de la cité, alors Titus pousse Senianix, il lui faut devenir Dominus Gregis, il l'aidera, il lui trouvera sa troupe. Leur association ne met guère longtemps à porter ses fruits, les Pompeii paient bien, et Servilius sait manier la flatterie sans que son mépris de la classe patricienne ne ressorte aucunement. Le théâtre, enfin, leur ouvre les bras. Et Senianix a un don pour cela, il sait quels spectacles vont plaire ou quels acteurs employer, Servilius lui a le flair de s'associer aux bonnes personnalités en vue de la cité, et surtout il gère très bien les finances de la troupe. Car il ne souhaite plus que Senianix oublie qu'il est son client, à lui, pour toujours. Jamais plus il ne jouera les filles de l'air, cela Servilius y veille plus encore. Son épouse n'est plus, la pauvre n'a jamais su trouver sa place et elle est morte encore plus maigre qu'elle avait été ces derniers temps. De chagrin murmurait-on, comme au théâtre. Leur passion du théâtre est devenue un moyen pour le plébéien de se faire connaître, il est important à présent, beaucoup cherchent ses faveurs ou ses conseils, son nom est un nom important ici, il frôle enfin l'accomplissement, mais ce n'est pas suffisant. Il lui faut malgré tout des années pour trouver meilleure opportunité et tourner le dos aux Pompeii et surtout à Publicola, dont il n'a cure, car il ne s'attache pas. Les Licinii sont revenus depuis peu de temps qu'il propose à Caius une alliance, qui a besoin des faveurs de la foule. Quoi de mieux que de lui offrir les services de la troupe de théâtre de Senianix ? Lorsqu'il confronte son ami sur ce point, c'est avec ce sourire qu'il arbore toujours mais qui n'atteint jamais vraiment ses yeux qui demeurent froid. Senianix n'a pas le choix, il doit suivre son patron et Servilius consent un certain plaisir à le voir incliner la tête, même s'il s'en veut au fond de ressentir cela à son encontre. Il ne peut vivre sans l'admiration que Maestus lui porte, pourtant, dans les yeux tristes aujourd'hui, il ne lit aucune admiration, il croit même deviner de la déception.
***
Lucilla. Il trouve que c'est un prénom qui convient lorsqu'il la prend pour seconde femme. Il lui faut un fils, il lui faut perdurer, appuyer son ambition sur une famille solide et il a depuis trop longtemps négligé ce pan là de sa vie. Elle est belle, elle est jeune surtout, elle a des yeux rêveurs mais malheureusement elle ne connaît rien au théâtre. Tu pourras lui apprendre a objecté Senianix, il n'a pas tort. Fais-le toi, a-t-il répondu, il n'a pas de temps à perdre avec elle. Avec son frère Tiberius non plus d'ailleurs, mais ses frasques dans les rues et au lupanar lui coûtent bien de l'argent, afin que cet imbécile n'entache pas le nom que son aîné a su forger. Cela lui vaut bien des colères aussi, de ses colères si froides, si effrayantes que seul Senianix arrive à calmer. Rome est plus proche que jamais. Rêve-t-il encore ? Non, le rêve est mort sous le poids de l'ambition. L'écho de son rêve vit en Senianix, le triste, le passionné de la scène, lui permet encore de ressentir cette passion, même pendant un bref instant. S'il aime toujours le théâtre, il y voit surtout s'y déverser les sentiments de tous ces patriciens qu'il souhaite tenir dans le creux de sa main. Et qui maîtrise les sentiments des autres, maîtrise le monde qui les voit naître.
fiche (c) Semper Eadem
Dernière édition par Titus Cornelius Servilius le Mar 7 Jan - 23:01, édité 1 fois |
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Mar 7 Jan - 22:43 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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₪ Arrivée à Pompéi : 01/10/2013 ₪ Ecrits : 244 ₪ Sesterces : 2 ₪ Âge : 39 ans ₪ Fonction & Métier : Dominus gregis
Cornelius Maestus | | |
| HAN OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Re-bienvenue officiellement ! Je te l'ai déjà dit, j'adore ta fiche |
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Mar 7 Jan - 22:43 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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₪ Arrivée à Pompéi : 17/03/2013 ₪ Ecrits : 8618 ₪ Sesterces : 223 ₪ Âge : . ₪ Fonction & Métier : . Cogito ergo sum ₪₪ Citation: .₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ? Licinia Domitia | | |
| Notre Duumvir adoré qui devient schizophrène Re-Bienvenue |
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Mar 7 Jan - 22:48 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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₪ Arrivée à Pompéi : 07/01/2014 ₪ Ecrits : 89 ₪ Sesterces : 0 ₪ Âge : 34 ans ₪ Fonction & Métier : Commerçant, intrigant et mécène Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Trahit sua quemque voluptas.₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Marié à Lucilla Cornelia Secunda Titus Cornelius Servilius | | |
| Oui, mais c'est de la faute de Neme Même pas vrai en plus, le personnage qui se dessinait derrière son perso était tellement tentant que j'ai craqué |
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Mar 7 Jan - 22:51 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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₪ Arrivée à Pompéi : 29/03/2013 ₪ Ecrits : 2744 ₪ Sesterces : 136 ₪ Âge : 17 ans ₪ Fonction & Métier : Vestale Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui.₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ? Claudia Cassia | | |
| -re- Bienvenue parmi nous Servilius! Je dois t'avouer quelques chose, j'ai lu ta fiche avant que tu nous donnes le feu vert... Je suis une fan |
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Mar 7 Jan - 22:55 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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₪ Arrivée à Pompéi : 07/01/2014 ₪ Ecrits : 89 ₪ Sesterces : 0 ₪ Âge : 34 ans ₪ Fonction & Métier : Commerçant, intrigant et mécène Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Trahit sua quemque voluptas.₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Marié à Lucilla Cornelia Secunda Titus Cornelius Servilius | | |
| Claudia Claudia Claudia, jolie vestale, je suis déjà en train de songer ce que te vaudra cette douce traitrise Z'êtes mignonnes les filles |
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Mer 8 Jan - 0:18 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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Invité | | |
| Re-bienvenue avec cette nouvelle bouille |
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Mer 8 Jan - 1:16 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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Invité | | |
| Rebienvenue parmi nous mon frère ! Je suis heureux que tu es rejoint la confrérie des schizophrène du forum |
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Mer 8 Jan - 11:10 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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₪ Arrivée à Pompéi : 18/10/2013 ₪ Ecrits : 3207 ₪ Sesterces : 407 ₪ Âge : 21 ans ₪ Fonction & Métier : Au service de Kaeso Ausonius Faustus. Voleur à ses heures perdues, vacant entre une auberge et un lupanar. Cogito ergo sum ₪₪ Citation: ₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Plusieurs femmes l'habitent, mais une seule a su le kidnapper. Ausonius Niger | | |
| Ca c'est du personnage attendu, t'aurais du les voir sur la CB hier soir - tu les as peut-être vu après mon départ remarque - ils étaient en mode Bref, rebienvenue |
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Mer 8 Jan - 11:43 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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₪ Arrivée à Pompéi : 11/05/2013 ₪ Ecrits : 2404 ₪ Sesterces : 65 ₪ Âge : 42 ans ₪ Fonction & Métier : Duumvir Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Verba volant, scripta manent.₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Époux de la louve et amant de la vipère. Lucius Pompeius Publicola | | |
| Dire que je loupe toujours les choses intéressantes sur la chatbox |
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Mer 8 Jan - 12:57 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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₪ Arrivée à Pompéi : 29/03/2013 ₪ Ecrits : 2744 ₪ Sesterces : 136 ₪ Âge : 17 ans ₪ Fonction & Métier : Vestale Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Qu'importe que le vent hurle, jamais la montagne ne ploie devant lui.₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Mon coeur ne peut appartenir qu'à Vesta, n'est-ce pas ? Claudia Cassia | | |
| Hem ... Toutes ces coquilles qui restent ... C'est indigne de la joueuse qui se cache derrière tout ça
Bon alors ... je te prévalide, ta fiche est très bien écrite, théâtralisée, mais je n'en attendais pas moins de la joueuse |
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Mer 8 Jan - 13:15 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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₪ Arrivée à Pompéi : 17/03/2013 ₪ Ecrits : 8618 ₪ Sesterces : 223 ₪ Âge : . ₪ Fonction & Métier : . Cogito ergo sum ₪₪ Citation: .₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: who needs a heart when a heart can be broken ? Licinia Domitia | | |
| J'aime toujours autant ta plume Ta fiche est extra, et j'ai hâte de voir ce personnage en action, parce que je suis sûre qu'il nous en fera voir des belles Bref, j'ai donc l'honneur de te valider, j'espère que tu t'amuseras bien avec ce deuxième personnage |
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Mer 8 Jan - 20:05 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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Invité | | |
| Rebienvenue! Et bien ça, c'est de la validation rapide Personnage très intéressant. J'espère compter ce dernier dans mes liens xD |
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Mer 8 Jan - 20:47 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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₪ Arrivée à Pompéi : 07/01/2014 ₪ Ecrits : 89 ₪ Sesterces : 0 ₪ Âge : 34 ans ₪ Fonction & Métier : Commerçant, intrigant et mécène Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Trahit sua quemque voluptas.₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Marié à Lucilla Cornelia Secunda Titus Cornelius Servilius | | |
| Merci beaucoup ! J'ai hâte de roder ce nouveau perso @Marcus : avec plaisir, ça me changera du rôle du père hermétique |
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Jeu 9 Jan - 0:45 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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Invité | | |
| Aaaah, ce nouveau perso promet ! J'ai trop hâte d'intriguer avec toi :p |
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Jeu 9 Jan - 20:19 Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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₪ Arrivée à Pompéi : 07/01/2014 ₪ Ecrits : 89 ₪ Sesterces : 0 ₪ Âge : 34 ans ₪ Fonction & Métier : Commerçant, intrigant et mécène Cogito ergo sum ₪₪ Citation: Trahit sua quemque voluptas.₪ Moi en quelques mots: ₪ Côté Coeur: Marié à Lucilla Cornelia Secunda Titus Cornelius Servilius | | |
| Oui, je crois que nous pourrions faire un duo de choc très chère |
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Re: Titus Cornelius Servilius ◊ Mon ambition n'a aucune limite
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